Allitération En F

sans enjambement d’une strophe à l’autre, et la succession des phrases déclaratives semblent davantage décrire sous l’ordre du constat. Les sensations en tableaux : LE MAL LE DORMEUR DU VAL L’OUIE La mitraille (comm.f.1), allitération, « sifflent » en accroche, [f] Le rire méprisant Les hosannah Le sou ? (réveille malgré le mouchoir)  opposition par l’ouïe déjà de la violence de la guerre et de l’indifférence méprisante de Dieu. Diptyque. chant de la rivière aucune autre notation auditive

v. 10 : sensation visuelle v. 12 : sensation olfactive (" parfum ") v. 14 : auditive (" chant ") La rêverie s'épanouit en fonction de ses sensations. Les sensations sont mises en relief par un jeu d'échos noté par les assonances et les allitérations (f/v, l/r, m/n). Le poème fait écho à ce vers des " correspondances " de Baudelaire : les parfums, les couleurs et les sons se répondent ". Le vers de chute est le point d'apogée des sensations ; le rythme croissant 2+4+6 révèle l'extase du beaudelairien

soit au premier degré (lâche = pas compact) ou comme une personnification du pain = pas courageux. Mollesse de l'intérieur du pain. Comparaison à une éponge. Sonorités : "feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées" -> Allitérations en [f] et en [s]. 4. Le flétrissement du pain "Lorsque le pain rassit". Champ lexical de la décrépitude : "fanent", "rétrécissent", "détachent", "friable". Ponge cherche donc à évoquer le pain dans tous ses états, il veut en fournir l'ensemble

inquiétante. L'adjectif " éternelle " est une hyperbole temporelle, qui permet de renforcer les connotations négatives de la nuit ; cela se rapproche de la mort. ( 3 lueurs se détachent : ( vers 3 : les yeux de Pyrrhus, " étincelants " ; allitération en " s ", qui souligne l'angoisse, la peur d'Andromaque quand elle évoque Pyrrhus. Il semble un peu déshumanisé. On retrouve l'idée du regard, de la vue, au vers 10 : " à ma vue ". Pyrrhus vient du Grec " Pur " qui signifie le feu. ( vers

(v. 10), et qui était la colline de la Belle-Alliance. L'image du "gouffre " (v. 3) traduit l'étroitesse des lieux, préjudiciable à Napoléon car, malgré sa supériorité numérique, il dut aligner un front beaucoup plus réduit qu'à Austerlitz. Une allitération en [m] souligne au vers 10 l'attente de la Garde, prête à s'élancer sur ordre : " Derrière un mamelon la garde était massée. " Les adversaires en présence, Français et Européens coalisés (Prussiens et Anglais essentiellement), sont identifiés

la construction est véritablement circulaire, puisque le final fait appel à l’ouverture en réintroduisant le bruit des gouttes sur la fenêtre. Ondine repart comme elle est arrivée et le poème reflète cet écho par la répétition de mêmes sons : allitérations en [b], “balcon, beau, belle” st 1 // “blanches, bleu” st 5. -> idée d’un tout organisé, cohérent, dont la musique est le reflet, harmonieuse et douce, familière par ses échos et ses répétitions. - mais cette apparente continuité est perturbée

un flot des boutiques, colorant les transparents des croisées et des kiosques, courant sur les façades en baguettes, en lettres, en dessins de feu, piquant l’ombre d’étoiles, filant sur la chaussée, continuellement. Importance également des allitérations en f et en « an »: effet de répétition des mêmes sonorités, ce qui appuie la notion de mouvement. 3) L’importance des sensations Multiplication des notations sensorielles. * Visuelles: « le coup de soleil de ses lustres« , « l’éclat« , « cet ardent

Par ailleurs, l'utilisation de la chuintante [ch] accompagnée d'allitérations en [s] avec «son parc amassait» (v.1) et «ses noirs chevaux chassait» (v.4) imitent le souffle des chevaux. Les allitérations en [f] avec «profondes, / Fuyant » (v.3/4) imitent également ce son. Nous retrouvons également des allitérations en [r] aux vers 1 et 2 : «en son parc amassait / Un grand troupeau» et au vers 4 avec «pour entrer aux cavernes profondes» qui imitent le râle des chevaux en cavale. Elles amplifient cette

prendre mon argent. Mon trésor d’ailleurs était médiocre, et elle assez riche des libéralités de B*** pour mépriser ce qu’elle me faisait abandonner.” Antithèse entre 2 propositions très courtes (« M fournit aux frais/car j’étais sans un sou ») + allitérations en [f] et en [s] Vrb de volonté + négation (« elle n’avait pas voulu ») Déterminants possessifs (“ma chambre“, “mon argent“) Champ lexical de l’argent (« carrosse, frais sans un sou, mon argent, mon trésor, assez riche »..) Adjectifs évaluatifs «mon

musicalité du poème en prose. - On relève une allitération en [m] dans : « Mon âme voyage sur le parfum comme l’âme des autres hommes sur la musique ». Elle confère douceur au passage et donne à entendre le murmure du chant musical. - De même, l’assonance en [ã] dans le passage suivant évoque aussi un chant et une musique : « un port fourmillant de chants mélancoliques ». - On remarque encore que le son du roulis est renforcé par des allitérations en [r] et en labiales [b] et [p] : « bercées par