2 Conceptions Du Bonheur

plus à se « défendre contre certaines excitations de déplaisir », que à procurer du bonheur. C’est de cette manière que « le moi se détache du monde extérieur » nous dit-il. Dans le chapitre 2, Freud nous dis que la vie nous apporte que douleurs et déceptions, et que la religion est la seule réponse aux énigmes universelles telle que la question de la finalité de la vie. Pour Freud, les hommes « aspirent au bonheur, ils veulent devenir heureux et le rester », ils veulent diminuer le déplaisir et le

ARISTOTE ET LA PENSEE PRATIQUE ETHIQUE A NICOMAQUE VI ; 2 : Vertus intellectuelles : Sophia (intellect + raison intuitive), intelligence, phronésis (prudence) Vertus morales : Libéralité, médiété. Habitus conscient de lui même. (Exis) Division de l’âme : Irrationnelle (végétative, sensitive) Rationnelle : Scientifique Pratique : règle : logos calculateur. L’origine de l’action morale = Le libre choix ; délibération. Accord désir - Ethique ; VI ; 5 : « La prudence est une disposition pratique

BONHEURBONHEUR C'est une relation complexe et évolutive que les intellectuels entretiennent avec la notion de bonheur. Qu'est-ce que le bonheur ? Il est frappant de constater à quel point il est difficile à définir pour les philosophes qui aiment les classifications nettes et tranchées. Lisons Kant dans les Fondements de la métaphysique des mœurs : « ...par malheur, le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu'a tout homme d'arriver à être heureux, personne

les végétaux sont des êtres doués d’une âme. Un de ses traités s’appelle de l’âme, Aristote dit que l’âme c’est la forme des êtres vivants. Pour Aristote tout ce qui existe est composé de matière et de forme. Les commentateurs appellent cela la conception hylémorphique du réel, Ex : Aristote dit que le monde matériel est fait de 4 éléments mais ces quatre éléments sont composés de matières et de formes. L’analyse hylémorphique de l’eau est pour la forme : froide, humide, lourd. La matière est le

(Schopenhauer) Le désir est second par rapport à la pensée (Aristote) Le désir comme excès Le désir est l'expression de notre puissance (Spinoza) Le désir est joie (Spinoza) Le désir est créateur La cristallisation (Stendhal) Comment atteindre le bonheur ? Satisfaire nos désirs : l'hédonisme Satisfaire tous nos désirs (Calliclès) Satisfaire certains désirs seulement (Epicure) Modifier nos désirs : le stoïcisme Modifier nos désirs Se satisfaire de notre action Etre prêt au malheur Supprimer

elle nous donne unsavoir concernant nos actes (je suis conscient de ce que je vois en même temps que de voir) ; d’autre part, elle nous donne le sentiment d’être un moi singulier (le sujet s’affirme en s’opposant à tout ce qui n’est pas lui-même). 2 Situation et conséquences du cogito cartésien La pensée présente à elle-même Pour échapper à l’erreur, Descartes suspend tout jugement par un doute « hyperbolique ». Il met fin à ce dernier en découvrant la première vérité indubitable : le « je pense

INTRODUCTION L’utopie dans sa conception faite à l’origine par More est « un lieu de nulle part ». Etymologiquement un lieu privé de lieu. Pourtant c’est dans ce lieu de nulle part, que se concentrent des visions et des conceptions de sociétés idéales, que se formulent des critiques politiques, des interrogations métaphysiques et religieuses ainsi que l’apologie du rationalisme. En un mot, l’utopie revêt une importance primordiale permettant

Justice et inégalité Sommaire 1 Définitions 1.1 Étymologie 1.2 Une notion polysémique 1.2.1 La justice comme idéal 1.2.2 La justice comme norme 1.2.3 La justice comme institution 2 Typologie 2.1 Justice antique : Droit et Morale 2.2 Justice moderne 2.2.1 Justice « générale » 2.2.2 Justice « particulière » 2.2.2.1 Justice commutative 2.2.2.2 Justice distributive

travail semble essentiel au bonheur, de l'autre de plus en plus de personnes entretiennent un rapport malheureux au travail, surtout en raison de la dégradation des conditions de travail. Cette tension entre bonheur et malheur semble bien difficile à résoudre dans une société où s'affirme plus que jamais la centralité du travail comme modalité d'intégration, de reconnaissance sociale et de définition des identités individuelles et collectives. N'y aurait-il que 2 conceptions antagonistes, définissant

point de départ de sa réflexion. Et il s’interroge sur les causes de cet échec. Comment se fait-il que tant d’hommes qui, si on les interroge, affirment savoir ce qu’est, pour eux, le bonheur, et font tant d’efforts en vue de ce but, ne parviennent pas à l’atteindre ? On pourrait voir dans cet échec la preuve que le bonheur n'est qu'un idéal, qu'un mirage que nous recherchons, mais qui nous échappe dès que nous croyons enfin l'atteindre. Cette opinion commune se retrouve dans les chansons populaires