A T On Raison De Croire

( Extrait de " Histoire de Juliette, ou les prospérités du vice " ) Le premier dogme qui s'offre à moi, lorsqu'on me parle de religion, est celui de l'existence de Dieu : comme il est la base de tout l'édifice, c'est par son examen que je dois raisonnablement commencer.     Ô Juliette ! n'en doutons pas, ce n'est qu'aux bornes de notre esprit qu'est due la chimère d'un Dieu ; ne sachant à qui attribuer ce que nous voyons, dans l'extrême impossibilité d'expliquer les inintelligibles mystères

faut pas croire la détenir déjà, mais envisager que peut-être l'on se trompe ou l'on ne sait pas. Cela suppose une certaine humilité et non pas de la prétention : il faut être humble ! Pour rechercher la vérité, il faut un certain acceuil de la parole de l'autre, c'est à dire qu'il faut être prêt à écouter des objections, à entendre des arguments contraires aux notres. Mais encore faut-il vouloir rechercher la vérité, c'est à dire ne pas essayer d'avoir à tout prix raison et d'avoir raison contre

Un être libre est-il un être imprévisible ? "J'appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature ; contrainte, celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir d'une certaine façon déterminée." nous dit Spinoza Lettre à Schuller (1674). Etre libre consisterait alors à ne pas être déterminé causalement. Mais est-ce vraiment le cas ? Un être libre est-il un être imprévisible ? Les éléments que nous pouvons prévoir sont des faits qui résultent

mort est-elle rationnellement justifiable? La vie après la mort un sujet si controversé qui attire à l’être humain d’avoir une possibilité d’une deuxième vie. Ceci est sans aucun doute le souhait de chaque esprit humain. Cette question n’est pas évidente à répondre par un simple oui puisqu’il n’y a aucune preuve crédible de croire à une survie. Et nous ne pouvons pas répondre par un simple non, à la question posé car les idéologies de nos ancêtres comme dans l’aspect de la religion, les mythes et

c'est à dire une situation d'hésitation qui nous fait hésiter sur le parti ou la décision à prendre, ou sur l'opinion à adopter pour s'en sortir ou autre... Lorsque je doute, je ne sais pas quoi faire, penser ou comment agir : mon opinion se trouve alors en suspens. Tant que la « zone » du doute est active, ma faculté de se déterminer par rapport à des actions et à les réaliser, ma volonté ne parvient pas à se décider. C'est lorsque je veux être sûr de bien faire ou de bien choisir c'est-à-dire ne

INTRODUCTION Comme l’art, la religion est une manifestation de la fonction symbolique que les hommes voient dans leur relation au monde, une façon de donner du sens à l’univers dans lequel ils sont pris. On pourrait penser qu’en tant que telle, la religion est simplement un ensemble de représentations symboliques distinct de la philosophie, et qu’il faudrait séparer strictement ces deux domaines. Pourtant, la question de la religion se pose en philosophie sur plusieurs plans. Le premier plan est

certitude, à différents degrés, sans preuve. Au contraire de la foi qui elle est volontaire et recherchée. La structure de son texte commence avec la définition d'Alain sur la croyance et la crédulité qui en ressort. Il nous fait part des différents degrés qui peuvent se trouver dans le fait de croire. Les croyances par peur et désir, par coutumes et imitations, par les anciennes croyances, ou encore les croyances des intellectuels. Il conclut avec la définition de la foi qui s'oppose à la croyance

disparition de la religion Chaque individu, peu importe la culture, peu importe la couleur a des valeurs et des croyances, religieuses ou non. Certains croient en des mythes, au surnaturel ou en Dieu tel qu’il le conçoit pour expliquer son existence. D’autre part, certains se basent sur la raison et la vérité qui exigent preuves et démonstrations. Mais qu’en est-il de la religion : faut-il croire ou ne pas croire? Je présenterai en premier lieu les arguments de Démophèle, puis ceux de Philalèthe. Cela

est le désespoir suite à la perte d’un enfant. Le poème est composé de deux strophes dont une strophe de 16 vers et un quatrain en alexandrins en rime suivies . Nous nous demanderons comment Victor Hugo exprime sa souffrance et son désespoirs dans ce poème . → Lecture du poème Tout d’abords le poème est diviser en deux parties , du vers 1à11 on peut voir le désespoir du poète et du vers 12à20 son refus d’y croire Dé l’ouverture

incapable de me joindre à mes collègues dans leur décision d'ajourner la confirmation des charges et demander au Procureur d'envisager de fournir davantage de preuves ou de mener une enquête plus approfondie 2. . 2. Je reconnais que l'ajournement de l'audience au sens de l'article 61 (7) (c) (i) du Statut est une voie procédurale valide dont les Chambres préliminaires ont l'obligation de tenir compte, dans certaines circonstances, dans le cadre de leur mandat d’œuvrer à l'établissement de la vérité