Les Grandes Interrogations Philosophiques

ne lui ôteras du moins pas ce droit suggère implicitement que l’homme pourrait mettre des entraves à ce qui est d’emblée désigné comme un « droit » • Interrogations résonnent non pas comme de véritables interrogations mais plutôt comme une mise en question es-tu capable de ? Qui t’a donné le droit de ? La plupart de ces interrogations sont rhétoriques : il ne s’agit donc pas d’obtenir une quelconque réponse d’obtenir une quelconque réponse.si tu le peux ; ou qui s’assimilent à des menaces

INTRODUCTION Les temps modernes représentent la troisième grande période de l’histoire de l’humanité. Elle débute en 1492 et prend fin avec l’avènement de la Révolution française en 1789 ; et c’est au cours de cette période que va naître un grand philosophe, nommé DAVID HUME, qui fera l’objet de notre étude. Ainsi, nos investigations consisterons à étudier de fond en comble et sur tous les aspects, ce prestigieux personnage qui a marqué l’histoire de la philosophie tant par sa personnalité

raison permet à l’H de s’interroger sur lui-même. Taumazein = l’étonnement, l’émerveillement est le commencement de la vie intellectuelle. Et c’est pq la grande question en philosophie est pq y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ? ce qui fait l’objet d’un étonnement d’un étonnement sans fin c’est le fait d’être selon Aristote. Le plus grand danger pr l’H est de cesser d’ê humain. La théologie répond à cette question de la vie et de la mort. La raison remonte à un ê qui lui est éternellement qui

Hélicon ! » C. L’expression La ponctuation et la structure des phrases sont synonymes d’une grande agitation : exclamations fréquentes et interrogations oratoires qui traduisent le désordre des sentiments. Succession de coordinations logiques « aussi..alors..mais » , l’illogisme domine Caligula. Les registres de langue mélangent familier « un peu plus, un peu moins » et soutenu : métaphore poétique « ce grand vide : le lac ». III Le sens du dénouement A. La mort de l’autre En s’adressant à un

INTERROGATION DE PHILOSOPHIE ÉPREUVE COMMUNE : ORAL Jean-Pascal Anfray, Dimitri El-Murr, Frédéric Fruteau de Laclos, Laurent Jaffro, Max Marcuzzi, Gabrielle Radica Coefficient de l’épreuve : 2. Durée de préparation : 1 heure. Durée de passage devant le jury : 30 minutes, dont 20 minutes au plus d’exposé et 10 minutes de questions. Types de sujets proposés : Question, une ou plusieurs notions. Modalités de tirage du sujet : Tirage au sort d’un ticket comportant deux sujets au choix que le candidat

plus actuel. L’époque actuelle ne se satisfaisant plus d’une morale dominante, l’éthique renvoie à la cohabitation de plusieurs « morales » (globalisation et mondialisation). L’éthique concerne autant les actions de la vie courante que les grandes décisions, tous les secteurs de l’activité humaine, collective ou individuelle. L’être humain est constamment en train de se demander comment agir au mieux mais la question est de savoir au nom de quoi il prend telle ou telle décision. Les règles

moments. L’existence d’une démonstration de la sari`a. En effet, le problème de la précipitation dans une réflexion amène à l’erreur. La démonstration est possible cependant elle apparaît sous un mode d’expression différent que pour la science philosophique. Puis, les conséquences des démonstrations pour la philosophie et pour la loi religieuse s’opposent. Ces deux sciences étant différentes quant à leurs méthodes s’avèrent différentes dans les relations qu’elles entretiennent avec la démonstration

pas une forme de théologie ou de religion. Elle n'est pas une idéologie. → Ce que la philosophie est. Elle vient du grec Philo-Sophia. Origine grecque par de grands médecins grecs tels qu'Hypocrate ou Gallien. Il s'agit de la recherche et du désir de la sagesse et du savoir. Elle est un questionnement, une interrogation et une réflexion. Vient de re-flecto (maïeutique de Socrate) → retour vers soit-même. Kant subdivise en 3 parties ce questionnement : Que puis-je connaître/savoir ? Que

», jette un regard d’historien sur ce recueil de documents écrits par les hommes qu’est la Bible. Il analyse le mythe comme la propre vision des choses que se fait l’être humain par le questionnement de l’homme sur l’humanité, ses origines, les grands problèmes qui hantent notre esprit, sur l’existence en somme. Enfin Alain Rey et all. en tant que linguiste et lexicologue reconnu, dans « Dictionnaire culturel de la langue française », donne une dimension sociale au mythe et en aborde aussi les

ridicule. Mais cela est inefficace car le même jour la terre trembla (comique de situation). III- Une lecture philosophique 1) Référence à la philosophie de l'optimisme: Dieu avait la possibilité de créé plusieurs monde et il a crée le monde dans lequel nous vivons donc c'est le meilleur des mondes. "si c'est ici le meilleur des mondes, que sont donc les autres", "le plus grand des philosophes", "la perle des filles". 2) Remise en cause: Phrases exclamatives, Candide exprime un sentiment