Analyse Concurrentielle Banque

 SOMMAIRE 1. CO-PILOTES : une position favorable dans un environnement concurrentiel important 2. Des valeurs au coeur de l’innovation 3. Une organisation interne significative A. La Chaîne de valeur B. Ressources et Compétences 4. Le positionnement de CO-PILOTES au sein de son secteur 5. CO-PILOTES : ou comment imposer sa différence 6. La marche à suivre pour CO-PILOTES Un expert-comptable contrôle la comptabilité

BTS MUC Sommaire Partie 1 : Analyse commerciale de l’UC 1 Présentation du marché 1 Présentation du réseau 1 Présentation de l’UC 2 Partie 2 : Diagnostic de l’UC 3 Outils du diagnostic 3 Diagnostic interne 3 Diagnostic externe 4 Conclusion du diagnostic 4 Partie 3 : Préconisations 5 Justification de la préconisation retenue 6 Choix de la préconisation 6 Partie 4 : Analyse des répercussions 8 Conséquences

I. Analyse de la situation de l’entreprise 1. Il recherche des opportunités en innovant (création personnalisant les bouquets devant et pour les clients) ainsi qu’en prenant des risques. 2. Michael PORTER et ses cinq forces concurrentielles : Les cinq forces concurrentielles sont : 1. Le pouvoir de négociation des clients 2. Le pouvoir de négociation des fournisseurs 3. L’intensité de la concurrence 4. La menace des nouveaux entrants 5. La menace des produits de substitutions A ces

besoins, que bien souvent le consommateur lui-même est incapable de définir. • Une troisième catégorie d'entreprises est celle dont les pratiques actuelles sont affectées par l'Internet : la distribution de titres de transport, les librairies, la banque et les assurances, la musique…. Dans ces différents cas l'Internet peut apparaître comme un substitut absolu aux systèmes de distribution classiques dans la mesure où l'essentiel du service est constitué d'information. Elle correspond à un problème

aux salariés, organismessociaux, Etat et actionnaires. L’entreprise conserve le reste pour son autofinancement EVA> 0 = Entreprise Capital engagé : Fonds propres : T x Cours du Marché x þ (Prime de risque) Banque :T x intérêt du marché Exemple : 100 (10%) FP Banques (4%) (80%) (20%) 80X0,1 + 20X0,04 = 8 + 0,8 = 8,8  Coût du capital EVA= Résultat d’exploitation(Re) – Coût moyen pondéré du Capital(CMPC) Résultat d’exploitation : CA-Coût

INTRODUCTION L’information (commerciale, financière, technologique, économique politique …) est une ressources essentielle qui permet d’accroître les avantages concurrentielle de l’entreprise  Sa connaissance précoce lui permet en effet d’augmenter sa marge de manœuvre par rapport aux concurrents les plus dangereux .Ceci est rendu possible par la mise en place , au sein de l’entreprise , de procédure de veille globale, et en particulier par l’organisation d’un Système d’information mercatique

technologique Intervenant : Michel Gomez Introduction Dépasser 1 analyse dichotomique (Economie Monde de la Technique) Le mélange intéressant étant la combinaison des acteurs du management et des ingénieurs. Accélération du rythme des innovations technologiques (cycle de vie, course à la taille critique, Coûts de R&D en hausse (coûts fixes)) Valeur résiduelle de l’investissement (barrière à l’entrée) ( Ansoff ANALYSE STRATEGIQUE Objectifs finals : • Pérennité • Croissance

Bibliographie………………………………………………….27 Introduction La banque exerce dans un environnement en perpétuel changement. Sa survie est conditionnée par la capacité des responsables banquiers à s’adapter à ces évolutions. Le développement et la complexité croissante des opérations bancaires ont saturé en général les services chargés du contrôle, et par conséquent, il devient vital d’auditer la banque. L’audit bancaire constitue une étape importante pour toutes les banques qui cherchent une meilleure optimisation

priorité afin de rendre les banques plus viables et donc assurer la sécurité et la fiabilité du système bancaire international. Cette réglementation devra « garantir que l’activité bancaire se fasse de façon saine et prudente afin de prévenir le risque individuel, c’est-à-dire le risque des déposants » et « préserver la stabilité du système financier, c’est-à-dire prévenir le risque systémique ». Cette réglementation n’a pas pour but d’enrayer les risques pour les banques puisqu’ils sont sources

pleinement à la transaction. Chacun de ces acteurs voit la transaction sous un angle qui lui est propre. Chacun autour d’un aspect de la transaction, développe son propre point de vue : Les Acteurs extérieurs à l’entreprise | Leurs Rôles | Les Banques | Interviennent lors du paiement et offres des services en matière de financement et de couverture des risques. | Les Transitaires et transporteurs | Jouent un rôle déterminant lors de l’expédition des marchandises. | Les Assureurs |