Profession MANAGER

(Introduction)

Etude conduite dans une triple articulation: ⁃ manager en tant qu'acteur et sujet; ⁃ les actes du manager; ⁃ son environnement (situation-problème et contexte économico-sociale).
Bien souvent la question du manager en action est oubliée: ce n'est pas le cas ici (analyse systémique).

Dans management, il est entendu: gouverner, diriger un collectif, veiller sur l'avenir, mettre en oeuvre des projets.

(Chapitre 1: De quel manager parlons-nous?)

De «dirigeant» (du latin dirigere qui siginifie conduire) on est passé à l'anglais «manager». Mais il y a avait déjà des théories sur le dirigeant: ⁃ l'école classique: pour la plupart des économistes classiques (et surtt Shumpeter), «l'entrepreneur explique tt ou presque tt». Il est au coeur de chq décision, il se confond ac l'innovation. Mais exception de Marx qui le voit comme un jouet du système, sans volonté propre, dépendant des forces du marché; ⁃ les théories personnalistes: on veut comprendre pourquoi cet homme est manager plutôt qu'un autre. Max Weber emet trois sources de pouvoir: traditionnelle, légale et charismatique. Blake et Mouton montrent que le manager doit être capable de se centrer à la fois sur ses résultats et ses hommes. L'approche situationnelle insiste sur la hiérarchie en disant que celui qui détermine le manager, c'est le suiveur car c'est à lui qu'il doit s'adapter pour qu'il execute ses ordres. Mais cela ne répond pas à la question: quelles st les caractéristiques d'un manager? Est-il possible d'apprendre ces caractéristiques? ⁃ les apports de Mintzberg: il constaste que la gestion est un métier de réactions plutôt que d'actions, de communication, fragmenté et changeant. Il établit en csqs 3 grds rôles: interpersonnels, informationnels et décisionnels. Avec lui, on est passé d'une analyse normative à une autre descriptive.

(Chapitre 2: Au delà des modes, les théories du management)

Il y aurait une nouvelle théorie du