Allitération En F

jetés dans l’eau où sont enfermés les grecs. Emmêlant le tragique à l’exotisme référence à la guerre d’indépendance de la Grèce contre les ottoman pour cela V.H fait appel à un thème traditionnel de la littérature orientaliste : la cruauté Allitération en « s » et « f » donnant une sensation d’étouffement * On remarque un contraste entre la paix et la sérénité de la nature et les humains qui s’enferment les uns les autres et souffrent : antithèse en « la lune était sereine » et les sacs d’où sortent

première heure se rassurent car mon but est qu'ils le deviennent après la lecture de cette petite anthologie. Pas en leur parlant hémistiches, sur un air d'alexandrin, le tout enveloppé dans deux quatrains et un sizain … Pas en discourant sur les allitérations, tout en faisant des assonances … Mais en leur ouvrant le cœur du poème et d'abord en leur contant sa petite histoire. Le poème est la plus ancienne forme de récit de l'Histoire du monde. Au début de son existence, celui-ci était psalmodié

difficile »Accentuation de l’adjectif difficile grâce à un adverbeLa façon de vivre de saint Paul est très dure.L.7 « oui madame ! »Affirmation ferme L’Abée de Châteauneuf répond à la question en étant sûr de luiL.8« Femme »/  « fut » / « fallait » / « fait »Allitération en [f]Le mot femme est mis en lumière L.8« j’avais été » / « j’aurais été »conditionnelLa femme émet une hypothèse : si elle aurait été la femme de

phonétiquement similaires en vue de créer une nouvelle musicalité et remplacer par moments la rime traditionnelle. Les assonances et les allitérations sont donc présentes dans chacune des phrases, beaucoups de “r ” dans zone imitent le bruit des machines, de “s” et de “l” dans “le pont mirabeau” nous rappellent l’écoulement de la seine, et des allitérations en “f” dans “le brasier ” pour le crépitement du feu. Il métaphorise, compare et met en parallèle des idées nouvelles et originales, la mer qui

souligne l’inégalité dans la société basée sur le hasarde du lieux du naissance. Le hasard est un thème important pour Maupassant. C’est une absurdité tragique que on ne peut pas échapper au destin à cause d’un moment d’inattention ou d’une seule erreur. f) La naissance Perdre le bijou Trouver une bijou qui semble identique a celle de l’amie L’amie ne porte pas le bijou Elle ne remarque pas que ils sont diamants vrais Mathilde rencontre son amie à la fin de payement g) Je pense que Mathilde sera soulagé

musicalité du poème en prose. On relève une allitération en [m] dans : « Mon âme voyage sur le parfum comme l’âme des autres hommes sur la musique ». Elle confère douceur au passage et donne à entendre le murmure du chant musical. De même, l’assonance en [ã] dans le passage suivant qui évoque aussi un chant et une musique n’est pas innocente : « un port fourmillant de chants mélancoliques ». On remarque encore que le son du roulis est renforcé par des allitérations en [r] et en bilabiales [b] et [p] : « bercées

l’énonciation - quels registres repérez-vous dans la fable ? 1.Un apologue : - phrases et nb de vers + temps + métrique La morale Une phrase de deux vers = la morale (explicite/début) dans un bel alexandrin, ample et très cadencé (4x3) + allitération en R -> résonne et est devenue très célèbre et le narrateur-moraliste = registre didactique (montrer) < présent de vérité générale -> leçon à en tirer, valeur universelle (# ce que voudrait LF !) Dans le deuxième vers : présent de l’énonciation

lesquelles se reflète le ciel (ville aux couleurs bleutées). 3/ Par la suite, l’auteur fait référence aux « têtes qui foudroient le ciel » :cette métaphore renvoie aux gratte ciel, elle connote l’idée de puissance renforcée par l’allitération en « f » (sulfureuse, fûts, foudroient »). → A partir de ce moment, la ville est toujours personnifiée mais elle n’est plus assimilée à une femme comme au début, elle prend une dimension masculine, on a une ville androgyne 4 / L’idée de force, de virilité

suivants : - l'usage d'épithète « homérique » : « Hélène au beau plumage » à la place de « Hélène aux mille boucles » - l'adverbe « longtemps » fait durer le combat de volatiles => ridicule - le bruit de basse-cour et de combat par les allitérations en [k] et en [f] (= frottement des ailes) => spectacle sonore - les figures d'exagérations (« aiguisait son bec », « du sang des dieux même » : hyperbole) ou (« battait l'air et ses flancs » : zeugma) anéantissement tous les efforts du coq : il est d'autant

d’enfants », « doux ») ; ouïe (« hautbois ») o comparaisons entre ces différents sens o l’outil de comparaison « comme » matérialise la correspondance o assonance en [õ], [i] (notamment grâce à la diérèse « expansi|on ») o allitérations en [f], [R] o accumulation harmonisée par l’emploi du déterminant « le » (vers 13) o coordinations (« et ») (attention, la dernière coordination entre « esprit » et « sens » est importante expose au contraire la correspondance verticale