Antithèse

est monstrueux, …) Ellipse : fait de syntaxe ou de style qui consiste à omettre un ou plusieurs élément de la phrase. Sous-entendu, raccourci dans l’expression de la pensée. (ex : Pierre mange des fraises, Paul des cerises…) * Antithèse/comparaison : Antithèse : figure de style opposant dans un même énoncé deux mots ou expressions contraires afin de souligner une idée par effet de contraste. (ex : “a vaincre sans péril, on triomphe sans gloire”) Comparaison : figure de style qui consiste

simplement appelée par les allitérations en «b» et en «f»), celle-ci n’étant qu’un vase antique sans caractéristique spéciale ; on peut cependant la supposer comme remplie d’un liquide semblablement magique qui transforme les êtres dans une autre antithèse : «le héros» devient «lâche» et «l'enfant courageux». Au début de la troisième strophe, la question initiale, revêtant un caractère obsessionnel, est posée de nouveau par le poète de façon presque identique, les deux termes antithétiques, «gouffre

la tension entre la vie et la mort« L’un…l’autre… »ExpressionMontre l’opposition, le tiraillement du sujet« ardeur » / « deuil »Antithèse « Nature ! »Personnification + exclamationLe poète s’adresse à une nature sacralisée et familière « L’un…l’autre… »ExpressionRépétition de cette expression qui insiste encore une fois sur ce contraste « sépulture » / « vie » Antithèse Renvoie au 2 principes opposée de la nature« dit »Répétition Restitue la discussion intérieur de Baudelaire où le spleen et l’idéal

I La libération de Paris A) Tout le monde est concerné l 12 «les enfants si pâles qui trépignez de joie» ----> Antithèse l 13 «les femmes, portant tant de chagrins, qui me jetez vivats et sourires» ----> Antithèse l 14 «les hommes, inondés d'une fierté longtemps oubliée, qui me criez votre merci» l 15 «les vieilles gens, qui me faites l'honneur de vos larmes» Ces 2 antithèses soulignent la guerre et l'après guerre. pâles(pendant la guerre)≠ joie (lors de la libération) chagrins(pendant

usurpation, reprise de fort ou force • Abus volontaire des termes de droit et de loi, car cette autorité n'est qu'un rapport sans contrat de réciprocité: forte antithèse commander/obéir • Ce rapport est surtout celui de l'instabilité : insistance sur le temps : ne dure autant que, deviennent à leur tour, secouent, antithèse fait // défait La seule notion légitime en fait dans cette situation est celle de L'INSURRECTION Passage possible de la première à la seconde : la fin du despotisme

odieux »l-29 « humilier »l-29 « leçon d’inhumanité »,  « leçon d’injustice » l-40 Relever vocabulaire et hyperbole. - surtout les antithèses et le jeux sur symétrie syntaxique soutienne le combat d’idée. Antithèse : « plus facile à retenir[…] plus difficile à concevoir » l-7 « au lieu d’une leçon de modération […] licence » antithèse érigée en principe . symétrie :  «  le choix de l’amour propre, c’est un choix très naturel » «  on fait apprendre les fables de LF …. »

qui nous occupe, et finit dans le 7ème livre en montrant le supplice des persécuteurs et le bonheur des opprimés dans un juste retour des choses, à l’image de la fin de l’ancien testament. Objectifs de la séance 1-Champs lexicaux, sur les antithèses et sur les procédés de généralisation. 2-Les thèmes dominants qui caractérisent la situation. 3-Le renversement des valeurs. 4-La dénonciation de l’horreur de la guerre dans un texte qui dépasse la référence strictement historique. Ce

Victor Hugo met en valeur cette injustice surtout dans le contraste avec la en mise en valeur l’innocence et la pureté de ces jeunes. Il utilise de nombreux antithèses pour produire cet effet : « enfants dont pas un seul ne rit », « doux êtres pensifs que la fièvre maigrit », « innocents dans un bagne, anges dans un enfer ». Ces antithèses évoquent des sentiments de pitié et de tristesse chez le lecteur. De plus, l’anaphore de « maudit », répété quatre fois, deux fois à l’attaque, et l’utilisation

contrastent : Verbes d’actions pour le héros Quasimodo : « il tenait la jeune fille », « il la portait », il la serrait » ; Comparaison « comme une draperie blanche » qui suggère la douceur pour le personnage d’Esméralda ; « mains calleuses » forme une antithèse avec l’allusion au toucher (draperie ). Ils s’opposent par leurs actions : elle est passive, il est héroïque ; mais aussi par leur apparence :  elle incarne la fragilité d’un objet ou d’une fleur, quelque chose de précieux, d’innocent, de beau.

montre les humeurs de la femme et par conséquent il montre les différents sentiments du poète b) Il transforme, il métamorphose : => effet produit sur celui qui le regarde -on peut trouver un chiasme aux vers 5/6 ( oppositions des tempéraments ) -antithèse au vers 23/24 ( « espoir »/ « désespoir » ) c) Il s'agit sur le temps : - on trouve une métaphore aux vers 7/9 et une autre aux vers 21/22 => ce sont des métaphores des humeurs du poète II- Les sentiments du poète : un amour plutôt malheureux