Les Grandes Interrogations Philosophiques

nexclut pas le fait que tout un travail au brouillon a t ralis auparavant. Beaucoup de copies ont pch par labsence dune lecture prcise du texte. Il est vraiment impratif de faire un lourd travail au brouillon, pour distinguer la thse du problme philosophique, et les diffrents concepts labors par Nietzsche. Nous noterons galement limportance du travail de comparaison avec ce que vous avez vu en cours. Il fallait tre capable de distinguer lapproche nietzschenne du cogito cartsien, et de linconscient

Philosophie (avril 2003) Le retour de la question de Dieu La cause semblait entendue. Le divorce de la raison et de la foi ne pouvait que signifier l’évacuation de la question de Dieu hors du champ philosophique. Implicite ou explicite, elle y reste pourtant bien présente. Si “ Dieu est mort ”, comme l’a proclamé Nietzsche, la question de Dieu n’en continue pas moins de faire penser les philosophes. Après le retour du religieux puis celui de la philosophie, jusque dans les cafés

centrés sur les mêmes interrogations : existe-t-il une philosophie africaine ? Et si elle existe, se trouve-t-elle dans les sagesses ancestrales ou dans les textes des auteurs contemporains ? La question même de l’existence d’une philosophie africaine n’est-elle pas oiseuse ? Les plaidoyers pour la reconnaissance d’une philosophie africaine propre n’empêchent-ils pas de se préoccuper des vraies questions qui se posent en Afrique et aux africains ? Toutes ces interrogations avaient inspiré une littérature

Marivaux, un grand auteur du XVIIe siècleSommaire:1. Biographie2. Oeuvres célèbres3. Mouvement littéraire4. Style d’écriture5. Les thèmes abordés dans ses oeuvresBiographie :Marivaux de son vrai nom Pierre Carlet est un écrivain français, baptisé à Paris le 4 février 1688 et mort à Paris le 12 février 1763 ( on ne connaît pas sa date de naissance mais seulement sa date de baptême).Cet homme est surtout connu pour ses pièces théâtrales, souvent inspirées par la comédie italienne, notamment la Comedia

II] Les grands courants de pensée de la philo du droit, la philo appliquée au droit Partie 1 : Initiation à la philo du droit I] L’identité ou l’objet et l’utilité de la philo du droit A] L’objet de la philo du droit * Qu’est-ce que la philo du droit ? (comment va-t-on répondre) * Pas de réponse simple et immédiate * Tout d’abord, montrer le rapport entre philo du droit et droit. * Le droit est l’objet de réflexion de la philo du droit => c’est un objet philosophique * Quelle

Intro : En novembre 1753, un terrible tremblement de terre à Lisbonne émeut tt l’Europe et provoque une série de débats philosophiques sur le mal après la Théodicée de Leibniz en 1710. Pour Leibniz l’univers crée par Dieu est à la fois imparfait et le meilleur des mondes possibles. Le pb débattu est celui de concilier la croyance en un Dieu bon et le constat de l’existence du mal. Voltaire poursuit la polémique avec Candide publié en 1759 qui montre l’impuissance de l’homme face au mal. Il invente

comment Lamartine traite le problème du temps qui passe qui est sans nul doute la principale interrogation de son poème. Enfin, il serait judicieux d’évoquer le thème du souvenir qui serait peut être la solution que le poète apporte à cette problématique existentielle. * Le choix même du lieu : le fameux lac du Bourget, nous place d’ores et déjà dans un décor romantique par excellence : le poète, le plus grand des héros romantique, seul face à cette vaste étendue d'eau souvent synonyme d'infinité

mais la France ne se situe qu’à la quatorzième place pour la chirurgie esthétique. Le fait de vouloir rester jeune est aussi dû à l’influence qu’ont les médias, comme par exemple une publicité pour de l’eau minérale où ce sont des personnes âgées en grande forme physique qui font de la natation synchronisée. Malgré la pression de la société, la mort et la vieillesse restent inéluctables, et il faut s’y préparer. Plusieurs

La question sur l’existence du risque 0 m’offre deux idées premières, un monde sans risque serait une utopie qui rentrerait directement sous l’égide d’un contrôle total alors sacrifier un risque naturel au profit de tomber sous un risque bien plus grand de la folie d’un ou plusieurs hommes représentant l’Etat, es-ce recevable ? La seconde m’amène à l’idée d’une prévention pour affaiblir le degré de risque plutôt que d’un contrôle. Et enfin, comment imaginer un risque 0 face à l’inconnu, face aux incertitudes

plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? Que disaient-ils ? Le maître ne disait rien ; et Jacques disait que son capitaine disait que tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas était écrit là-haut.Le maître.- C’est un grand mot que cela.Jacques.- Mon capitaine ajoutait que chaque balle qui partait d’un fusil avait son billet.Le maître.- Et il avait raison… Après une courte pause, Jacques s’écria : Que le diable emporte le cabaretier et son cabaret !Le maître.- Pourquoi