Les Grandes Interrogations Philosophiques

(argumentatif, narratif, descriptif…) ? ◾Quelle est sa tonalité ou registre littéraire (comique, tragique, lyrique, pathétique, ironique, épique…) ? ◾Quel est son intérêt (historique, philosophique, sociologique…) ? ◾Quelles résonances éveille-t-il chez le lecteur (émotion, intérêt, passion, réflexion, interrogation…) ? 2e lecture : étude du niveau lexical et de la modalisation ◾Classer les mots suivant des familles, examiner si on peut les regrouper en champs lexicaux ou sémantiques remarquables

Q. Comment appelle-t-on le XVIIIe siècle ? R. Le XVIIIe siècle est appelé le siècle des lumières. Q. Pourquoi ce siècle est appelé le siècle des Lumières ? R. Le XVIIIe siècle est un siècle éclairé par la raison. Ce siècle est le siècle de grands penseurs comme Montesquieu, Voltaire, Diderot, Rousseau. Ces philosophes des lumières veulent sortir des préjugés et de l'intolérance, et faire progresser les hommes vers le bonheur et le savoir. Les penseurs des Lumières rejettent l’autorité et le

Qu’est-ce qu’on entend par “Mariage pour tous” ? Pour apporter un élément de réponse à la sensible interrogation de l’heure on va analyser à fond le sens du mot MARIAGE, partant, bien sur, de son inaliénable sens étymologique ou notionnel. Le nom Mariage vient de deux (2) courants latins, d’abord du verbe latin maritale issu de maritus, maris qui signifie

 et enfin la réflexion de Jacques sur le grand rouleau ( un peu bancal) pour  l’importance de la raison pour Diderot.  Puis il rejette les conventions romanesques mais  tout en créant une forme d’illusion  réaliste ce qui oblige le lecteur à prendre de la distance et à réfléchir.     Un texte polémique :​  Car le narrateur s’adresse au lecteur et brise l’illusion romanesque (  on sait que ce n’est qu’un roman). Et car il remet en cause des valeurs de l’époque en  proposant une réflexion philosophique :  la fatalité, la  liberté (illusion) 

DISSERTATION Qu’est ce que un homme ? Quelle est sa place dans l’univers ? Qu’est ce qui le différencie de l’animal ? D’où vient-il ? Où va-t-il ? Est-il bon ou mauvais ?... Les interrogations sur l’existence de l’homme sont récurrentes dans l’histoire de l’humanité, elles suscitent des débats et elles expriment particulièrement en littérature, sous des formes variées. La volonté de l’homme de lettres est alors d’argumenter afin de faire adhérer ses lecteurs aux thèses qu’il défend. Il est ainsi

humour déconcertant : « Un incinéré ne peut pas se retourner dans sa tombe ». Mais, par rapport aux sujets les plus pénibles tels que la mort, la maladie, le destin, l’être humain est t-il capable de prendre sans cesse du recul par rapport à ses interrogations sur sa condition mortelle ? Il est indéniable que face aux épreuves pénibles, nous pouvons nous réfugier dans l'absurde, dans ce qui n'a pas vraiment de sens en somme donc dans ce qui semble être détaché de la réalité, comme l'humour. C'est sans

« Paris-Soir ». En 1942, il milite avec les jeunes et publie des articles dans « Combat » (qui deviendra un journal par la suite). C’est en cette même année qu’il publie « l'Etranger » et « le Mythe de Sisyphe » (chez Gallimard). Il connaît alors un grand succès. En 1944, Jean-Paul Sartre souhaiterait qu'il mette en scène « Huis Clos », les deux philosophes entretiennent alors des rapports amicaux. En 1947, il publie « La Peste » suite à ce nouveau succès il quitte « Combat ». En 1951, la publication

encore réalisée. Dans la mesure où cette différence, absolument parlant, se manifeste en elle, elle a le sentiment d'une altérité en elle même, d'une négation d'elle même, c'est à dire le sentiment d'un manque, un besoin." Hegel, Propédeutique philosophique, deuxième cours, Ed. de Minuit, page 96 La principale difficulté de votre travail vient de ce que "vrai" et faux" qualifient une affirmation, un discours dans la mesure où il correspond ou ne correspond pas à la réalité. Mais le besoins concerne

les attaques de brigands, il sera pris à parti par la foule et se retrouvera même en prison. « Les incidents ou aventures de parcours , les rencontres fortuites , les haltes dans les auberges sont autant d’occasion pour débattre de problèmes philosophiques et moraux , ou pour raconter des histoires qui en illustrent d’autres aspects : Peut-on agir librement ou sommes nous soumis à une destinée inexorable et insondable ? Au début du roman Jacques raconte comment un enchaînement fatal de circonstances

solution vienne d'elle même. Le second type de doute est le doute Philosophique :               a. Doute sceptique. Le premier doute philosophique que je vais aborder est le doute sceptique, également appelé doute pyrrhonien, provenant étymologiquement de Pyrrhon d'Hélis. Le Scepticisme est l'art de comparer entre elles les choses qu'on voit et qu'on comprend, et de les mettre en opposition. L'Ataraxie est le but du Scepticisme. Son grand axiome, c'est qu'il n'y a pas de raison qui ne puisse être contrebalancée