Allitération En F

traduit bien l’indignation d’Eluard. 1- Le beau monde et les valeurs morales L’expression " Beau monde " est située en tête de vers : insiste sur la beauté du peuple. Il parle du monde ouvrier pauvre. Anaphore + parallélisme avec "visage bon". Allitération en f : feu froid, condition difficile du peuple. Ce sont des gens qui peuvent tout encaisser : traités comme des bêtes qui assument des tâches difficiles. Strophe VIII et IX : peuple beau représenté par les femmes et les enfants. Enfant, pureté des

10 : sensation visuelle • v. 12 : sensation olfactive (" parfum ") • v. 14 : auditive (" chant ") La rêverie s'épanouit en fonction de ses sensations. Les sensations sont mises en relief par un jeu d'échos noté par les assonances et les allitérations (f/v, l/r, m/n). Le poème fait écho à ce vers des " correspondances " de Baudelaire : les parfums, les couleurs et les sons se répondent ". Le vers de chute est le point d'apogée des sensations ; le rythme croissant 2+4+6 révèle l'extase beaudelairienne

les diriger dans leurs actions révolutionnaires démesurées. Pour démontrer cela, l’accumulation « poussez, roulez, piochez, démantelez, bouleversez, écroulez tout ! » soulève un sentiment force et de puissant extrême. On retrouve aussi une allitération en « f » qui nous fait allusion au mouvement de la foule et encore une fois à cette force inconnue qui guide ces révolutionnaires. Finalement on peut relever une ponctuation très accentué dans tout l’extrait ce qui peut renforcer cette idée de solidarité

sensations : v. 10 : sensation visuelle v. 12 : sensation olfactive (" parfum ") v. 14 : auditive (" chant ") La rêverie s'épanouit en fonction de ses sensations. Les sensations sont mises en relief par un jeu d'échos noté par les assonances et les allitérations (f/v, l/r, m/n). Le poème fait écho à ce vers des " correspondances " de Baudelaire : les parfums, les couleurs et les sons se répondent ". Le vers de chute est le point d'apogée des sensations ; le rythme croissant 2+4+6 révèle l'extase du beaudelairien

les sorcières dansent le sabbat. Les femmes sont associées au Nixes. Les femmes deviennent des « fées ». Cheveux « verts et longs » (serpent. Couleur verte accentuée par la rime intérieure avec « verre ». Allitérations en « v » et « f »dans la première strophe. v.10 « tremblant » ( atmosphère lourde (reflet anxiogène du Rhin, personnifié (« le Rhin est ivre ») Batelier qui devient désincarné (« la voix ») « râle-mourir » : néologisme qui monte que la voix

musicalité du poème en prose. - On relève une allitération en [m] dans : « Mon âme voyage sur le parfum comme l’âme des autres hommes sur la musique ». Elle confère douceur au passage et donne à entendre le murmure du chant musical. - De même, l’assonance en [ã] dans le passage suivant évoque aussi un chant et une musique : « un port fourmillant de chants mélancoliques ». - On remarque encore que le son du roulis est renforcé par des allitérations en [r] et en labiales [b] et [p] : « bercées par

soit au premier degré (lâche = pas compact) ou comme une personnification du pain = pas courageux. Mollesse de l'intérieur du pain. Comparaison à une éponge. Sonorités : "feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées" -> Allitérations en [f] et en [s]. 4. Le flétrissement du pain "Lorsque le pain rassit". Champ lexical de la décrépitude : "fanent", "rétrécissent", "détachent", "friable". Ponge cherche donc à évoquer le pain dans tous ses états, il veut en fournir l'ensemble

1 environnemT hostile : celui de « la rue » et de la foule : _ la  « rue » est personnifiée (sujet du verbe « hurlait ») pour accentuer le volume sonore qui environne la rencontre - lex du bruit « assourdissante » , « hurlait » - allitérations en [n] et [s] / assonance en [u] < dureté, stridence de l'atmosphère sonore _ poète au centre de cette rue agressive : v.1 « moi » encadré entre le sujet et le verbe => modernité de Baudelaire : la trivialité et le vacarme de cette ville

Le Loup et le Chien Introduction: ce texte est l'une des fables de La Fontaine intitulée Le Loup et le Chien écrite en 1678. Nous sommes en plein ds le Classicisme au 17 ème siècle où J F dépeind les défauts humains à travers des animaux civilisés pour mieux les corriger et critique le fonctionnement de la société et du pouvoir. Chaque récit inspire une morale. Le Loup et le Chien présente deux modes de vies opposées, celui du loup qui est libre et celui du chien qui est lui au service de son

manifestent par le bruit. L’expression « leur rafale de feuilles » (l.20) est une comparaison totalement inattendue entre le bruit des feuilles dans les arbres agitées par le vent et le bruit des tirs. Il ya une transposition du vocabulaire et une allitération en « f » qui renvoie également aux tirs ininterrompus. En même temps que les tirs soient en rafale, les soldats sont inconnus (l.22), ce qui renforce l’anonymat de la guerre. On peut également penser qu’il a un effet de symétrie, les Allemands sont