muss13
UNE DES PRINCIPALES CAUSES
DE DÉCÈS ET DE PAUVRETÉ
DES ENFANTS EN AFRIQUE
LUTTER CONTRE LE PALUDISME EN
AFRIQUE–ACTIONS ESSENTIELLES
POUR L’UNICEF
I Renforcer la participation de l’UNICEF aux services prénatals qui ont fait leurs preuves
I Forger des partenariats avec le Programme élargi de vaccination pour mener des actions communes concernant les moustiquaires imprégnées d’insecticide et le traitement préventif intermittent (c’est-à-dire le traitement des enfants avec des médicaments antipaludiques lors des vaccinations, actuellement à l’étude)
I Animer les efforts de la campagne Faire reculer le paludisme pour augmenter le nombre et l’utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticide, en ce qui concerne notamment les prévisions et les achats
I Travailler avec les partenaires de Faire reculer le paludisme pour améliorer la disponibilité des associations thérapeutiques à base d’artémisinine (ACT)
I Continuer de diriger le contrôle et l’évaluation des progrès accomplis par la campagne Faire reculer le paludisme vers les
Objectifs de développement pour le Millénaire
I Travailler avec les partenaires de Faire reculer le paludisme pour coordonner un soutien efficace des programmes de pays.
Photo de couverture : Cette femme de la ville de Xai-Xai (Mozambique), son bébé serré contre elle, se prépare à rentrer à la maison après sa journée de travail au marché.
©UNICEF/HQ94-1280/PIROZZI
LE FARDEAU DU PALUDISME
Chaque année, le paludisme, une maladie parasitaire transmise par la piqûre d’un moustique, provoque entre 300 et 500 millions de cas de maladie et entraîne le décès de plus d’un million d’enfants. Les enfants de moins de cinq ans vivant en Afrique subsaharienne payent le plus lourd tribut à la maladie : près de 3 000 d’entre eux en meurent chaque jour. En Afrique, le paludisme est à l’origine d’environ 20 pour cent de tous les décès d’enfants. Certains enfants sont victimes d’une attaque aiguë de