Antigone Justice

naturel Violant l’édit de Créon, Antigone ensevelit son frère Polynice. Elle s’en justifie ainsi : « Je ne pense pas que tes décrets soient assez forts pour qu’un mortel puisse passer outre aux lois non écrites, inébranlables, des dieux. Elles ne datent ni d’aujourd’hui, ni d’hier, mais de toujours. Personne ne sait quand elles sont apparues » SOPHOCLE, Antigone, v. 450-455 • Un regard critique sur la justice o Kafka, qui dénonce les simulacres de justice dans Le Procès : Derrière l'interrogatoire

Chère Antigone, Mes sanglots coulent chaudement sur mes joues au moment que je t’écris ces lignes . Je ne te laisserais pas mourir. Comment peux-tu avoir le courage de me laisser seul ? Le monde me paraîtra si lugubre et triste. Ma belle, tu as une grande place dans mon cœur et je ne pourrai jamais supporter de ne pas avoir tout fait pour te faire revenir à la raison. Pense à tout ce qu'on peut faire ensemble, à notre enfant, qui naîtra de notre amour, quel profond sentiment de joie, n'est-ce

tous une passion absolue, on peut même les qualifier d’amour « hors normes » puisque pour Phèdre et Antigone, ce sont des amours incestueux, pour Achille, Patrocle, Phédon et Sappho ce sont des amours homosexuels. Pour Marie-Madeleine, on peut parler d’amour suspicieux pour Jean et Jésus. Clytemnestre se place différemment avec un amour adultère. [ Phèdre et Hippolyte, Achille et Patrocle, Antigone et Polynice, Léna et Harmodios, Marie-Madeleine et Dieu, Phédon et Socrate, Clytemnestre et Agamemnon

Introduction = Ce texte est un extrait d'Antigone d'Anouilh . Il a été écrit au 20 siècle, un an après la fin de la deuxième guerre mondiale , et pendant l'occupation nazie . C'est pour cette raison que dans ce livre, Antigone représente la résistance de par son acte . Dans l'extrait ci dessus , on a un monologue de Créon ou il explique sa position et ses motivations . A partir de cela, nous allons donc nous demander pourquoi est ce que Créon , à ce moment là de l'œuvre est entré dans un monologue

*Pour cela, il signale le cas de l’enfant, qui croit aimer le lait spontanément, alors qu’il obéit à un Déterminisme naturel. De même , le jeune garçon qui se venge le fait plus poussé par son sentiment de couleurs qui est inspiré par l’idée de justice, il subit un Déterminisme affectif. Enfin, il en va de même du peureux qui fuit devant tout puisqu’il y ait déterminé par son caractère et non parce qu’il est face à un danger réel. L’expérience elle-même n’enseigne donc pas moins clairement que

basse, avoues-tu ou nies-tu le fait ? Antigone : Je l'avoue et n'ai garde, certes, de le nier. Créon, ''au Garde'' : Va donc où tu voudras, libéré d'une lourde charge. (Le garde sort. A Antigone) Et toi, maintenant, réponds-moi, sans phrases, d'un mot. Connaissais-tu la défense que j'avais fait proclamer ? Antigone : Oui, je la connaissais; pouvais-je l'ignorer ? Elle était des plus claires. Créon : Ainsi tu as osé passer outre à ma loi? Antigone : Oui, car ce n'est pas Zeus qui l'avait

l'ensemble des normes en vigueur dans un moment donné et/ou dans un lieu donné. Le droit naturel, ensemble des grands principes immuables qui permettent d'éprouver la valeur des normes, interdit la vole, le meurtre et prime pour la liberté, la justice... D'un point de vue positiviste, on ne recouvre pas la notion naturaliste. Celle-ci est niée; on lui refuse le caractère du droit et seul compte le droit positif. D'un point de vue idéaliste, le droit positif est déterminé et légitime par référence

l'argumentation indirecte. Cela leurs permet d'éviter la censure et d'exprimer leurs points de vues. Comme dans le texte de Victor Hugo où Harmodius agit selon la justice qui lui semble juste pour sa part : Il décide de « poignarder » (l.38) « le tyran » (l.3). De même dans Antigone et Les Justes où l'éponyme et Kaliayev assument leurs acte commit. Antigone dit « non » au pardon de Créon et décide de «  mourir » (l. 46,47) ainsi que Kaliayev affirme que « la prison et la mort son ses salaires » (l.8). De plus

la règle du jeu, si triche, alors le bien à ce jeu n’est pas juste alors le succès remporté n’est pas légitime parce que la règle a été méconnue. « Ce n’est pas juste ». Notion d’injustice. Notion de droit et de justice, intimement lié. LE DROIT NE SE RESUME PAS A LA NOTION DE JUSTICE Activités sportives comporte des règles et intervient l’arbitre pour les faire respecter. Ce tiers qui pourra être un juge est là pour garantir le respect des règles. Les règles du sport s’approche de la notion de

d’exposition Objet d’étude : le théâtre, texte et représentation (toutes sections). Texte 1 : Musset, On ne badine pas avec l’amour (1834), Acte I, Scène 1 Texte 2 : Hugo, Ruy Blas (1838), Acte I, scène 1, v. 1-30 (Il se lève) Texte 3 : Anouilh, Antigone (1947), extrait du Prologue Annexe : Entretien avec Ezio Toffolutti, scénographe et costumier (mise en scène de Ruy Blas à la Comédie-Française, en 2002) Texte 1 Musset, On ne badine pas avec l’amour (1834) Acte I, scène 1 Scène 1 Une place devant