11 Juillet 1956 Amicale Annamites Paris

les lois de la République ». La liberté d’association constitue un principe fondamental reconnu constitutionnellement par les lois de la République, et la décision de l’Administration doit être vérifiée au regard de ces lois (11 juillet 1956 : Amicale des Annamites de Paris). La Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen (26 août 1989) n’est pas reprise dans la CF de 1946. Le Conseil d’Etat utilise la déclaration, non pas directement, mais indirectement et par le biais des « principes généraux

détient le pouvoir législatif et se compose de deux chambres : • l’Assemblée nationale : 577 députés élus par les citoyens, pour 5 ans, au scrutin uninominal à 2 tours ; • le Sénat : aux termes de la loi organique n° 2003-696 du 30 juillet 2003, dès 2004 ils sont élus pour 6 ans, avec renouvellement par moitié tous les 3 ans, au suffrage indirect par les grands électeurs (les députés, des conseillers généraux et des délégués des conseillers municipaux dont les maires) Leur nombre doit

administratives ou organes administratifs. Administration centrale: Il s’agit des administrations centrales qui agissent au nom de l’État avec un tire de compétences qui s’étend à l’ensemble du territoire national, bien que elles soient situées à Paris. Par exemple, le ministère de l’agriculture. Services déconcentrés: Il s’agit des administrations qui agissent au nom de l’État avec un titre de compétence qui se limite à la circonscription administrative dont-elles ont la charge. Exemple: la

administratives ou par des autorités publiques. Administrations centrales : il s'agit des administrations qui agissent au nom de l'État, avec un titre de compétences qui s'étend sur tout le territoire national, bien qu'en principe, elles soient localisées à Paris. Ex : le ministère de l'Agriculture Aux administrations centrales s'opposent les services déconcentrés. Services déconcentrés : Se sont des administrations qui agissent au nom de l'État mais avec un titre de compétences limité à la circonscription

continuité des services publiques Ø DC : dégage des objectifs à valeur constitutionnelle (OVC) comme le principe d’accessibilité de la loi. Ø Conseil d'Etat, 18 avril 1947 + Dehaene 1950 : droit de grève comme PPTN Ø Conseil d'Etat, amical des annamites de Paris, 1956 : reconnait PFRLR de liberté d’association Ø Conseil d’Etat, 2008, Commune D’Annecy : reconnait valeur juridique charte de l’environnement B. Applicabilité des normes constitutionnelles La condition de l’applicabilité est définie

qu’est en cause l’organisation ( Juge administratif ) - Ou le fonctionnement de ce service ( Juge judiciaire ) Le juge compétent ne sera pas le même . Cette règle résulte d’un arrêt du tribunal des conflits , dit « préfet de la Guyane » du 27/11/52 . Même lorsqu’un service public de l’administration est en cause , géré par une personne publique il n’y aura pas forcément compétence du juge administratif . Lorsqu’un SPIC est en cause , ce sera le juge judiciaire qui sera compétent . Même

préalable des autorités publiques. L'idée étant de garantir l'ordre public. Dans le système français c'est un régime parfois admis. Ce régime limite a priori les libertés c'est la raison pour laquelle le contrôle préventif est généralement exclut ( 16 juillet 1971 : liberté d'association ). Le régime répressif : Ce régime est le plus favorable pour les libertés, c'est l'inspiration libérale. L'idée est que l'exercice de la liberté est immédiat, les autorités publiques n'ont pas à consentir une autorisation

qu’une valeur législative. Cette nouvelle qualification s’impose à la loi or le législateur avait considéré que les mesures d’éloignement à l’encontre des étrangers en situation irrégulière (loi Joxe) relevait du juge judiciaire. Dans sa décision 28 juillet 1989, le CC applique le nouveau principe constitutionnel pour estimer que les décisions du préfet ne peuvent relever que de la juridiction administrative. Ces décisions du CC interprètent également le principe de séparation des autorités administratives

cliquet. Le conseil devrait confirmer cet abandon. Les lois anarchie la plus totale. Une dizaine de lois font référence à des droits et libertés fondamentales. On peut se référer à des lois qui qualifient un droit expressément de fondamental (loi du 6 juillet 1989, art 1 : « le droit du logement est un droit fondamental »). La loi du 4 mars 2002 qualifie la protection de la santé comme un droit fondamental. La loi de 1995 dit identiquement que la sécurité est un droit fondamental. Références génériques

on connaît la juridiction compétente. Or cela n’est pas toujours le cas. Cass. Civ. 23 nov. 1956, Trésor public c/ Giry : « le juge judiciaire a fait application des règles du droit administratif ». On désigne ces règles comme le régime administratif. Ce régime n’est pas propre à la France, mais le système français reste spécifique. Note sur l’arrêt Giry : "à partir de l'arrêt Giry du 23 novembre 1956, la Cour de Cassation avait admis que le juge judiciaire pouvait faire application des règles