Tous les matins du monde
La musique comme langage : la viole apparaît comme le moyen d’expression idéal pour exprimer les sentiments et pour communiquer avec les êtres chers.
Le roman est marqué par une attention particulière aux sons. La description de l’environnement est faite d’indications sonores : « le claquement des sabots », « les cliquetis des éperons sur les pavés », « les cris », « le bruit singulier » de l’écrasement des cerfs-volants et des hannetons. On reconnaît là l’oreille du musicien qui écrit. La relation à la réalité est médiatisée par le son. Le film accorde lui aussi une importance