Allitération En F

b) L'atmosphère sereine d'une promenade sur le fleuve. On trouve le champs lexical de la promenade fluviale : « en barque », « la barque », « fleuve », « le bord ». L'absence de ponctuation crée une fluidité du rythme et les allitérations de sifflantes en [s],[z] et [f], créent une harmonie imitative renvoyant au glissement de la barque sur l'eau. Cette balade provoque un plaisir des sens : La vue est émerveillée par la beauté du paysage fluvial rhénan : « le joli mai » a une connotation méliorative

32)  Dévoile la volubilité de Phèdre et le caractère irrépressible d’un aveu qui s’amplifie et se dramatise. M3_Corrigé des exercices d’autoévaluation 22 Écriture et littérature 601-101-MQ (60.1) 2. Coupes fréquentes, nombreuses allitérations (k, t, d, r, f) et abondance d’exclamations dès les premiers vers a) « Ah ! cruel ! » (v. 4), « Eh bien ! » (v. 6), « J’aime. » (v. 7), « Que dis-je ? » (v. 27), « Hélas » (v. 32)  Les coupes traduisent le halètement du discours et donnent un rythme

Dialogue (L10 à 31) Proposition du chien Discours direct, indirect et narrativisé ( Actualise la scène ; le chien est maître du dialogue ; loup discret Félicité du loup qui pleure « de tendresse » Contraste loup agressif / loup qui pleure, allitération en f (L30-31) ( Effet comique - Chute et épilogue (L32 à 41) « Qu’est-ce là ? . . . . Peut-être la cause » Trois questions à réponses évasives (Chien alors laconique, évasif ; le loup domine le dialogue. « Cela dit, maître loup s’enfuit, et

suffisante, " t " et " é ". Masculine ETUDE DE LA 2ème STROPHE : - V 15-16 : suffisante, " z " et " en ". Masculine - V 17-20 : riche, " en ", " b " et " r ". Féminine - V 18-19 : suffisante, " eu " et " r ". Masculine - V 21-22 : suffisante, " f " et " on ". Masculine - V 23-26 : riche, " t ", " a " et " l ". Féminine - V 24-25 : suffisante, " r " et " es " ETUDE DE LA 3ème STROPHE : - V 29-30 : pauvre, " au ". Masculin - V 31-34 : suffisante, " on " et " d ". Féminine - V 32-33 :

valoriser la rosée sur les brins d'herbe : « l'herbelette perleuse ». de.. ' OQa_ bL^NCua^ d: _«J,K_ Personnification de l'aube : « Mais le dormir de l'Aube aux filles gracieux/Vous tient d'un doux sommeil la paupière sillée. » Allitérations en -s pour évoquer le chant de rossignol : « Dessus l'épine assis, sa complainte amoureuse ») 3) La nature est à l'unisson des sentiments ressentis par le poète : ces références à la nature annoncent l'amour du poète pour Marie ainsi que sa beauté

« flots bleu » et la comparaison au navire « comme un navire », le poète déréalise le corps de la femme avec son imagination.· Le rêve est évoqué par « mon âme rêveuse », le contact avec son corps donne lieu à un rêve éveillé.· Les nombreuses allitérations viennent créer une certaine musicalité.[v] « chevelure, vagabonde, navire, éveille, vent, rêveuse, vaisseau »  [b] «  vagabonde, bijoux, belle, abandon, bout, bâton, balance, bord » [m] « mer, comme, mon, âme, amer, mêlent, marcher, mollesse »

langage ». Le professeur utilise des sons et jeux de mots inattendus, en effet l’énumération des mots « papillon » « eurêka » « Trafalgar » « papi, papa »avec une allitération des sons en « p» crée un effet caricatural de sa manière d’enseignement. De plus, des changements de sons inattendus changent complètement la nature des mots les f deviennent des v, les d des t, les g des k et

PREAMBULE DECLARATION DES DROITS DE LA FEMME ET DE LA CITOYENNE :· Introduction : DDFC = texte juridique, auteure = Olympe de Gouge, publication = 1791.· Contenu = revendique assimilation F (égalité H/F) ->juridique, politique, social ; calqué sur la DDHC (26 août 1789) · Présentation texte : extrait = préambule ( intro texte ) sert à convaincre du bien fondée du texte ( lecture )· Problématique : Nous nous demanderons en quoi ce préambule justifie une constitution prônant

Cette correspondance est d’ailleurs traduite par un jeu de sonorités : - présence du « e » prononcé : « Qui suivent » v.3, « vastes oiseaux » v.3, « le navire » v.4, qui allonge le vers comme l’oiseau allonge ses ailes dans un espace infini ; - allitération en [s] et en [l/ r = consonnes liquides] qui traduisent la fluidité de l’air et de l’eau : « Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les

mystérieux, le froid inexplicable au creux du vallon baigné de soleil, ne relèvent pas en fin de compte d'une inertie passagère mais apparaît être celle d'un être inerte, sans vie. Le premier vers du second tercet qui frissonne de ses allitérations en "r" et en "f" peut redonner un espoir. La position de la main sur la poitrine qui peut être celle du sommeil ou de l'immobilité cadavérique ne peut pas confirmer le diagnostic funeste et lever le doute. Il faut attendre l'ultime vers pour enfin obtenir