Philosophie

Université de Paris 1 L1 S2 Histoire de la philosophie ancienne Les Confessions de S. Augustin Synthèse du cours (3) : Première partie (suite) Les années d’apprentissage. L’éloignement de Dieu (L. I-VI) 2. Intérieur/extérieur : l’exemple du langage Augustin inscrit sa conception du signe dans le schème intériorité/extériorité qui structure également, dans une large mesure, la théorie de la connaissance. Le signe est la manifestation extérieure d’une intériorité, et dans cette mesure il est

S. Laveran sophielaveran@hotmail.com Philosophie générale Le réel Cours 1 : 19/01/15 Notes : 2 mars DST (dissertation) - 30 mars DM Méthodologie : Culture philosophique (pas seulement culture des auteurs mais des concepts aussi, au-delà de l’étymologie, culture des problèmes, des enjeux de ces problèmes) Capacité de mettre cette culture philosophique au service de véritables interrogations ; donner l’impression qu’il y a un vrai problème, que les choses sont vraiment problématiques Introduction :

devrions nous renseigner ne serait-ce qu'un peu à son sujet. Pourquoi ai-je choisi un tel sujet? Faire de la philosophie, c'est jongler entre l'abstraction et le concret. Transposer des pensées extrêmement puissantes telles que celles de Kant ou Rousseau à notre modernité est un exercice bien trop difficile pour un étudiant de 1ère année. Pourtant si j'ai choisi d'étudier la philosophie, c'est précisément pour comprendre MON monde et mieux encore, la direction qu'il prenait. En deux mois d'apprentissage

On sait l’écart qu’il existe entre la rationalité quotidienne et le coté futile de la philosophie. Cet écart nous pousse facilement à considérer cette discipline comme improductive et ce constat conduit inévitablement a des reproches. En effet, si on définit la philosophie comme la recherche abstraite de la vérité, on peut supposer qu’elle soit inutile. Pour autant, un facteur peut jeter le doute sur ce jugement : on peut se demander pour quelles raisons, si cette discipline n’avait vraiment aucun

Ce texte d'Aristote, extrait de la Métaphysique, porte sur la philosophie. Quelle est la spécificité de l'activité philosophique ? A cette question, l'auteur répond que la philosophie, fille de l'étonnement, n'a d'autre but que la connaissance pure, sans aucune visée utilitaire. Ce qui signifie qu'elle se distingue des autres activités par sa « liberté », au sens où elle est à elle-même sa propre fin. Le fondateur du Lycée soutient cette thèse en deux grands moments. Le premier explique la genèse

difficultés particulières. Contre une opinion fort répandue àl'époque. Hegel réhabilite la philosophie et affirme qu'elle est une affaire sérieuse. La comparaison avec l'art du cordonnier n'a pas ici valeur de définition de la philosophie.il s'agit d'une analogie qui permet à l'auteur de tourner en dérision ceux qui pense pouvoir philosopher spontanément. Le thème en question est donc l'apprentissage de la philosophie. En effet Hegel montre que pour l'ensembe des activités humaines, il est convenu qu'elles

Trois parties se dégagent donc naturellement de ce type de plan :  La première examine les arguments du sensus communis, en établissant qu’ils apportent une solution, claire et compréhensible, au problème posé.  La deuxième partie, est de nature « dialectique » au sens hégélien du mot, dont le but est de formuler des objections à l’encontre de l’argumentation largement acceptée par le sens commun.  Enfin, dans la dernière partie, l’effort pour penser par soi-même, qui se manifeste avant

Commentaire de texte de philosophie : J.Bentham Déontologie ou science de la morale. Dans cet extrait étudié l’auteur se pose la question suivante qui est précisé dès le début du texte : qu’est-ce que le bonheur ? Mais aussi comment y parvenir ? La thèse de l’auteur pour répondre à cette question est la suivante, pour Bentham, le bonheur existe par intérêt, l’on a intérêt à bien agir pour être heureux et aussi il faut être vertueux. Il faut penser au bonheur des autres. L’auteur parle d’une morale

Sujet : L’objectivité de l’histoire suppose-t-elle l’impartialité de l’historien ? Le corrigé : Les notions au programme : L’histoire – La science La problématique : Partant du principe que l’historien doit être objectif, quelles sont les conditions de cette objectivité ? Et cette objectivité doit-elle se penser sur le modèle de la science ? Les références pertinentes : Bachelard Schopenhauer (sur les particularités de la science) Paul Ricoeur (sur l’objectivité particulière

Sujet : Que gagne-t-on à̀ é́changer ? Le corrigé : Les notions au programme : Travail – Echanges- Culture La problématique : Les échanges économiques (qu’on peut présupposés ici concernés) ont pour but la satisfaction des besoins, donc l’intérêt, mais l’échange économique a ses limites et ses effets négatifs. L’utilitaire est-il vraiment utile ? Les difficultés / pièges à éviter : • Eviter la réponse catalogue : ça aborde ça, ça et ça • Ne pas en rester aux échanges économiques