1ere Personne Du Singulier

ANNONCE DU TEXTE 1) L'objectif apparente du texte. ( point de vue) focalisation externe, l'auteur n'est pas A, pas Franck, un doute sur le mari, le moindre déplacement est modifié. Des suppositions (L7) <paraissait> Absence de la première personne du singulier, donc il n'y a pas de focalisation interne. Il est présent, c'est un spectateur de la scène, un témoin silencieux, il sait des choses dès le début du texte. « il n'est pas rare » cela se passe souvent. Ca se passe par les gestes et l'ouïe

nouvelle au roman : le roman réaliste contemporain • Perspectives complémentaires : Le travail de l’écriture= choix du pseudonyme. Problématiques développées= a) compétence maîtrise de la langue= le style de MOMO/la narration à la première personne, les néologismes, les jeux de mots b) compétence culturelle= Histoire et société= après seconde guerre mondiale/les bidonvilles parisiens= misère sociale/l’immigration Travail sur l’écrivain= Romain Gary ou Emile Ajar= la problématique

La troisième déclinaison Les temps primitifs 1ere personne du présent de l'indicatif 2eme personne du présent de l'indicatif infinif présent 1ere personne du parfait de l'indicatif supin Le parfait -i -isti -it -imus -istis -erunt Le présent -m -s -t -mus -tis -nt parisyllabique : le nombre de syllabes est le même au nominatif et au génitif singuliers (par = égal) civis civis, mare maris --- imparisyllabique : il y a une syllabe de plus au génitif qu'au nominatif

monosyllabiques ayant une voyelle en position initiale de radicaux requièrent un |k-|support quand ils sont conjugués au présent. Exemple : les verbes |ku-ɛn| « voir », |ku-ól| « venir », |ku-ɛl| « faire » donnent au présent à la première personne du singulier : "I ɛ́kɛ́nɛn" (1sing pr-k « je vois », "i ókólon" « je viens », "i ɛ́kɛ́lɛ" « je fais ». Principe XIII En nuasúɛ, la voyelle haute i se prononce respectivement u lorsqu’il est directement précédé de u. Exemple : mu-ik « feu »

Cristo de Dumas ainsi que L'étranger d'Albert Camus. Chacun de ces textes dévoile la pensé et les sentiments de chaque personnage. Dans les deux extraits de Victor Hugo et d'Albert Camus, le narrateur est interne, il est écrit a la 1ere personne du singulier. Pour Le dernier jour d'un condamné, « j'habite », «  je viens de me réveiller ». Le lecteur peut donc s'identifie à travers le personnage et connaître ses pensées. Pour l'Etranger « je suis rentré », «  je ne comprenais pas ». Cela laisse

déclaration d’amour d’Alceste, sans que Célimène ait vraiment à se défendre. a. Un faux dialogue : Echec de la communication, Alceste s’écoute parler, monopolise la parole et empêche Célimène de s’exprimer. * omniprésence de l’emploi de la 1ère personne du singulier, sorte de monologue ; ne s’exprime pas directement à Célimène, de telle sorte qu’elle n’est pas vraiment la destinataire du message délivré : emploi de « on » (pronom indéfini), « elle » alors que Célimène est présente. * absence de réponses

par rapport à la société qui les déçoit(poèmes engagés, expression de leur révolte) → extrait des Contemplations (1856), recueil très connu constitué de deux partie : « Autrefois »/«Aujourd'hui » autour d'une date : le 4 septembre 184 → livre III, 1ere partie, « Les Luttes et les rêves » = misère du peuple - poésie engagée et poésie lyrique + composé de sept quatrains en décasyllabes et pentasyllabes = sorte d'ode à l'araignée et à l'ortie + défense des exclus, des opprimés et des marginaux… -VH

Raphaël Hytlodée (précision dans l'intro. du texte) indices de la 1ère personne du singulier en fonction: - sujet: 1er §: l1 « je reconsidère », « j'observe », l2 « je n'y vois »; 3ème §: l23 « je vous rappellerais », « je soutiens ». -objet: l2 « dieu me pardonne ». indices de la 1ère personne du pluriel: -impératif: 2ème §: l19 « ajoutons-y » *Présence de l'interlocuteur: indices de la 2ème personne du pluriel:3ème §: l23 « pour mieux vous persuader », « je vous rappellerai »

O RG ANIS ES AUTOUR DU PRESENT: (ANCRES DANS L’ENONCIATIO N. TEMPS DU | passé composé | futur | présent imparfai t DISCOURS) Le narrateur est celui qui raconte l’histoire. Il ne faut pas le confondre avec l’auteur du récit (la personne réelle qui a écrit le texte) ni avec les personnages (le narrateur n’est pas forcément un personnage du récit). Le point de vue est un choix que fait le narrateur pour raconter son histoire: il choisit un angle de vue, un jeu de “caméras”. Le

Nous marchâmes aussi longtemps que le courage de Manon put la soutenir » à « aviez-vous résolu de ne les pas exaucer ! ». La première phrase met l’accent sur l’union des deux héros dans l’adversité, avec l’emploi du pronom personnel de première personne du pluriel « nous » en position de sujet du verbe « marcher », qui indique, au passé simple de premier plan, une action difficile car longue, comme le souligne la subordonnée circonstancielle à valeur à la fois comparative et temporelle : « aussi