Accomplir Tous Ses Desirs Est Ce Une

Ainsi « vivre des ses désirs » est devenu une formule publicitaire assez banale. Nous partageons donc l’opinion selon laquelle le bonheur, c’est la satisfaction de tout les désirs. La libération sexuelle a enseigné qu’il ne fallait surtout pas réprimer le désir, qu’il fallait l’exprimer et se borner à le suivre. Celui qui voudrait réprimer ses désirs serait vu en notre monde comme une sorte d’exception étrange à une règle commune qui enseigne tout le contraire. Pourtant, on a tous fait l’expérience

associer nos désirs et le besoin. Certainement, tous les deux partent d’un manque, un manque de quelque chose pouvant nous servir. C'est pourquoi nous pouvons nous demander si nous ne désirons pas que ce dont nous avons besoin. En d'autres termes, désire-t-on uniquement, mais uniquement, ce dont on manque, et rien d’autre ? Il semble que ce soit le cas. Mais ne faudrait-il pas préciser les limites du besoin ? Désir et besoin sont tous de même différents en plusieurs points. Nos désirs sont d’ordre

l’irrationalité de leurs passions. Les tyrans sont en faite des faibles puisqu’ils sont esclaves de leurs désirs et qu’ils commettent l’injustice. Il ne faut pas confondre la liberté avec la satisfaction de tous ses désirs. Les tyrans font ce qui leur plaisent, selon leurs désirs, mais ils ne font pas tout ce qu’ils veulent, selon le bien. Ils ne sont alors pas tout-puissants, puisqu’ils sont esclaves de leurs désirs. Pour Socrate, la rhétorique est une partie de la flatterie, il n’a aucune considération pour

se déplace sur autre chose. Il serait donc tentant de considérer qu'il faille renoncer à nos désirs en suivant en cela les injonctions mêmes de notre raison. Vous pouvez ici penser aux analyses de Kant sur la morale. Il montre ainsi que faire son devoir consiste à suivre la loi de sa raison et non ses penchants. La morale exigerait ainsi le renoncement aux penchants. Pourtant, peut-on renoncer à nos désirs ? Et tout désir est-il de manière identique condamnable ? Pensez, par exemple au désir de connaître

cet esprit de non-représentation et ne donnera aucun sentiment humain au Dieu. C'est pour cela que le philosophe ne craint pas les divinités, il sait qu'elles ne jugent pas notre façon d'agir, et par conséquent le bien et le mal. Ainsi, même si tous les hommes craignent les Dieux, il faudrait procéder en une sorte de démystification pour éteindre cette crainte et ne plus se fier aux idées reçues. 4/ 1.En général, les hommes craignent la mort car nous "souffrons déjà à l'idée qu'elle arrivera

: Faut-il satisfaire tous ses désirs ? Dissertation Tout être humain { des désirs, des désirs qu’il aimerait bien voir se réaliser. Ainsi nous nous sommes déjà tous posé des questions sur le désir. Généralement le désir est créer par un manque, le sujet ressent un vide dans sa vie, le désir est la volonté qui voudra combler ce vide. Les problèmes qui peuvent se poser à nous lorsque nous parlons de désir, sont les suivants : « Est-ce que tout les désirs sont bons à assouvir ? »

Est-il sage de satisfaire tous ses désirs ? Au fondement du désir il y a une absence ou un manque et de ce fait le désir peut être défini comme l'aspiration à la possession d'un objet que l'on a pas ou que l'on a plus. Comme en grec (eros) ou en latin (cupido), le désir s'entend alors de deux manières : soit il s'agit du désir amoureux, qui est indissociable de la pulsion sexuelle du corps, soit il s'agit du désir d'un objet quelconque, qui vaut pour toute forme de souhait ou d'envie et est

fait que souffrir puis pourquoi il nous permet de nous accomplir et enfin qu’est-ce que nous pouvons minimiser cette souffrance et profiter des plaisirs. Epicure a classé les désirs en (dans) trois catégories ; ceux qui sont naturels et nécessaires comme boire et manger, ceux qui sont naturels mais non nécessaires comme boire ou manger des produits raffinés et ceux qui sont ni naturels et ni nécessaires comme la richesse et le pouvoir. Tous ces désires conduisent à des souffrances physiques, comme

d’agir à sa guise, selon ses choix et n’ayant aucune domination, sans avoir de compte à rendre à personne d’autre qu’à soit même (indépendance). La liberté est alors définie comme toute puissante et elle correspond à la possibilité d’accomplir tous ses désirs, de réaliser ses rêves quels qu’ils soient. Agir sans être déterminé par une raison, une contrainte, c’est être indifférent, c’est faire quelque chose sans savoir pourquoi on le fait, ceci peut donc donner lieu à des actes purement gratuits. Etre

question est plus difficile à traiter, en effet celui-ci est confronté, au contraire des autres êtres vivants, à la culture, mais dans quelle mesure cette-dernière peut-elle dénaturée l'homme ? La culture est au sens large, tous ce que l'homme acquiert à partir de sa naissance, tous ce qu'il apprend, qu'il intègre, que ce soit ce qu'il entend, ce qu'il voit (des gestes), ce que lui apporte un groupe social, et encore tant d'autres choses... Le sujet nous demande si la culture peut dénaturé l'homme, cela