Anthropologie Religieuse

penser d’un point de vue pratique, moral (critique de la raison pratique). Nietzsche va prolonger l’effort kantien dans le champ pratique. L’attitude anthropologique consiste donc à partir de la finitude humaine. Feuerbach explique, dans l’attitude religieuse, la religion en portant l’homme à la perfection, et considérant que le divin en est une projection. Notre civilisation moderne a des rapports à la religion selon les deux attitudes, de manière contradictoire. Un héritage culturel en crise Les

la condition même d' une anthropologie à vocation éthique, développez cette affirmation en montrant les articulations entre les différents points de matière auxquels elle fait référence. Aristote a dit: « l’étonnement est le début de la philosophie ». L' étonnement, mène au questionnement et sans questionnement, pas d'anthropologie ni de philosophie. S’étonner du pourquoi et du comment des choses sans en connaître les causes nous mène a philosopher. L' anthropologie est avant tout l' étude s’interrogeant

central de l’anthropologie culturelle et sociale. Dans « L’imbroglio ethnique en quatorze mots clés » (p.64), Annamaria Rivera définit la culture comme « l’ensemble de coutumes et d’habitudes, de connaissances et de croyances, de pratiques sociales, religieuses et symboliques qui identifient un groupe humain déterminé ».1 La culture comprend ainsi l’ensemble des traits spécifiques et interdépendants d’un groupe et donc, ne peut être comprise que parce qu’elle a une cohérence, et forme une totalité organisée

Claude Lévi-Strauss, Anthropologie structurale II (1952) Ethnologue ayant vécu parmi les Indiens d'Amazonie, Claude Lévi-Strauss analyse ici les causes du rejet des autres, phénomène constant dans l'Histoire. Sa conclusion, qui définit le « barbare », rejoint la pensée de Montaigne. 1. 5. 10. 15. 20. 25. 30. 35. 40. 45. 50. L'attitude la plus ancienne, et qui repose sans doute sur des fondements psychologiques solides puisqu'elle tend à réapparaître chez chacun

Exposé Yamella & Eva : Séance 7 (12 - 16 novembre) Thème et cours : Le langage du corps Exposé 2 : MAUSS Marcel, 1997 [1950], Sociologie et anthropologie, Paris, PUF-Quadrige, « Les techniques du corps », pp. 363-386. LE BRETON David, 2008, « Entre signature et biffure : du tatouage et du piercing aux scarifications », Sociétés & Représentations, n° 25, pp. 119-133. Introduction Le langage du corps est un langage universel qui dispose d'un « vocabulaire » très varié. Tout le monde

il expose un des concepts qui forment aujourd’hui le coeur de la nouvelle approche cognitive : les concepts religieux ne sont pas véritablement compris par les fidèles, pour qui ils constituent plutôt une source d’évocation. Les propositions religieuses ne sont donc pas des propositions comme les autres et elles peuvent être qualifiées de « semipropositionnelles »6. Avec le temps, Sperber développa un programme « naturaliste » pour les sciences sociales, programme dont il a proposé une synthèse

présenter les principaux dieux ainsi que leurs impacts sur la société grecque de cette époque. Aussi, je parlerai des bâtiments bâtis en leur honneur. L’importance des mythes sera aussi aborder dans ce texte et les rites et les fêtes à caractère religieuses seront aussi développer. Dans le troisième chapitre, nous y verrons les liens entre la religion avec son environnement social et culturel. Les relations entre la religion et les autres institutions définies par l’anthropologie soient la politique

autant débat. L’homoparentalité est un sujet qui interroge et intrigue. Ce nouveau mode de vie familiale lutte pour faire sa place dans les mœurs qui ne semblent pas encore céder en France. L’auteur Anne Cadoret est chargée de recherche en anthropologie sociale, au CNRS. Elle étudie les nouvelles configurations familiales, en particulier auprès des enfants placés et des familles homoparentales, elle s’intéresse à l’apparition d’une parenté plurielle. Elle a publié « Des parents comme les autres »

Anthropologie face aux problèmes du monde moderne de C.Levi-Strauss : Avant-propos : Il s’agit de trois conférences données à Tokyo par Levi-Strauss sous l’invitation de la Fondation Ishizaka*. Pour cela il a puisé dans ses écrits et propose alors que l’anthropologie soit considérée comme un « humanisme démocratique »* Il parle ainsi de la fin de la suprématie culturelle de l’occident et s’attarde sur : * Les pratiques économiques * La procréation artificielle * Les liens entre la

société, on ne pourrait trouver que ceci : la contrainte de surpasser […]. Tout se mesure, et se mesure dans le combat ; et celui qui surpasse est un continuel vainqueur […]. Le plus fort est le meilleur, le plus fort mérite de vaincre » (**). Cette anthropologie « héroïque », tellement prisée par les fascismes, produit dans les sociétés libérales avancées, mais aussi dans les sociétés despotiques un type social particulier devenu la figure emblématique du surhomme sachant se surpasser — le sportif de compétition