Agressivité Winnicott

Jacques, ont ainsi avancé à partir des bases Freudiennes pour continuer l’étude des groupes dans lesquels elles y ont notamment décrit des processus d’ordre préoedipiens, psychotiques, en faisant appel à la pensée d’auteurs tels que Klein ou Winnicott basées sur la séparation fantasmée du sein maternel ou l’objet transitionnel. Plus tard, les chercheurs américains ont quant à eux ont travaillé sur les diverses implications des phénomènes psychiques, principalement pathologiques, dans la structuration

concept de "traumatisme de la naissance " : dès les tous premiers moments de sa vie, l'enfant connaît l'angoisse de la séparation corporelle. Il met alors en place toute une série de comportements qui l'aident à apprivoiser cette angoisse. C'est ce que Winnicot a appelé les phénomènes transitionnels. Ces comportements sont par exemple des jeux qui permettent à l'enfant de vérifier la permanence de la présence de la mère et de s'assurer de son amour (ce sont tous les jeux de cache-cache, le jeu de "coucou

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psychiques ébranlent le monde fantasmatique du sujet et cela bouleverse le maniement des mécanismes de défenses. Il faut rappeler que le renoncement des acquis interpelle chaque fois notre capacité à élaborer la castration. La capacité à être seul (Winnicott, 1969) est la capacité d’être seul en présence de l’autre. C’est la conséquence d’un travail psychique faisant suite aux « présence-absence » de la mère. Dans un premier temps de présence, la mère prend suffisamment soin de son bébé en s’identifiant

état antérieur, c’est le retour de l’organique vers l’inorganique, état qui précéde l’apparition de la vie, état neutre. ≠ L’énergie respective de ces deux instincts fondamentaux est la libido d’une part et d’autre part la force destructrice ou agressivité. ces deux forces fusionnent dans le ça. ≡ Cette énergie libidinale au cours du développement dans différents objets. Elle peut donc être étudiée dans cet élément de la libido qu’est la pulsion sexuelle et à partir des objets investis successivement

fiable. Pour ce faire, l’environnement maternel doit être stable et solide. L’enfant doit pouvoir compter dessus car il est en proie aux angoisses d’abandon. Le nourrisson est quelqu’un de très angoissé, la mère doit donc être suffisamment bonne (Winnicott). La mère suffisamment bonne est celle qui n’est ni trop présente ni trop absente. Ainsi, l’enfant pourra accéder à l’individualisation par l’expérience du manque nécessaire et aura un lien sécure. Le doudou a un rôle symbolique

(recherches de Brazelton, Stern et Cramer). Bowlby considère que dès la naissance, le bébé a des comportements d’attachement, guidé par une « pulsion primaire d’attachement » (il cherche le sein de sa mère, s’agrippe à elle, il capte son regard,…). Pour Winnicott, lorsqu’une mère allaite son bébé, elle est dans une sorte de bulle avec lui, coupée du monde extérieur ; il appelle ce moment « la préoccupation maternelle primaire », fondateur du psychisme de l’enfant. La nature de ces toutes premières relations

centré sur les conflits affectifs actuels du client plutôt que sur son vécu. Rogers a découvert des étapes communes d’ordre et de durée variables : Le client se définit d’abord par la négative. Il critique ses défauts et se défend de ressentir agressivité ou jalousie. Constatant que le thérapeute ne le juge pas, il reconnaît des sentiments jusqu’alors réprimés et s’accepte tel qu’il est : c’est la base de la compréhension de soi (ou insight) L’étape finale est la volonté du client à gérer et à assumer

centré sur les conflits affectifs actuels du client plutôt que sur son vécu. Rogers a découvert des étapes communes d’ordre et de durée variables : Le client se définit d’abord par la négative. Il critique ses défauts et se défend de ressentir agressivité ou jalousie. Constatant que le thérapeute ne le juge pas, il reconnaît des sentiments jusqu’alors réprimés et s’accepte tel qu’il est : c’est la base de la compréhension de soi (ou insight) L’étape finale est la volonté du client à gérer et à

dans un processus d’humanisation. L’enfant aurait alors besoin d’investir des figures d’attachement sécurisantes. Deux extraits d’ouvrages ont retenu notre attention dans le choix d’un thème de recherche. D’une part, dans Le bébé et sa mère, Winnicott (1992) indique que certains troubles proviennent d’une défaillance de la fonction de la mère à un moment donné. Et d’autre part, Simone Korff-Sausse, dans son article L’impacte du handicap sur les processus de parentalité indique que le handicap