Représentation des connaissances


faux
billet
mais
aussi
vrai
faux
passeport)
 le
texte
de
SPINOZA
permet
une
définition
intéressante
de
la
vérité
:
 La
vérité
est
dans
le
rapport
entre
une
représentation
et
son
objet.
 De
plus,
il
propose
un
CRITERE
par
lequel
le
vrai
peut
se
distinguer
du
faux
:
celui
de
la
 CONFORMITE
ou
de
l’ADEQUATION
de
la
représentation
à
son
objet.
 Est
dite
vraie
une
représentation
qui
est
conforme
à
son
objet.
 
 Mais
comment
vérifier
cette
conformité
?
 Par
 le
 biais
 de
 l’EXPERIENCE
 SENSIBLE
 (notion
 du
 programme


exposé consiste à travailler sur les représentations sociales qui se rapportent à mon thème : le syndrome des bébés secoués, autrement appelé le syndrome de l'impact des secousses. Pour commencer, je vais définir le terme "représentations sociales", l'expliquer, et dire en quoi cette définition me parait correspondre le mieux à mon sujet. Ensuite, je vous définirai le syndrome des bébés secoués. Pour finir, et arriver enfin à tirer les différentes représentations sociales liées à mon thème, je vous

tisser un réseau de vraisemblances, qui ne pourra sans doute déboucher que sur des hypothèses de travail. Notre ambition n'est pas prescriptive: nous nous situons davantage sur un plan épistémologique, c'est-à-dire dans l'étude de la validité des connaissances avancées en didactique de l'EPS. 1. L'INFLATION COGNITIVE. Les rapports entre verbalisation et apprentissage moteur peuvent être envisagés selon deux versants. Un premier versant, ascendant, relèverait de la verbalisation de son propre comportement

la manière dont les concepts peuvent se rapporter a priori à des objets ». En d’autre termes, elle a pour but de légitimer les concepts a priori. Dans notre extrait issue du paragraphe 24, l’auteur montre tout d’abord que la connaissance de soi, tout comme la connaissance des objets, est dépendante de l’espace et du temps. Le problème que soulève Kant ici est celui du paradoxe des deux « Moi ». Ainsi, nous aborderons le rôle de l’imagination pour ensuite expliquer ce paradoxe. Enfin, la réfutation

– socioconstructivisme – programme d’études – paradigme épistémologique – transfert - adaptation Résumé : Ce texte montre la nécessité pour un programme d’études de ne faire référence qu’à un seul paradigme épistémologique de construction de la connaissance. Il clarifie ensuite les concepts de constructivisme et de compétence et montre que, dans les nouvelles perspectives curriculaires des liens sont établis entre ces deux concepts. Ils ne sont pas incompatibles. Un des effets de cette mise en correspondance

c’est en ce point qu’il se distingue de l’animal. Cela signifie que l’être humain va au-delà d’une simple connaissance spontanée liée à son affectivité et son intuition mais il parvient à accéder au stade du moi, celui du sujet pensant. Ainsi l’homme saisit sa propre personne pour objet et ainsi acquiert une certaine connaissance de ses états et de ses actes. C’est sur la valeur de la connaissance apportée par la conscience de soi que porte le sujet. Nous sommes amenés à nous demander si la conscience

La vie et ses représentations Dans Le rêve, Jean-Baptiste Edouard Detaille peint ces soldats français qui après la défaite de Sedan contre les Allemands, rêvent de l’époque pas si éloignée de la Grande armée victorieuse. C’est bien que l’imagination et les représentations qu’elle permet occupent une part essentielle dans la vie des hommes. Ainsi il nous faudra nous interroger sur la manière la plus juste de se représenter la vie. Entendons par manière juste, la manière qui nous permettra d’aboutir

avec les espoirs, parfois excessifs, que nous plaçons en elles. En effet, la connaissance scientifique est considérée dans la tradition occidentale comme la forme ultime de la connaissance, à la fois de par sa méthode, qui se veut rigoureuse et objective, et de par son contenu, qui nous permet de bâtir des certitudes sur le monde. Nous pourrions définir la science moderne comme un ensemble de connaissances élaborées sur le fondement d’une méthode rationnelle et objective et visant

conscience, esprit, âme… termes qui renvoient à cette possibilité pr l’homme de prendre conscience de la réalité où il se trouve implanté, ce qui généralement s’appelle la possibilité de représentation, l’homme étant avant tout non seulement ce qui positivement le constitue mais aussi cet être de possible tel que la représentation en général en dépend sans compter que de ce fait il peut être là où il n’est pas d’une certaine manière, ce qui est bien la marque qu’il échappe à son milieu par l’imagination, l’invention

Objectivité Subjectivité Relation Connaissance de soi La connaissance de soi et du monde permet une meilleure interaction avec le monde extérieur grâce à laquelle nous pouvons agir sur nos sentiments. Nous permet également de hiérarchiser nos émotions (primaires ou universelles, secondaires ou sociales ou d’arrière-plan) Connaissance du monde (Repose sur une perception sensible et subjective) Émotions= Objective (Pour Damasio : réactions de l’organisme dirigées vers l’extérieur, donc publiquement