Les Pouvoirs Des Figures Feminines

par son insistance son caractère déplacé Glacer : V T 1 solidifier un liquide par le froid 2 rendre très froid 3 causer une vive sensation de froid 4 au figuré : remplir d’effroi ; intimider Terreur : N F 1 peur violente qui paralyse ; effroi ; épouvante 2 pratiques systématiques de violences, de répression, en vue d’imposer un pouvoir Expérimente : éprouve abime : N M gouffre très profond Scélérate : NOM personne qui manifeste des intentions ou des sentiments criminels

olympiques considérées comme féminines donc le tennis, la voile ou les sports équestres qui étaient alors parmi les 5 seuls sports que les femmes étaient autorisées à faire. C’est aussi en 1900 à Paris que la navigatrice suisse Hélène de Pourtalès devient la première championne olympique de l'histoire. A partir de 1912, une figure essentielle marque l'olympisme : Alice Milliat. Cette française a milité toute sa vie pour la reconnaissance de la légitimité des femmes à figurer dans toutes les compétitions

DM littérature médiévaleLITTÉRATURE MÉDIÉVALE Dissertation sur la figure d’Yseut dans la version de Béroul Sujet : En rappelant les pouvoirs de guérisseuse d’Yseut dans la légende tristanienne, Dominique Demartini précise : “elle [[Yseut], qui sait guérir les blessures empoisonnées, est aussi celle qui va causer la blessure d’amour. De même que les autres figures d’Yseut n’en font qu’une, pour causer et soigner les blessures empoisonnées, la blessure du serpent et celle de l’amour distillent un

et la cruauté de toute une société. La figure de la sorcière inspire la peur, car la sorcière c’est celle qui en sait plus que les autres et détient un pouvoir, c’est justement pour cette raison que les féministes ce sont emparés de cette figure pour en faire un symbole de militantisme féminin, la sorcière n’étant que la femme savante accusée par une société patriarcale de sorcellerie. Il s’agit donc de déchiffrer les enjeux de l’usage de cette figure de sorcière, l’évolution de l’aura qui l’entoure

Analyse du relevé effectué tout au long de l'ouvrage sur les deux figures féminines que sont Albertine et Gilberte. Albertine et Gilberte se présentent comme deux figures énigmatiques du roman Albertine disparue. En effet, les deux femmes ou jeunes filles, comme on voudra dire, n'appartiennent pas à la même « classe », n'ont pas les même goûts ni les mêmes occupations, ne se connaissent pas, n'appartiennent pas au même présent d'ailleurs puisque Gilberte est l'amour d'enfance du narrateur, tandis

qualifiant le pouvoir des femmes, constatez-vous une évolution au fil du poème ? quel en est le sens ? Le pouvoir des femmes est qualifie avec l’adjectif « fatal » à la deuxième ligne. Cette fatalité est capable de « jeter » un homme dans « l’ivresse ou le désespoir » à la quatrième ligne. Elle peut aussi « donner un coup de poignard dans le cœur » aux lignes 7-8. Dans le deuxième quatrain, Alfred de Musset donne une vision de la femme comme un être puissant, elle montre son pouvoir avec une spontanéité

qui manque à être et qui ne se constitue que de satisfaire les aspirations idéologiques et esthétiques propres à la fin du siècle. ÉLABORATION DU MYTHE : L’OPHÉLIE FIN DE SIÈCLE, UN PERSONNAGE SHAKESPEARIEN ? A la différence de Salomé, autre figure mythique emblématique de la fin du siècle, l’intérêt pour le personnage d’Ophélie se manifeste en France dès la première moitié du siècle, lié à l’engouement que la bataille romantique a fait naître pour le théâtre de Shakespeare. La filiation historique

Les spectacles militants se multiplient d’abord dans des salles marginales puis dans des festivals. L’année 1975 est proclamée l ‘année de la femme et elle correspond à une période où le spectacle féminin bat son plein. Un groupe d’une dizaine de femmes, La Carmagnole, veut exprimer « les idées féminines et féministes par le théâtre », les trois Jeanne triomphent au théâtre et les femmes envahissent les petites scènes du café-théâtre. Elles installent sur les planches un nouveau type de femmes qui

eoisie d’affaires préfère confier le pouvoir au duc d’Orléans qui passe pour libéral et devient Louis-Philippe 1er , roi des Français. Pourquoi le tableau de Delacroix est-il célèbre ? D’autres tableaux en effet, ont peint les mêmes évènements sans aucune postérité ; les journées de 1830 elles-mêmes sont moins célèbres que ce tableau. Au salon de 1831, d’autres tableaux ont pour thème les journées de 1830. Mais ils pointent surtout le fait que les affrontements ont eu lieu en plein

le chas d'une grande aiguille, un fil dessinant une silhouette apparemment féminine. Cette silhouette est creuse et laisse transparaître, en le dominant, un paysage inhabité, formé de montagnes et de bosquets. La toile blanche Le poème est composé d'un distique et d'un monostiche. Le dessin est daté de 1936. On y voit à droite un entonnoir, au-dessus d'un gant, vide de toute main, doigts vers le haut. À gauche, figure une toile, pliée presque à angle droit, dans les plis de laquelle on peut