Symbole de Nicée

La chrétienté n'est plus unie : en 1054, les orthodoxes ( obéissant au Patriarche de Constantinople) se sont séparés des catholiques (obéissant au Pape de Rome) 1. Quelles sont les croyances des Chrétiens ? Elles sont contenues dans le Symbole de Nicée (ou Credo) élaboré en 325 lors d'un concile ( réunion de tous les évêques de la chrétienté) 2.Quelle est la place de L’Église dans la société médiévale ? Dans l'image on voie 3 personnes, un soldat qui va à la guerre, un paysan qui cultive

de la personne de Jésus. Puis l’Ecriture devient normative pour la communauté. Prenant pour base la constitution et la transmission du kérygme, l’auteur montre comment l’expérience communautaire est à l’origine de l’Ecriture. De slogans brefs aux symboles, il s’agissait pour les premiers chrétiens de professer une foi commune et de pouvoir en rendre compte aux païens. Inversement, l’expérience de la communauté devient aussi normative. Bernard Sesbouë se penche sur la réaction de Saint Irénée de Lyon

allemands, protestants. C’est ainsi qu’en 1536, le synode anglais donne une première confession de foi : Les dix articles. Cet écrit déterminant que la source de la foi chrétienne est l’Écriture, et que les trois premiers symboles reconnus sont le symbole de Nicée Constantinople, le symbole des Apôtres et celui d’Athanase. Il reconnaît aussi trois sacrements primordiaux : le baptême, la pénitence et le cène, bien que les autres ne voient leur existence illégitime. Les cérémonies catholiques, la vénération

pendant des années avec l’hérésie arianiste, ou mieux la variante arianiste du Christianisme, qui elle hiérarchisait les 3 aspects de la divinité, plaçant le père plus haut que le fils, et refusait la Trinité, conflit qui dura jusqu’au Concile de Nicée en 325. Il faudra par conséquent aller un peu plus dans le passé. La triade, c'est-à-dire l’ensemble de 3 divinités, qui nous est sans doute la plus connue et la plus accessible (études classiques latines obligent) est la triade capitoline : Jupiter

persécutions : le poisson, car le mot poisson en grec : ICHTUS pouvait être formé par la première lettre des mots grecs de « Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur », et n’était pas connus des païens. Mais la croix s’est rapidement imposée comme le symbole universel des chrétiens en raison de la place centrale de la mort et de la résurrection de Jésus. X– Calendrier liturgique (cf. fiches fêtes chrétiennes) 1) L’Avent et Noël 2) Le Carême 3) Pâques 4) L’Ascension 5) La Pentecôte

(1534-1591). Elle porte le nom d'une riche famille italienne, pour laquelle l'architecte a beaucoup travaillé. C’est sans doute la première chapelle que la Contre-Réforme dédia à un culte ancien de la Vierge. L'une des fresque représente le Concile de Nicée. H : Chapelle Avila La chapelle Avila, à gauche de la nef, est réalisée par Antonio Gherardi (1638-1702) en 1680. Le peintre et architecte a été l'élève de Pierre de Cortone (1596-1669). Le dôme de la chapelle est percé d'un oculus, d'où quatre anges

fondamentale des chrétiens contenue dans l'Épitre de saint Paul aux Corinthiens, stipule que, si Jésus-Christ n'est pas ressuscité, la foi chrétienne est vide[9]. Deux autres professions de foi sont venues préciser la foi chrétienne, le Symbole des Apôtres et le Symbole de Nicée-Constantinople (ou credo). Cependant, tous les chrétiens n'accordent pas une valeur à ces deux derniers. Ces professions de foi sont divisées en quatre parties. La première confirme la doctrine monothéiste du christianisme en stipulant

marque le début de la crise iconoclaste avec l’action de Leon III, détruisant l’image du Christ se trouvant sur la porte de son palais à Constantinople. Par la suite, il y aura un concile en 730, confirmant la destruction des images. Le concile de Nicée en 787 reconnait la légitimité de la vénération des images. La crise s’achève en 843, avec la victoire définitive des images. Le statut privilégié de l’image devient alors rapidement un facteur de l’identité orthodoxe, notamment avec l’arrivée de l’iconostase

Rome, Ignace d’Antioche… B.2 : Les Pères du IIe siècle - Les Pères "apologistes" : Justin, surtout Irénée… Ils se sont préoccupés tout particulièrement des hérésies (nombreuses). C'est par là que s'expliquent en partie les grands Conciles : Nicée (325), Constantinople (381), Ephèse (431)... On sait le rôle de certains "Pères" pour lutter contre les hérésies : Irénée (V. 140 – 208), St Hippolyte de Rome (v. 170-v 235)... Il s’agit très précisément, alors que l’Eglise s’étend, de préciser le

la messe, l’exposé de la foi catholique, à savoir le Credo, avant la lecture de l’épître selon le canon de la liturgie. En demandant au roi s’il croit ainsi, Gervais de Reims s’assure de la catholicité du futur roi des francs : le Credo, ou  symbole de Nicée, manifeste la foi orthodoxe. La défense de la foi et de l’Église relève du ministère royal depuis l’époque carolingienne (cf. le capitulaire Admonitio generalis de Charlemagne en 789). La profession de Philippe ou professio, promissio : engagement