A Quoi Bon Philosopher

extrait de http://pagesperso-orange.fr/fillosophe/pensees/mentir.htm) Désolée, mais là, vous n'allez pas couper à une vraie leçon de morale... Eh oui, ça fait partie de mon boulot de philosophe aussi. Pourquoi est-ce que "mentir, c'est pas bien" ? Et pourquoi n'est-ce jamais bien, même si souvent on ment en se croyant plein de bonnes intentions, pour faire plaisir à l'autre, pour le protéger, parce qu'on l'aime... ? Et pour tenter de résoudre cette fort rébarbative question, le pire de

Candide, Pangloss et Martin marchaient depuis plusieurs heures le long de la cité, tout en parlant de métaphysique et de moral comme à leur habitude. Ces rendez-vous quotidiens entre les trois philosophes étaient la seul et unique chose que la vieillesse ne leur avait pas prit. Cependant, arrivé à sa métairie, Candide retrouva, à son fort désespoir, Cunégonde. La malheureuse s'était enlaidie avec l'âge et la fatigue, elle était devenue hargneuse, aigries, dépourvue de féminité, et même insupportable

philosophique crée en 320 avant Jésus Christ et dont le premier philosophe est Sextus Empiricus. Ils pensent en général que la vérité est un non-sens à atteindre et que tout ce qui compte est le bonheur. Nous pouvons donc dire que les sceptiques combattent toute autres philosophies essayant de dominer la vie via la vérité, le dogmatisme en fait partie. Mais sur quoi repose le fait que la vérité est insaisissable ? Il vient du doute. Les philosophes sceptiques doutent de tout, tout d’abord de la religion

et en quoi les pièces tragédiques tempèrent ces idées révolutionnaires mais dénoncent à la fois les vices de la société. La raison qui pousse les spectateurs à apprécier ce style d'écriture sera énoncé . Dans sa préface Racine affirme « leur théâtre était une école où la vertu n'était pas moins bien enseignée que dans les écoles des philosophes. » . Lui et le théâtre classique sont du XVIIème siècle, en citant les philosophes , il devait sûrement faire allusion aux philosophes des lumières

i.htm PARTIE A°) « Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre. Qu'est-ce à dire ? C'est l'habitude du travail en général qui se fait à présent sentir comme un besoin nouveau, adventice ; il sera d'autant plus fort que l'on est plus fort habitué à travailler, peut-être même que l'on a souffert plus

Exposé Pourquoi a-t-on appelé ce siècle, le Siècle des Lumières ? Introduction Le XVIIIème siècle est considéré comme le Siècle des Lumières. Ce nom lui est donné par les philosophes que l’on appelle « les philosophes des Lumières » et est largement utilisé par tous en Europe à cette époque. On dit « Aufklärung » en Allemagne, « Enlightment » en Angleterre, « Illuminismo » en Italie et « siclo de las Luces » en Espagne. 1 – Mais d’abord : Qu’est-ce que Les Lumières ? Les Lumières sont

L’art est-il nécessairement inutile ? Depuis le début de l’ère humaine, l’art a toujours été omniprésent dans les sociétés quel soit libre ou hiératique. De plus aux files des siècles l’art s'est modernisé avec de nouvelles techniques. En partant de l'art pariétal à la préhistoire, et en passant par huile sur toile avec le naturalisme. Enfin l’art n’a fait que de se diversifier par la créativité toujours débordante des artistes aux files des siècles. Cependant avec l’arrivée d’un univers

tiens aussi à remercier Maiken Ims pour avoir relu le manuscrit et m'avoir fait de judicieux commentaires, ainsi que Trond Berg Eriksen pour ses fines observations et son soutien précieux durant toutes ces années. J.G. Une édition du Club France Loisirs, Paris, réalisée avec l'autorisation des Éditions du Seuil Le Code de la propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes des paragraphes 2 et 3 de l'article L. 122-5, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé

maïeutique, et lorsque Socrate se présente comme un maïeuticien, cela signifie qu’il fait accoucher son interlocuteur. De quoi ? Pas d’un nouveau‑né, évidemment, du moins en ce sens où il s’agirait un être vivant, mais d’un discours (un logos) dont l’interlocuteur de Socrate est porteur, et qui contient le vrai. Donc : la vérité ne se transmet pas d’un individu à un autre (ici : de Socrate à son interlocuteur), mais elle se découvre en soi-même : le dialogue philosophique est d’abord « dialogue de l’âme

tiens aussi à remercier Maiken Ims pour avoir relu le manuscrit et m'avoir fait de judicieux commentaires, ainsi que Trond Berg Eriksen pour ses fines observations et son soutien précieux durant toutes ces années. J.G. Une édition du Club France Loisirs, Paris, réalisée avec l'autorisation des Éditions du Seuil Le Code de la propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes des paragraphes 2 et 3 de l'article L. 122-5, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage