2 Décembre 1941 Cour De Cassation Civ 2

l’article 1988 alinéa 2 du Code civil. Si l’un des époux a outrepassé ses pouvoirs en procédant seul à la vente d’un immeuble dépendant de la communauté, son conjoint, s’il ne souhaite pas ratifier l’acte, peut en demander la nullité (article 1427 du Code civil). Cette demande lui est ouverte pendant deux ans à compter du jour où il a eu connaissance de l’acte, sans pouvoir jamais être intentée plus de deux ans après la dissolution de la communauté (article 1427 alinéa 2 du Code civil). La nullité

par-rapPoI"t à - . ·'cohditionnant. jùridiq~e~=p_our-en- êtieUn événement Des exemples semblables sont nombreux, mais chaque fois, on est contraint de constater l'inapplicabilité de la notion de condition suspensive aux obligations en cause 2 . On ne peut pas non plus parler de suspension des obligations contractuelles, sous quelle que forme que ce soit. Il n'y a application d'aucune technique spécifique de suspension ; ces actes se présentent dans leur état normaP. Il s'agit, en réalité

les coindivisiaires par convention gèrent la question de la jouissance soit indemnité d’occupation aux autres pour celui qui en jouit. L’article 815 : on peut arrêter cette situation à tout moment. Premier article sur l’indivision. Loi du 31 décembre 1976 et loi du 23 juin 2006 qui a créé le chapitre II. De quelle manière on aurait des traces de la protection du monopole de fait. Dans quelle mesure le code civil consacre le pouvoir du propriétaire sur son bien. Manifestation factuelle

publiés sous la responsabilité de l’équipe de formation de la licence en Droit Tous droits de propriété intellectuelle réservés aux auteurs des documents Reproduction interdite en dehors d’un usage personnel © Université Paris X - Nanterre, décembre 2006 SOMMAIRE Avant-Propos ………………………………………………………………. 4 ¨ L’expression Les erreurs de langage ………………………………………………………… 5 L’usage des majuscules ………………………………………………………… 8 Les locutions latines ………………………………………………………… 13 Les usages de

comportement anormal, ayant pour objet de détourner une règle de sa finalité naturelle. Il s'agit souvent d'une société sans activité économique propre, en état de dépendance financière, qui joue uniquement le rôle de personne morale interposée et fictive (2). Mais il ne suffit pas de prouver une similitude de dirigeants, ou d' associés , de siège social, ou même un état de dépendance (3). En outre, la fictivité ne doit pas devenir un outil de gestion de la procédure collective d'un groupe de sociétés :

se résoudra en dommages-intérêts. Ces sommes d’argent ne sont alors pas versées au Trésor Public mais à la victime. Il existe parfois des amendes civiles, sommes d’argent que le responsable doit payer à l’Etat notamment dans le cas de pourvois en cassation abusifs. Souvent dans le domaine pénal il existe un volet civil. Le risque serait qu’il existe une contrariété de jugement, le juge pénal et le juge civil jugeant dans des sens différents. C’est pourquoi l’on a mis en place des règles procédurales

TITRE 2 : LES REGLES RELATIVES A L’INEXECUTION DU CONTRAT CHAPITRE 3 : LES SANCTIONS VISANT A LA REPARATION DES DOMMAGES CAUSES : LA RESPONSABILITE CONTRACTUELLE OU L’EXECUTION PAR EQUIVALENT Cette sanction de la responsabilité contractuelle est utilisée lorsque l’exécution forcée du contrat ou lorsque l’anéantissement du contrat ne sont pas possibles ou ne sont pas opportunes. Dans l’hypothèse de la responsabilité contractuelle, le dommage existe. Dans ce cas, le créancier va pouvoir

pour louable qu'elle soit, la prise en compte du sort des victimes ne doit pas permettre une remise en cause constante du droit de responsabilité. Un arrêt très récent, en l'occurrence l'arrêt Perruche rendu par l'assemblée plénière de la cour de cassation 17 nov 2000 , a frisé l'intolérable, a franchi l'infranchissable, pire il a provoqué un séisme dans le droit de la responsabilité en reconnaissant le droit de ne pas naître. Cette même formation solennelle, malgré les vives et hostiles réactions

de reconnaissance. Enfin, elle est un lien de droit par lequel une personne est tenue de faire ou de ne pas faire quelque chose. {text:soft-page-break} De façon générale, l’obligation se définit comme effectivement un lien de droit existant entre 2 personnes en vertu duquel l’une, le créancier, est en droit d’exiger de l’autre, le débiteur, une prestation ou une abstention. L’obligation fait partie des droits personnels des individus. L’obligation va finalement mettre en jeu un double rapport

déclaration, le nom du père, le nom de la mère, dans la limite d’un pour chacun d’eux s’ils ont un double nom de famille, les deux noms accolés dans l’ordre qu’ils décident. Contrairement au systèmes les parents peuvent faire une déclaration conjointe. 2° Si les parents n’ont fait aucune déclaration, l’enfant prend le nom de celui de ses parents à l’égard duquel sa filiation est établie en premier et le nom du père si la filiation est établie simultanément à l’égard de l’un et de l’autre. Ainsi, en