Abstraction

A - L'expérience est à la base de nos connaissances Toute nos connaissances proviennent de l'expérience. C'est le principe fondamental de l'empirisme. Tout savoir a son origine dans la sensibilité, les idées sont des abstractions élaborées à partir de la matière sensible, des impressions des sens. Une idée est une sensation affaiblie. C'est Hume qui pousse les conséquences de l'empirisme avec plus de force : si l'expérience est la seule source de connaissance, alors aucune connaissance apodictique

du peuple et le « il » du tyran… 3) Les procédés de manipulation (présente dans toute argumentation) - caractère hyperbolique : voir image du pillage - la description du tyran, malgré ce qu’il en dit (2 yeux, 2 mains…), fait de lui une abstraction, tout sauf un être humain. - à la ligne 16, nous retrouvons les mêmes arguments qui semblent être présentés comme nouveaux. III Une dénonciation hautement polémique 1) Une attaque généralisée 2) Une exhortation universelle à renverser

la source de l’existence. Cette définition renvoit à deux notions philosophique en opposition. Essence et existence Essence (lat. essentia, de esse, être; trad. du gr. ousia) : L’essence est ce qui fait qu'une chose est ce qu'elle est, abstraction faite de ses modifications superficielles et temporaires. En ce sens, elle s'oppose à accident. Par exemple, dire qu'il est de l'essence de l'homme de penser signifie que la définition de l'homme implique nécessairement qu'il pense quelles que

et puisqu’il faut mourir Mourir sans honneur ni raison, Rechercher une mort qui à ma gloire ne pourra nuire Endurer une solitude qui me laissera sans passion Respecter une filiation dont mon être entier Voit sa perte assurée ! Faisons abstraction de cette pensée trop raisonnée Qui ne me fait plus hésiter Allons soyons courageux, sauvons l’amour passionné Puisqu’après tout sans lui, impossible d’exister Oui ma pensée s’était perdue, Je veux, mon bien le plus précieux conserver

œuvres.Il traversera les grands courants artistique de la première partie du 20ème siècle, le divisionnisme de 1905 à 1910, le futurisme de 1911 à 1915, le cubisme de 1916 à 1919, le retour à la figuration de 1920 à 1943 et, enfin, néo futurisme et abstraction de 1948 à 1951. En 1921 il publie « Du cubisme au classicisme – Esthétique du compas et du nombres » où il expose ses théories sur les lois de la composition et des proportions. Ses sujets favoris sont les natures mortes avec des instruments

histoire de l’art moderne, essentiellement allemand, du début du siècle. Elles regroupaient plus de 700 œuvres confisquées dans les musées depuis 1933. Elles étaient juxtaposées et empilées autour de quelques sujets : expressionniste, antimilitarisme, abstraction, artistes juifs, femmes, religion, etc… Leur but était de démontrer l’aspect malsain et impur de cet art moderne. Lors de ces manifestations, des artistes comme Otto Dix, Max Ernst, ou encore Marc Chagall ont été exposés. L’art officiel, s’inspirant

Façade libre * Fenêtre bandeau * Toit terrasse * Pilotis * Plan libre * Géométrie rigoureuse (minimalisme) et nudité d’ornement. * Béton recouvre le plus souvent ses architectures avec un enduit ou une peinture blanche (abstraction) * Lumière a un rôle important. Style internationale : années 50 : * Minimalisme * Indépendance de l’enveloppe * Contrainte climatique, culturelle… ne sont pas pris en compte dans l’architecture avec l’environnement. L’immeuble

nationale de France QUATRE TOURS, TELLES DES LIVRES ouverts, balisent un nouveau lieu de l’Est parisien ouvert sur la ville. Austérité et géométrie de l’ensemble visible, impression de vide sur le parvis qui ménage des surprises. La froide abstraction du projet architectural s’est muée en un lieu fortement symbolique et conceptuel, la BNF site François-Mitterrand. Les quatre livres ouverts de la BNF. © CNDP Face au quartier de Bercy en pleine mutation, les quatre tours de la Bibliothèque

y cherche une certitude qui puisse servir de point de départ pour fonder l’ensemble de son savoir. Or, dans cette quête, il est progressivement amené à douter de tout, sauf d’une chose, de sa propre existence. Ainsi, cette certitude est déduite abstraction faite de tout excepté la conscience : il se coupe du monde extérieur, de son propre corps. In fine, cela signifie que la substance du sujet peut être ramenée à la seule conscience. Si tel est le cas, il est alors tout à fait logique que je puisse

diversité. 2° L’état concret-abstrait où l’esprit adjoint à l’expérience physique des schémas géométriques et s’appuie sur une philosophie de la simplicité. L’esprit est encore dans une situation paradoxale: il est d’autant plus sûr de son abstraction que cette abstraction est plus clairement représentée par une intuition sensible. 3° L’état abstrait où l’esprit entreprend des informations volontairement soustraites à l’intuition de l’espace réel, volontairement détachées de l’expérience immédiate et même