2 Juillet 1998 Chambre Criminelle

pratique il faut toujours rechercher s’il existe bien un texte. La loi pénale est une composante de l’infraction hors en vérité elle est à l’extérieure de l’infraction, elle l’a décrit. D’ailleurs dans certains manuels les auteurs disent que l’infraction a 2 éléments constitutifs matériels et morals et qu’elle a un élément constituant qui est la loi pénale. CHAPITRE 1. LE CONTENU DE LA LOI PENALE SECTION 1. L’énoncé de l’incrimination §1. Les composantes de l’incrimination Le texte d’incrimination

COMMENTAIRE D'ARRÊT: COUR DE CASSATION, CHAMBRE CRIMINELLE, 19/02/1959, REMINIAC. « Comment serait-ils exempts de péché devant la divine Providence ceux qui se souillent d'un meurtre pour conserver des biens que nous devons mépriser? ». Saint Augustin exprimait l'idée du mépris de l'avoir et de la primauté de l'être, son questionnement est aussi ancien que le débat relatif à la légitime défense des biens. Alors que le principe même de la légitime défense des personnes semble définitivement

l'université Panthéon-Assas 1. Références Ä Référence 1 : Avis du 19 novembre 1998 de la Commission Nationale consultative des droits de l’homme, sur la dénomination ''Droits de l'Homme''. Ä Référence 2 : Jacques Robert, Libertés publiques et droits de l’homme, Montchrestien, 1988, p. 5 (extrait de la préface). Ä Référence 3 : Citation de René Cassin in www.commission-droitshomme.fr Ä Référence 4 : Loi nº 79-587 du 11 juillet 1979 relative à la motivation des actes administratifs et à l'amélioration

une infraction pénale. Cependant, certains pays ont fait voter des lois dépénalisant l’homicide dans certains cas ; notamment quand la victime est atteinte d’une maladie incurable et demande à mourir. Il s'agit de la dépénalisation de l’euthanasie. 2- La sanction pénale. Il existe une multitude de sanctions pénales. Il est parfois interdit de paraître dans le lieu où l’on a commis l’infraction, interdit de revoir la victime, de pratiquer une profession en lien avec l’infraction (banquier qui aurait

conciliateur aura une mission de bon offices , il fera son possible pour tenter de rapprocher les points de vues des états antagonistes . Ex: Au Liban , Dans l'ex Yougoslavie , encore utilisée actuellement dans le conflit israélo-palestinien . 2. La médiation : L'opération est payante et elle se déroule soit sur désignation d'un médiateur par la juge soit encore par le recours libre des partis ou de l'une des partis à un médiateur . Cette procédure de médiation s'est considérablement développé

juridictions nationales : compétence universelle B. Par les juridictions internationales III. La valeur de cette justice internationale Introduction à la justice pénale internationale Définition de l’infraction pénale internationale Il existe 2 catégories : L’infraction qui entretient des points de contact avec plusieurs ordres répressifs nationaux. Ex : Marie Trintignant est tuée par B. Cantat en Lituanie  Quel est le juge compétent, quel doit doit-il appliquer ? Droit international privé

condamnation de TOTAL dans le naufrage de l’Erika, pour pollution maritime et mise en danger de la vie d’autrui. La RP a été reconnue lors de la réforme du CP. Elle est entrée en vigueur le 1er mars 1994. Antérieurement, un arrêt de la Chambre criminelle du 8 mars 1883 avait proclamé le principe de l’irresponsabilité de la personne morale  La personne morale était le fruit d’une abstraction et ne pouvait avoir de volonté propre. L’élément intentionnel de l’infraction, c'està- dire, l’intention

n°20). La compétence universelle repose sur l’idée d’une universalité du droit de punir attachée à certaines infractions, soit en raison de leur extrême gravité (les crimes internationaux) et/ou en raison d’une convention internationale (cf. art 689-2 et suivants CPP). L’espèce nous conduit naturellement à les exclure. En revanche, les données du problème nous amène à nous interroger sur les trois derniers titres de compétences de la loi pénale française. 1) La loi française peut-elle être applicable

 L'INDISPENSABLE CLARIFICATION DES NOTIONS 1.  La distinction entre récidive, concours d'infractions et réitération 2. Les quatre hypothèses de récidive B. LA PERMANENCE DU PHÉNOMÈNE 1. Les majeurs : un taux de récidive très différent selon les infractions 2. Les mineurs : un niveau de réitération préoccupant C. UNE RÉPRESSION RENFORCÉE 1. Une pratique judiciaire plus rigoureuse  2. Le renforcement de l'arsenal répressif II. UNE VOLONTÉ D'ÉQUILIBRE ENTRE L'INSTAURATION DE PEINES MINIMALES ET LE PRINCIPE

livraison, couvrant la période juillet 2008 - septembre 2009, il convient tout particulièrement d'attirer l'attention du lecteur sur les arrêts rendus en matière de causalité dans le champ des produits de santé et sur ceux, nombreux, venus parfaire le régime du recours des tiers payeurs. S'agissant des régimes spéciaux et autres responsabilités professionnelles, en plus d'un arrêt intéressant rendu par la CJCE relatif au domaine d'application de la directive du 25 juillet 1985, il faut également retenir