Allitération En R

mondes, celui de la poésie, et celui de la réalité. les planches : Terme trivial, signifie q. chose de construit, qui s’oppose au ciel : symbole de la civilisation. - comique et laid : ce qui n’appartient pas au domaine de la poésie noble et pure. Allitération en /k/ => tonalité coupante, blessante (caractère trivial et hostile de la société). L’albatros n’est plus dans son environnement, il perd ses qualités, sa grâce b) capture et emprisonnement -rejet => prennent en début de vers : connotation

phrases, puisque « roue » rime avec « loup » ; la première phrase est très marquée par l’allitération en [fr] dans les mots « frôlement », « freine » et « frotte » et, de manière moindre, dans les mots « ronronnant », « contre » et « roue » (allitération en [r] seulement). Reprise du même procédé dans les lignes 8-10, au moyen des mots « frr frr rassurant » et « frottement ». On constate donc que le poème tente de reproduire le bruit de la dynamo, ce

de lui même. Omniprésence du « Je » poétique. * REGISTRE ELEGIAQUE : évocation de la souffrance amoureuse, mélancolie. * Champs lexicaux de l’amour et de la souffrance. * Rythme binaire (donné par les oppositions). * Allitération en (r) dans le 1er quatrain * ENFERMEMENT du « je » poétique donné par la rime entre « malheur » de la dernière ligne et « meurs » l.1 qui donne une forme circulaire au poème, cercle vicieux. * ASSONANCE dans les 2 derniers vers,

auditif/sons: Toute une cacophonie éclate à nos oreilles: claquant, sons, orgues, hurrah, hop, racle ses violons, durs talons, la bise siffle, mugit, orgue, les loups vont répondant, qui craque (allitérations), cris, ricanements, chant des ossements. Ces sons s’incarnent dans des allitérations, parfois un peu forcée pour nous (r 6: sifflantes+liquides, 24, 25; des hiatus: claquant au, danser aux, dans un hideux amour, heurtant armures, moustier ici; des rimes abondantes participe aux échos, aux vibrations angoissantes:

désastre de Lisbonne, privilégie cet aspect car il renforce l'importance de ses deux premiers vers par une anaphore en « Ô » et une ponctualité exclamative, ainsi que par un premier vers très travaillé du point de vue des sonorités : allitérations en « m », « l », « r » et assonance en « o ». La beauté de la forme employée est donc un moyen efficace de renforcer ses idées. Cependant le lecteur essaie de rendre son œuvre plaisante par un ton privilégié et l'établissement d'une certaine complicité avec

A travers le sonnet, Joachim Du Bellay émet une opinion sévère sur les courtisans. Il exprime son mépris envers ces personnages en forçant une allitération en [R], notamment dans la première strophe où il exprime une prise de position violente. L’utilisation de la 1ère personne «JE ne saurai regarder d’un bon œil» au vers 1, puis «ME dépite» au vers 12 en témoigne. L’expression «regarder d’un bon œil» est employée de manière négative et les rimes «dépite» et «hypocrites» renforcent le dépit et

les ours polaires : « grands ours, blanchis ». Et pour finir, le poète évoque le froid glacial du Pôle Nord grâce au champ lexical du froid : « convulsif » (réaction), « congelés », « neiges ». De plus, il souligne le froid grâce à une allitération en « r » présent dans l’intégralité du poème. Les exemples les plus frappants sont : « Gouffre d’ombre stérile et de lueurs spectrales » , « Un ciel rugueux roulant par blocs, un âpre enfer », « Qu’un vent sinistre arrache à son clairon de fer », etc

Fonction : rôle, activité. Pour Éluard ; le poète « aimant l’amant » n’est pas tant amoureux d’une femme que de l’amour lui-même. La vocation de la poésie est-elle, selon vous, de célébrer l’amour, ou privilégiez-vous d’autres fonctions ? R : le sujet premier des poésies, c’est l’amour, la célébration de la femme aimée ou le désespoir, la mélancolie… il semble donc que la poésie soit le lieu de l’expression des sentiments (lyrisme…) La poésie est-elle seulement le lieu de l’expression

de fluidité : le vocabulaire dans son ensemble est très simple, le rythme régulier.  les alexandrins sont coupés à l’hémistiche  les décasyllabes à la quatrième syllabe  les rimes sont rares, mais des allitérations et assonances donnent au poème une unité phonique : allitérations en « s », en « r » ; assonances en « en », en « ou », en « a »… Tout concourt donc à l’atmosphère de douceur et d’harmonie. Conclusion « La courbe de tes yeux », grâce aux associations d’images inédites, surprenantes, chères

monde / espace carcéral· tout l'oppresse : termes aérien (=idéal, liberté) (« ciel v1, esprit v2, horizon v3, jours v4 ») contrecarrés par termes fermeture (« couvercle v1, ennuis v2, cercle v3, nuits v4 »)· auteur = « proie » v2, victime du monde· allitération « s » (=vent) + assonances « an »/ « on » : sons nasaux, enfermement· perte de la notion du temps, jour et nuit identiques et toujours sombres : « jour noir » v4 (oxymore)· accentuation caractère funèbre : CL tristesse et plainte (« gémissant v2