Les Visées Du Comique

humains. C’est alors que la question se pose : qu’est-ce qui fait l’efficacité argumentative de ce récit ? Nous verrons dans un premier temps en quoi cette fable est une narration héroï-comique d’un combat de coqs, puis nous analyserons l’art d’interpeler le lecteur tout au long du récit. I. Une Fable comique. a) Combat entre coqs. Des animaux communs, symbole de séduction et de combativité. On se rappellera qu’être un coq, c’est se vanter d’avoir les femmes à ses pieds, être prétentieux

lecture intégrale préalable s’impose. On s’intéressera d’abord à la notion de héros, puis aux conditions à remplir pour être chevalier, aux chevaliers de la Table ronde et au Graal. On étudiera ensuite les exagérations et les invraisemblances, le comique du texte et les figures de style (comme la comparaison et la métaphore). La dernière fiche, en forme de conclusion, fera la lumière sur l’amour courtois. Un travail en partenariat avec le professeur d’histoire pourra s’avérer utile et motivant

d'accentuer chaque actions et répliques dans l'objectif de captiver et de faire rire le spectateur. Par exemple, on retrouve dès le début de la pièce une scène comique, lorsque Pantagruel imite très explicitement les rapports sexuels entretenu avec sa femme onze mois plus tôt, afin de justifier l'accouchement de cette dernière. On retrouve ici un comique de geste tout à fait inopiné dans le monde du théâtre. Dans la même scène, Gargamelle se plaint d'avoir mangé deux tonneaux de tripes, ce à quoi son mari

émotions qu'il suscite chez le lecteur - ou le spectateur. Dans une même œuvre, on peut trouver plusieurs registres. Les procédés lexicaux, stylistiques et syntaxiques diffèrent selon les registres. Le registre comique fondé sur le rire s'appuie sur plusieurs procédés tels que le comique de mots, de situation, de gestes, de caractère. Le registre tragique met en avant l'impuissance de l'homme face à la mort. Il cherche à émouvoir. Le registre lyrique est caractérisé par l'expression de sentiments

peu d'emplois" dont il ne soit capable d'occuper. Il ajoute également avoir un esprit et de bon gout le tout grace a ces études et son raisonnement, il devient de plus en plus futile en se complimentant et en s idolatrant le tout sous un registre comique. On trouve une explication a cette futilité dans le troisieme texte,le recueil. Pour De la bruyere " les hommes veulent être estimés " mais ne le montre pas car sinon cette vertue si precieuse a leurs yeux ne seraient plus vu de la meme facon donc

bœuf », si Phèdre et La Fontaine prétendent tous deux se faire la voix d’une critique de la nature humaine et de sa vanité, on peut pourtant observer une divergence notoire dans les effets qu’ils produisent, impliquant ainsi des variations dans leurs visées didactiques. Il s’agira alors de répondre à la question suivante : Comment les effets de versification influencent la portée de la narration ? Dans un premier temps, Phèdre comme La Fontaine fait de la fable un récit vivant, accentuant la

actions se passent ailleurs, à l’entracte ou dans les coulisses. Le spectateur l’apprend par les récits qu’en font les personnages. La tragédie doit aussi respecter la bienséance; le langage sera noble, le style soutenu. Toute familiarité et tout comique est exclu. On ne montre pas de réalisme vulgaire, pas de duel, pas de combats ou suicides. Le sujet doit être emprunté à la légende, l’histoire ou la Bible. Les héros doivent être des personnages d’un rang élevé. La tragédie doit se présenter en

personnage même de la doctrine optimiste. Son expérience de l'autodafé et de l'inquisition l'ammenant à voir le monde comme un veritable enfer. le lecteur, alerté s'interroge sur les enjeux du chapitre, d'autant plus que celui ci multiplie le registre comique, et les traces d'ironies. Il y a une contradiction entre le secret "infaillible" un moyen " efficace" qui caractérise l'autodafé. Et le deuxième tremblement de terre, signalé à la fin du deuxième paragraphe caractérisé par un fracas épouvantable

est liée à son histoire et au statut même de la comédie chez les théoriciens classiques. On distingue habituellement trois périodes au dix-septième siècle. De 1590 à 1623, c’est une période relativement faste pour le théâtre et le genre comique en particulier : la fin des guerres de religion, le renouveau de la création, une plus grande liberté sociale et politique laissent libre cours à un théâtre relativement varié, avec en tout cas très peu de règles, et une place importante donné au

de percevoir en quoi cette scène comique tranche avec la tonalité tragique de la scène précédente où Ruy Blas livrait son désespoir dans un monologue lyrique, et dans quelle mesure elle répond aux exigences du drame romantique dans le mélange des genres et registres. Supports : Acte IV, scène 2, jusqu'à « De plus spiritueux! » Questions préparatoires : Situez le passage. En quoi cette scène vous paraît-elle comique ? Projet de lecture : En quoi cette scène comique est-elle représentative du drame