Analyse De La Légitimité

Analyse d'une entrevue Pour débuter, une question revient souvent, soit dans les articles de journaux, lors d'entrevue à la télévision ou à la radio ou simplement lors d'une discussion entre amis, « qu'est-ce qu'on fait de notre temps lorsqu'on a le temps de prendre du temps? ». Nous sommes, en 2010, plus que bien ancré dans une société qui favorise les loisirs. Pourtant, l'idée du temps libre est souvent bien partagée. Les gens travaillent de plus en plus et oublient parfois de s'amuser et de

certaine légitimité à ses débuts car il met fin à la guerre, sa dérive fasciste tend à dégrader son image. Par ailleurs, en dépit du fait qu'il ait tous les pouvoirs, l'exécutif est éminemment instable, ce qui contribue à l'affaiblir et à miner sa popularité. Pour la France d'en bas, si la collaboration est majoritaire, il se met rapidement en place une résistance, qu'elle soit active ou passive, face à l'occupation. L'appel du 18 juin de Charles De Gaulle va dès le début dénoncer la légitimité de l'Etat

francaise » . Pour ce faire, Pierre Birnbaum analyse empiriquement le personnel détenant « les sommets de l’Etat » et distingue ainsi différentes périodes historiques, se caractérisant par une fusion ou une dissociation des pouvoirs politique, administratif et/ou économique. Introduction : En partant du principe selon lequel l’action de l’Etat dépend, du moins en partie, du personnel qui le constitue et qui agit en son nom, Pierre Birnbaum entreprend ici une analyse du personnel politico-administratif

LEGITIMITE ET LEGALITE CONSIDERATIONS (SUR LA LOI ET LA JUSTICE) A L'IMAGE DE DEUX GRANDS PROCES POLITIQUES Thèse présentée à la Faculté des sciences économiques et sociales de l'Université de Neuchâtel Pour l'obtention du grade de docteur ès sciences sociales Par Milena Mateva Acceptée sur proposition du jury: Prof. Franz Schultheis, Département de sociologie de L'Université de Genève, directeur de thèse Prof. Pierre-Henri Bolle, Faculté de droit de l'Université de Neuchâtel, rapporteur

De par sa propension à penser le social dans sa globalité, la théorie de Pierre Bourdieu intègre l'objet du politique dans ses différents aspects à travers des concepts constitutifs du rapport politique tels que domination, pouvoir symbolique, légitimité, violence, etc. La mécanique conceptuelle du modèle souffre néanmoins d'ambiguïtés théoriques et méthodologiques qui empêchent de fonder une théorie de l'État comme puissance publique disposant d'un pouvoir fondamentalement différent de tous les

scientisme est une foi dans le progrès technologique qui doit permette de régler tous les problèmes des hommes ; les problèmes techniques, les problèmes de santé mais aussi les problèmes moraux. Dès lors, la religion et la philosophie même, perdent leur légitimité puisque la science est sensée apporter les réponses aux questions qu’ils posent. Le XXème siècle va démentir cette foi scientiste. Il a démontré que, si la science peut amener le meilleur, elle peut aussi amener le pire : la bombe atomique, l’extermination

préposé aux opinions déjà pré constituées. Tout le problème va ê de construire une anlayse qui soit distanciée, qui prenne une certaine distance avec ces opinions qui existent déjà. La science po en tant que discipline souffre souvent d'un déficit de légitimité qui se traduit par une défiance envers la science po. Il existe des usages douteux de la discipline qu'on peut éradiquer. Faire de la science po ca veut dire chercher à produire les connaissances sur le politique, la politique, les problèmes politiques

absolue et proposer une égalité relative – relative au mérite par exemple. Et tout le problème est pour la loi d’être conforme à ces principes : la légalité n’est pas le tout de la justice : au-dessous de la légalité, il y a la légitimité. La légitimité fait à la fois appel à la voix de la conscience, à une exigence d’universalité, à un souci d’égalité comme d’équité.Conclusion : Parler fait de nous des êtres soucieux de justice  :

notion d'auteur, à sa base même, puisqu'il en est l'étymologie, celui d'autorité. Il a quelque chose à transmettre, susceptible d'intéresser d'autres personnes, un savoir, une expérience que certains n'ont pas, qui lui confèrent ainsi une légitimité, la légitimité pour écrire et dispenser son savoir, donc l'autorité. Diderot modifie considérablement cette idée. Comme il le dit lui-même, il n'écrit pas pour fournir un savoir, une réponse : « On doit exiger de moi que je cherche la vérité, non que je

distinguer le vrai du faux ce qui engendre la connaissance , ou à défaut une réflexion. Dans la connaissance, nous allons chercher à obtenir des informations nouvelles contrairement à la réflexion qui analyse ce qu’elle a déjà et remet en question sa légitimité. La raison se construit en plusieurs étapes permettant de parvenir à une connaissance vraie en opposition à la croyance qui présente son objet comme incertain. « Penser n’est pas croire » « Lorsque l'on croit, l'estomac