28 Novembre 1972 Cassation Chambre

nait viable et vivant (respirer à sa naissance), enfant mort-né est réputé n’avoir jamais était une personne, la dépouille est respectée par exemple interdit d’incinérer la dépouille avec les déchets hospitalier (cour administrative d’appel du 18 novembre 1943), il va donner lieu à l’établissement d’un acte d’enfant sans vie, pendant longtemps on établissait un acte d’état civil avec un acte de naissance et un acte de décès simultané pouvant être établit que si l’enfant mort était viable la jurisprudence

l'entreprise (réf. au contexte historique du Front Populaire accompagné de la Révolution sociale). Ce refus marque une forte contradiction de notre Histoire avec la Révolution du 27 décembre 1968. Il faudra donc attendre 14 ans, soit la loi du 28 octobre 1982 qui redéfinit l'objet des syndicats (cf. art L411-1 du Code du travail). « Les syndicats professionnels ont exclusivement pour objet l'étude et la défense des droits ainsi que des intérêts matériels et moraux, tant collectifs qu'individuels

parvenu à l’égalité entre homme et femme au sens de la famille légitime. Nous avons assisté à l’avènement d’autres familles : L’avènement de la famille naturelle : pas fondée sur le mariage, elle fut reconnu expressément par une loi du 3 janvier 1972, elle a modifié en profondeur le droit de la filiation. Elle a posé pour la 1ère fois l’égalité des filiations et l’égalité des droits des enfants, ils ont en principe les mêmes droit que les enfants légitimes (avant les légitimes avaient un statut

La Cour de Cassation a toujours écarté cet argument en rappelant qu'un rapport de détective ne peut être rejeté au seul motif qu'il a été rédigé par un détective. Elle consacre pour la première fois la recevabilité du rapport de détective dans un arrêt de principe du 7 novembre 1962 (2e section civile, n° 1020, Brunet c/ Garnier), dans une affaire où une décision d'appel avait été rendue en se fondant sur les seules dépositions d'un détective. Depuis cet arrêt, la Cour de Cassation a constamment

autre code ou loi. Elle dérive d'un principe juridique constamment appliqué dans les jurisprudences de la Cour de Cassation, laquelle rappelle ce principe dans le texte des arrêts lorsque qu'elle statue sur un pourvoi concernant une créance par exemple. En effet, selon l'article 604 du code de procédure civile8, le pourvoi en cassation tend à faire censurer par la Cour de cassation la non-conformité de la décision qu’il attaque aux règles de droit. Ces règles intègrent les lois, les règlements,

une société mère à la banque à la filiale n'était qu'un engagement moral mais dans un arrêt du 21 Décembre 1987 la cours de cassation opère un revirement et elle considère que la lettre d'intention malgré son caractère unilatérale est un véritable engagement juridique de faire ou de ne pas faire, qui est aussi une obligation de résultat. Par cet arrêt, la cours de cassation assimile la lettre d'intention à un contrat de cautionnement. Ce type de contrat est un contrat par lequel une personne (la

la capacité psychique de comprendre l’acte délinquant. Celui qui n’est pas apte à comprendre ses actes n’est pas imputable. Ce qui est le cas pour les mineurs et les personnes atteintes de troubles mentaux. L’arrêt Laboube (13 décembre 1956 – Chambre criminelle) a conceptualisé la notion d’imputabilité. Dans les faits, un enfant de six ans a blessé très grièvement un camarade au cours d’un jeu. Les parents de l’enfant victime déposent plainte, et l’enfant coupable est poursuivi pour blessures

la complexité du système d’élection des magistrats ou encore absence de toute juridiction hiérarchiquement supérieur. Les juridictions sont identiques La loi des 16 et 24 août possèdent d’autre défaut. Par exemple la création dune juridiction de cassation chargée de la bonne application de la règle de droit et de l’unification de son interprétation sur l’ensemble du territoire national. Toutes ces avancées sont issues de l’apport de la révolution française B. apport du consulat et de l’empire :

materiae aux juges de paix. D'ailleurs, « en 1806 et dans l'esprit des auteurs du nouveau code, il ne s'agissait pas tant de réformer la procédure civile que de mettre à jour l'Ordonnance de 1667 en l'enrichissant de la pratique du Châtelet de Paris »[28]. Une série de décrets d'avril 1806 institua le Code de procédure civile qui contenait dans son Titre IV du Livre I quatre dispositions relatives aux actions possessoires. Traité globalement, le régime des actions possessoires était caractérisé par

travail sont unilatéralement déterminées par le cocontractant ». Des risques de requalification existent dans la franchise du fait des relations poussées entre les parties et le contentieux n'est pas négligeable : Sous le contrôle de la Cour de cassation, les juges du fond procèdent par une appréciation in concreto des différents indices : ils vérifient notamment si le franchisé reste libre de fixer ses prix ou les encaisse lui-même sans sanction du franchiseur 4, s'il peut fixer ses horaires 5,