Justice Chez Platon

réflexion plus philosophique sur le statut de l’homme par rapport à un Dieu transcendant. 1 De Congressu, 74-76. Voir aussi M. Alexandre, « La culture profane chez Philon », Philon d’Alexandrie : Actes du Colloque national de Lyon, Paris, éditions du CNRS, 1967, p. 105-130. 2 V. Nikiprowetzky, Le Commentaire de l’Écriture chez Philon d’Alexandrie, Leyde, E.J. Brill, 1977, p. 6. 1 Camenulae no7 – juin 2011 LA SÉPARATION BIBLIQUE DU SACRÉ ET DU PROFANE Pour comprendre ce que dit Philon

terme celui de « sociologie ». (logos : recherche, étude, réflexion, discours sur la société). Comte était le secrétaire particulier du comte de Saint Simon, favorable à la Révolution, premier socialiste, réunissait les élèves de l’école polytechnique chez lui pour philosopher, Comte en faisait partie, puis est devenu son secrétaire particulier. La sociologie est orientée vers la résolution des questions sociales. Cependant il s’agit d’un présocialisme particulier car Saint Simon désirait un type de

désire et cela ne nous convient pas pour autant d’où frustration!) ou non-reconnaissance de l’autre (caprice) +rien ne peut combler le désir, qui correspond à un manque ontologique sans fond, voir mythe de l’androgyne dans le Banquet de Platon. 10. Pour Platon, le désir est l’expression d’un manque alors que pour Spinoza, il est expression d’une puissance positive, « désir de persévérer dans son être » que la Raison doit aider pour qu’elle se dirige vers des objets s’accordant avec notre nature

26/01/11 Notion de justice. Quel est les // entre justice et égalité? Intro: J. Rawls, 1971, théorie de la justice, «  la justice est la première vertu des institutions sociales comme la vérité est la vertu des système des pensée. Si efficace et bien organisé qui soit des institutions et des lois, si elles sont injustes elle doivent être réformées et abolies Si on est confronté à des lois injustes, Rawls nous dit qu’il faut l’abolir. Lorsqu’on parle d’une justice, on parle de vertu. Si

13.3.1 Le devoir moral peut-il être libérateur ? . . . . . . . . . . . . 13.3.2 La pratique du devoir peut-elle être dangereuse ? . . . . . . . 14 Le justice et le droit 14.1 La force des normes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14.1.1 Vertu de justice et règle et le droit . . . . . . . . . . . . . . . 14.1.2 Fragilité de la justice et force du droit . . . . . . . . . . . . . 14.1.3 L’existence d’un pouvoir judiciaire est-elle nécessaire à l’application du droit ? . . . . . . .

 La justice et le droit (la politique) Si la morale nous dit ce que nous devons faire (le devoir), le droit définit ce qu'il nous est permis de faire. La justice est souvent considérée comme la principale vertu morale : la justice est la source des autres vertus et la condition de leur exercice harmonieux car elle renferme tout ce que l'on doit à soi-même et aux autres. Pour autant droit et justice coïncident-ils exactement ? Il y a bien des cas où la réponse est négative : que penser

un par la comédie à travers d'une pièce de théâtre d'Aristophane; un par l'un de ses étudiants, Xénophon qui, quand il revient de la guerre, se marie et commence à écrire, notamment sur Socrate dont il fait un portrait de moralisateur; et enfin par Platon qui a aussi été élève de Socrate qui a profondément transformé sa vie. Socrate l'a touché par sa méthode et par sa mort, puisqu'il a été condamné par l'État à boire la ciguë. A partir de ce moment, là l'école socrato-platonicienne va s'opposer aux

philosophiques qui ont marqué l’histoire de cette discipline. I- Tentative de définition de la philosophie Tenter de définir la philosophie, c'est déjà philosopher. Tout le monde est un philosophe potentiel : nul besoin de s'appeler Socrate, Platon ou Aristote pour philosopher, seul compte l'amour de la réflexion, de la remise en question et du questionnement. À la différence des sciences humaines, des sciences naturelles et des sciences formelles auxquelles elle a été intimement liée, la philosophie

d’Alexandre le Grand Les Grecs ne connaissent pas comme plus tard les Romains la notion d’état unitaire , il n’y a donc pas d’institutions des idées politiques étatiques , ils connaissent uniquement la cité, ce qu’ils appellent la « polis»  Chez les Grecs, la cité est à la fois une structure politique et sociale mais aussi une entité religieuse . C’est ce que l’on appelle le monisme antique c'est-à-dire que les habitants d’une cité sont également membres d’une communauté religieuse .

Introduction Le livre « La république » de Platon, est un dialogue concernant en premier lieu Socrate, et le livre porte principalement sur la justice chez l’individu et dans la cité. Pour ce travail de synthèse, j’ai choisis l’extrait du « livre XIII » de « La république ». La question principale posée par ce texte est celle-ci : « pourquoi la démocratie n’est pas le type de régime idéal pour la cité? ». Socrate répond à l’aide de ces deux arguments : avec la liberté et l’égalité (les aspects principaux