Analyse décisionnelle des systèmes complexes

qu’il s’agisse des pratiques addictives aux troubles addictifs, on est dans l’idée d’un continuum qui va aller d’une consommation anodine jusqu’au trouble addictif constitué. Ce sont également des approches qui vont s’intéresser à la globalité du système de soin et qui vont s’intéresser aux relations entre le patient le thérapeute. Trouble addictif (Goodman, 1990), définition ancienne mais qui reste d’actualité : Echec répétés de résister à l’impulsion d’entreprendre un comportement spécifique

l'avantage concurrentiel de son entreprise sur différents marchés géographiques, auprès de différents clients et sur la base de son système d'offre. Se pose la question de la définition des voies de développement. 2 – La formulation de la stratégie de développement La stratégie de développement porte sur la conquête de nouveaux marchés et l'évolution de système d'offre. Les différentes formes de développement sont les suivantes : – Le confortement qui consiste pour l'entreprise à capitaliser

niveau de production que les dimensions économiques ; - L’amélioration des relations humaines a permis d’accroître la productivité. 1.5.1 Le mouvement des relations humaines • Conclusions tirées des deux autres expériences : implantation d’un système de salaire à la pièce et 20000 entrevues auprès des ouvriers (1927-1932) – Des normes implicites pour le groupe de travail : • Il ne faut pas trop produire, ni trop peu produire ; • Émergence de structure informelle ; • Les conditions de travail et

changement. Les fondements du management Les disciplines mobilisées concernent l’histoire, l’économie et la sociologie. Les spécialistes cherchent à établir des typologies, des écoles de pensée (l’organisation mécaniste, l’organisation comme système complexe) en fonction des environnements politique et économique de la firme. Les auteurs désirent mettre à jour des modèles-types d’organisation, identifier et comprendre les mécanismes internes les plus pertinents. C’est dans ce cadre que l’on peut

informationnelles, communicationnelles et cognitives : 32 2.2.1. La coopération : 32 2.2.2. Les corollaires de la notion de coopération: les thèmes de la décentralisation, de l’autonomie, de la responsabilisation et la reconnaissance de l’efficience du système de contrôle autonome : 35 2.2.3. L’effacement des frontières internes et externes de l’organisation: 37 2.2.4. L’intelligence : 38  Une intelligence collective basée sur la multiplication des interactions : 39  Une intelligence pratique

besoins des consommateurs ; 2. État d'esprit : il se place systématiquement du point de vue du consommateur en faisant du couple « besoins-produits » la clé de voûte des réflexions, décisions et actions de l'entreprise ; 3. Démarche intéractive : il analyse les marchés et environnements, planifie les décisions et actions, met en œuvre les décisions et plans d'action, contrôle les réalisations et en tire les leçons pour correction immédiate ou ultérieure ; 4. Utilisateur de toute technique pertinente :

abordé d’une manière globale le fonctionnement des organisations. A travers sa théorie des organisations, Henry MINTZBERG tente de répondre à ce sujet. * Chapitre 1 : La profession de Manager Une organisation peut être considérée comme un système d’autorité et d’organisation géré par un ou plusieurs managers où il existe une hiérarchie plus ou moins structurée et dont le rôle est d’unir les efforts et compétences de tous dans un but précis. Selon les propres dires des managers, leur travail

matériel ni document autorisé Barème Première partie : sécurisation de l’infrastructure Deuxième partie : installation d’une buffer zone (zone tampon) TOTAL 58 points 42 points 100 points Dossier documentaire DOCUMENT 1 : présentation du rôle du système informatique pour la conduite du processus de production du laboratoire NELL .......................................................................................... 7 DOCUMENT 2 : schéma réseau simplifié du site de Lyon .......................

stratégique est souvent irréversible et implique des changements de structure. Ces décisions peuvent engager l’entreprise sur le long terme : la stratégie relève de la gestion de l’incertitude. La stratégie doit être analysée comme un processus décisionnel complexe qui intègre les dimensions organisationnelles (internes) et environnementales (externes). La décision stratégique relève de la rationalité limitée (recherche d’une solution satisfaisante plutôt qu’optimale) et dont la pertinence ne peut être

reporting financier et à trouver les clés de répartition analytiques, son rôle évolue considérablement. Le contrôle de gestion est né du besoin de maîtriser des unités décentralisées, de répartir et de contrôler les filiales de groupes de plus en plus complexes et dématérialisés. Son rôle actuel est de plus en plus basé sur une notion de qualité et de benchmarking. Ainsi, au sein de la réorganisation générale des firmes et de leurs niveaux de délégation, apparaissent de nouveaux managers qui n’étaient jusqu’alors