Jürgen Habermas

paradoxes et ces problèmes. Pour avancer dans la question, je me réfèrerais à deux auteurs. Karl Popper déclare que ce qui échappe à la sociologie de la connaissance est la sociologie de la connaissance elle-même. La justification est sociale. Jürgen Habermas a, pour sa part, cherché à thématiser la discussion rationnelle. Dans un premier temps, il s'agit d'interroger la preuve, puis de questionner la terminologie et enfin de se demander s'il est possible de regrouper des modèles dans une structure

public Habermas : penseur issue de l'école marxiste de la gauche critique allemande suite à l'échec de la révolution de 1918. théorie critique et hostile au capitalisme. Notamment le K par voie de presse. École de Francfort (Adorno, Horheimer fondateur : années 20/30, Jürgen, Habermas : 50/60 ). (institut de recherche sociale de Francfort). Combat commun : Berlin ne s'est pas révolté, car pourrie par la presse bourgeoise antirévolutionnaire. Visée révolutionnaire de ce mouvement. Habermas prolonge

------------------------------------------------- Le paradoxe de la foi[modifier] Jürgen Habermas écrit que la pensée de Kierkegaard, « renforce l'établissement d'une frontière entre la raison et la religion, mais cette fois du côté de la foi en la révélation15.» et que le saut proposé par Kierkegaard indique que « c'est l'expérience religieuse qui renvoie la raison à ses propres limites16.» Mais, poursuit Habermas, « Kierkegaard n'ignore pas qu'on ne peut battre la raison, qu'avec ses propres armes

possède plusieurs défauts. Ce principe n'est pas forcément « juste ». Il cherche toutefois à trouver des solutions afin de remédier à ces problèmes notamment grâce aux idées de Condorcet, sans succés. Pateman finit sur une citation pessimiste de Jürgen Habermas dans son livre Legitimation Crisis :  « Quiconque discute encore de la recevabilité de la vérité dans les questions paratiques est, au mieux, démodé »

d’élection. La forme critique, entendue comme une prise de position subjective et esthétique sur des spectacles vivants, des écrits ou des œuvres, s’exposant elle-même au public, est donc née avant les industries culturelles. Elle a constitué selon Habermas le cœur et le modèle d’un « espace public » de discussion, en incitant des opinions privées à prendre position sur des productions culturelles. La critique d’art est relativement ancienne, puisqu’elle s’est imposée au XVIIe siècle dans la presse

locaux concernés par un projet. » (p.76), ainsi la concertation nécessite un espace de discussion ouvert. Cet espace de discussion est défini par Jürgen Habermas comme étant « un moyen d’explorer les problèmes, permettant de « régler une question sociale controversée de façon rationnelle, c’est-à-dire dans l’intérêt commun des personnes concernées » (Habermas, 1962) » (p.76). Cette lecture de la concertation donne l’impression d’être face à un espace venant annuler les effets de la domination. Or, le

mondialisation transforme les États-nations, mais ce ne sont pas des phénomènes inversement proportionnels, au contraire. Cf. Benedict Anderson Jürgen Habermas Pour lui, contrairement à Anderson, l’État-nation est une forme politique dépassée au profit de formes supranationales dont l'UE est la forme paradigmatique. C'est un processus qui commence au XXe siècle. Selon Habermas, on vit dans un âge post-national, la mondialisation efface les États-nations et les remplace par des formes politiques plus vastes

rationalité. Mais il y a le système inductif aussi. → anticiper une expérience. Ils portent sur le probable et non sur la certitude. * Démo et argumentation Raisonnements démonstratifs sont peut souvent utilisés dans la vie quotidienne. Selon Jürgen Habermas, c’est par l’argumentation lors d’une discussion que nous devenons des êtres rationnels. La raison est donc communicative. Elle cherche à établir un consensus et non une vérité générale. L’interprétation On appelle interprétation des opérations

produit la perte de la fonction rituelle de l'œuvre d'art au profit de l'exposition en série. La technologie se met ainsi au service du système social et de sa reproduction. Max Horkheimer (au fond à gauche), Theodor Adorno (au fond à droite), et Jürgen Habermas en arrière plan, à droite, en 1965 à Heidelberg Deux autres sociologues de l'école de Francfort, Théodore Adorno et Max Horkheimer considèrent l'art comme instrument de libération et comme force motrice dans la lutte pour changer le monde. La

de peur, et il affirme que ce sentiment provient de dépasser la frontière qui limite le choix du destin et le choix génétique, entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. C'est ce qui engendre la peur, ce malaise métaphysique. Jürgen Habermas : il est contre ces modifications génétiques, il affirme qu'en modifiant les génomes on restreint le liberté de l'enfant plus tard. Ex un père qui veut absolument que son fils fasse du tennis, le fils peut dire non , mais les modifications du