Tuyère

travers une tuyère. Les tuyères utilisées pour l’obtention de ce type d’écoulements sont des tuyères de Laval munies d’un convergent et d’une partie divergente (Figure 3.3) qui va guider le gaz pendant sa détente. Leur principe sera décrit en détails au paragraphe 3.2.1. On utilise généralement pour la détente un gaz inerte (N2, Ar ou He), appelé gaz porteur, l’effet Joule Thompson associé à l’expansion adiabatique assure l’obtention de basses températures. Lorsque le profil de la tuyère à été correctement

par la réaction entre un carburant et un comburant, les ergols dont nous parlions plus haut. Cette réaction produit un gaz sous très haute pression, qui est expulsé par l’intermédiaire d’une tuyère, pour produire la force de poussée (la force propulsive) et donc propulser le vaisseau. La forme de cette tuyère est d'ailleurs un élément clé pour la performance du système. Le principal inconvénient de ce système est le fait qu'il nécessite une réserve très importante de carburant, car malgré la forte

rapport de pressions optimal est aussi fonction des rendements, et il peut être démontré que dans le cas du cycle réel, on obtient: 1 T p3 4 p4 opt = T4 T CT 1 2 Des pertes de pressions dans la chambre de combustion et dans la tuyère font de plus que p 4 < p 3 et p6 > p 1, ceci diminuant davantage le travail de la turbine. 3s 3 p6 6s p1 6 1 s 2. La turbine à gaz réelle La turbine à gaz réelle se distingue du cycle de base par plusieurs faits. D'abord il

décollage est de 650 tonnes. Soit 84 % du poids est consacré aux ergols (ergols : c’est une substance homogène qui sert, en association avec d’autres ergols, à fournir de l’énergie en astronomie ; propergols : association d’ergols). De plus chaque tuyères des moteurs sont orientables ce qui permet à l’ordinateur embarqué de corriger des erreurs de trajectoires en cours de vol. I- Etage principale cryotechnique (E.P.C) [pic] Cet étage est la partie d’Ariane qui certainement a demandé

Débitmètres de pression différentielle : L’indication de ces débitmètres est une pression différentielle dont la racine carrée est proportionnelle au débit mesuré. Cette catégorie de débitmètre regroupent les débitmètres à diaphragme, tube de Venturi, la tuyère et le tube de Pitot. • Débitmètre à turbine • Débitmètre à ultrasons • Débitmètre à effet vortex • Débitmètre électromagnétique • Débitmètre à flotteur (ou rotamètre) • Débitmètres massiques (ou débitmètres-masse)

Décoller comme une fusée c. Multiplier les moteurs III- La poussée vectorielle a. Historique de la poussée vectorielle b. Principes, problèmes et performances c. Mouvements de tuyères dans un ou deux plans d. Tuyères synchronisées IV- Les avions équipés de la poussée vectorielle a. Différents types d’avions b. Le Harrier II V- Bibliographies et synthèse a. Synthése de baptiste

opposé à celui où se trouve l'orifice de sortie (tuyère) qui, étant supérieure à la pression ambiante fait se déplacer le corps de la fusée dans le sens de la poussée la plus forte. Fonctionnement du moteur-fusée Comme dans un moteur de voiture, la propulsion par un moteur-fusée utilise l'énergie dégagée par la combustion d'un carburant avec un comburant. Le moteur-fusée comporte deux éléments essentiels : la chambre de combustion et la tuyère. Dans les moteurs à propergol liquide, ceux-ci sont

propres. La propulsion spatiale est un domaine de recherche actif, pourtant la plupart des vaisseaux spatiaux utilisent actuellement le même type de propulsion s'appuyant sur l'éjection de gaz à grande vitesse en arrière du véhicule au travers d'une tuyère*. C'est à cette méthode que nous nous intéresserons, elle est appelée moteur-fusée. C'est par le biais de cette méthode de propulsion que l'homme est capable d'envoyer des fusées dans l'espace depuis 1965 avec les premiers missiles de type V2, ou

entraînent à l’aide d’un arbre rotatif le compresseur et les accessoires indispensables au fonctionnement du réacteur ( pompe à carburant, alternateur etc...) , ce qui permet d’assurer la continuité du mouvement. Les gaz s’échappent ensuite dans une tuyère de section convergente afin de les accélérer en sortie. Après quelques secondes, lorsque le régime de rotation est suffisant, le démarreur est désaccouplé et la bougie éteinte. Le moteur peut alors fonctionner de façon autonome pour atteindre son

forte compression du gaz, entre 10 et 30 MPa, qui donne une grande concentration volumique en O2.donc un meilleur rendement.) Ce mélange, après combustion, se dilate et produit ainsi une grande quantité de gaz chauds violemment éjectés vers la tuyère. Ces gaz entraînent simultanément une turbine qui actionne les compresseurs grâce à un axe central qui les lie. Le démarrage d'un turboréacteur nécessite l'application au compresseur d'une vitesse de rotation suffisante d'où la présence d'un moteur