Abbaye de Cîteaux

monastiques. A l’époque carolingienne, les abbayes remplissent des fonctions importantes et représente le pouvoir royal. Ex au 10e siècle la chrétienne té est en plein décadence. A la tête de l’abbaye se succèdent plusieurs … Ordre de Cîteaux prend le devant de la scène, le supérieur s’appelle Bernardo Clervaux, il a une forte influence. Beaucoup d’abbayes cisterciennes se créent. Peu importe où l’on se trouve en Europe on est jamais loin d’une abbaye. Ce dernier remplis certaine mission comme

reprendre, de façon plus ou moins légitime ou forcée ces biens d’une part (cf. precaria verbo regis de Charles Martel, puis sous les princes de la première génération) et d’autre part à continuer malgré tout à léguer des terres propres. Dans les abbayes un problème particulier se posa dans la mesure où elles n’étaient finalement pas protégées par leur immunité. Celle-ci impliquait en fait qu’un laïc, dit “avoué” ou parfois abbé laïc, s’occupe de toutes les affaires temporelles interdites à des religieux

Cisterciens, privilégient le faire-valoir direct et par conséquent le domaine (les Cisterciens confient leurs « granges » à des convers) ; dans le même temps, pour remédier aux difficultés économiques qui se manifestent à partir du XIIe siècle, des abbayes anciennes - Saint-Denis, Cluny, - se préoccupent de remettre en état leur domaine pour intensifier les productions et les revenus. Aux XIe et XIIe siècles on ne trouve pas de seigneurie dépourvue de domaine, ni de seigneur vivant uniquement de rentes

des charges ecclésiastiques et des sacrements. Le désir d'un plus grande pauvreté entraînera la naissance de nouveaux ordres monastiques, qui deviendront vite riches et susciteront alors d'autres créations : après l'ordre de Cluny viendra celui de Cîteaux, puis au XIII è siècle les Ordres Mendiants comme les franciscains.  Parallèlement, le pape tente de s'imposer face aux souverains, en particulier l'Empereur germanique, héritier des empereurs romains. Le grand conflit qui domine cette époque est

vœu de pauvreté, ce qui pousse à la constitution de nouveaux ordres qui reviennent aux principes d’origine : les chartreux (qui privilégient l’isolement) ou l’ordre des cisterciens (abbaye de Cîteaux (1098) qui incluse aussi des communautés féminines. Recherche de la simplicité, du travail et de la prière. Les abbayes bénédictines ou les chartreuses, souvent financées par des nobles qui cherchent ainsi à racheter leurs péchés, s’installent souvent en pleine forêt qu’elles contribuent à défricher

le Saint-Sépulcre aux musulmans ; ❑ Débutent après l’appel du Pape Urbain II, en 1095, à Clermont-Ferrand. 22) Cluny : ❑ Fût une abbaye fondée par Pacôme en 320 ; ❑ Fût une abbaye qui n’avait de compte à rendre qu’au Pape ; ❑ Fût une abbaye qui s’engageait à respecter la règle de Saint Benoît ; ❑ Est représentative de l’ordre Cistercien. 23) La basilique Saint-Denis :

-comme ils s’appelaient - mettaient en pratique les principes austères d’une vie apostolique et basaient l’entièreté de leurs arguments anticléricaux sur les Évangiles . Suite à une rencontre avec le pape Innocent III et une visite à l’abbaye de Cîteaux, Diègue et Dominique se dirigeaient vers la Castille lorsqu’ils rencontrèrent en Languedoc trois prélats du pape, soit les cisterciens Pierre de Castelnau, Raoul de Fronfroide et le chef même de l’ordre, Arnaud Amaury, qui leur font part de la forte

construction théorique trouve modèle dans plusieurs sources à l’instar de l’idée hiérarchique développée dans l’Eglise par les grégoriens ou encore du modèle fourni par le développement des ordres monastiques de Cluny et Cîteaux avec l’étagement ordonné des abbayes mères et des abbayes filles. Dès 1139, le verbe movere se glisse dans les actes de la chancellerie capétienne. La théorie prend forme avec Suger, le fidèle et avisé conseiller des rois Louis VI et Louis VII, qui dès 1144 dans sa Vie de

Bresse : cahier des charges validé ; en attente de la publication au Journal Officiel. A[modifier] * Abbaye : * Abbaye de Belloc, Béarn et Pays basque * Abbaye de Citeaux, Bourgogne * Abbaye de la Joie Notre-Dame, Bretagne * Abbaye de la Pierre-Qui-Vire, Morvan * Abbaye du Mont des Cats, Flandre française * Abbaye de Tamié, Savoie * Abbaye de Timadeuc, Bretagne * Abondance, Savoie, AOC 1990 * Aiguille d'Orcières, Hautes-Alpes * Aisy

mère meurt et son père l’abandonne, elle est donc confiée à un orphelinat près de Brive où elle y vivra jusqu’à l’âge de dix-neuf ans. Elle ne fera pas d’études approfondies mais apprendra à coudre et à broder dans son école qui était une ancienne abbaye cistercienne où elle vivra dans l’austérité (=sévérité) et la solitude, ce qui lui apportera imagination et volonté. A l’age de 20 ans elle est employée dans une bonneterie, Coco se met donc a créer. Voyant que ses amies adorent ses chapeaux elle