Apostrophe

vapeurs corruptrices » (l.22), « Seigneur mon Dieu ! » (l.22-23). Ici le poète s'en remet à Dieu pour qu'il le pardonne et ne plus se sentir coupable. Nous pouvons également remarquer une apostrophe, « Âmes de ceux que j'ai aimés » (l.21), suivie d'une seconde, « âmes de ceux que j'ai chantés » (l.21). Ces deux apostrophes mettent en évidence le désir du poète de se racheter, de se libérer du sentiment de remords qui l'habite. Dans ce poème, Baudelaire insiste aussi sur la valorisation du poète par rapport

un sentiment ; Il se caractérise par : -l’emploi de la 1ère personne (« je ») -Le vocabulaire des sentiments ; -une ponctuation expressive (en particulier des phrases exclamatives qui traduisent un sentiment exacerbé). L’utilisation des apostrophes et des invocations. -l'emploi de nombreuses figures de rhétorique (images, accumulations ...) ou la recherche d'effets musicaux jouant sur les rythmes et les sonorités (allitérations, anaphores ...). Le registre pathétique : Il repose sur

« refermait » v.46, « ai pris » v.49, « naviguait » v.53. Ses verbes donnent du mouvement au texte. Brassens utilise des apostrophes dans ses mots, « pèr’ » v.5, « s’app’lait » v.7, « d’la » v.10, « mat’lots » v.13, « d’salauds » v.14, « tout’s voil’s » v.27, « l’quart » v. 34, «  ell’ » v.35, « qu’leurs » v.38, « n’se » v.46, « qu’ait » v.50. Il se sert de toutes ses apostrophes pour raccourcir ses mots ou alors supprimer un « e » devant une consonne pour que son vers soit bien en octosyllabes.

conduite de son employé, M.Bœuf. Il convient de s’arrêter sur les moyens de la désignation des personnages. Ils constituent un phénomène spécifique du texte dramatique. Les plus fréquentes dans le texte ci-dessus sont les désignations par les apostrophes. Elles instaurent de nouvelles relations énonciatives, créent avec le destinataire une relation affective. Par exemple, l’expression “Pauvre bête” 100, adressée à M.Bœuf par Daisy a une valeur affective. M.Bœuf est, en outre, désigné par

: avant tout rimeur et bretteur. Personnage bouillant et querelleur : vs Montfleury, un fâcheux, Valvert… Acte I, scène 4 : la tirade du nez, vers 311 - 365 Caractérisation : une tirade. Registre comique. Deux parties : variations sur le nez ; apostrophe à Valvert : un « morceau de bravoure ». Pourquoi un tel « morceau de bravoure » ? Ce texte semble-t-il susciter le rire ou l’émotion ? I Une tirade comique a) une tirade bien structurée -    sur le plan de l’énonciation : fait la demande

les relations amicales entre le poète et la nature « c’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire » (vers 11) qui est un parallélisme mais également une anaphore. Il apostrophe aussi le bois (vers 1), mais également la nature « Terre, soleil, vallons, belle et douce nature » (vers 17) qui également une énumération. Il apostrophe la nature pour lui faire ses adieux.On peut voir que la nature meurt comme le poète « feuillage jaunissants sur les gazons épars » (vers 2), « le deuil de la nature » (vers

« Et pour jamais adieu . Pour jamais »(1108-09, , l’antithèse « Que le jour commence et que le jour finisse », l’oxymore « cette absence éternelle », l’hyperbole « sans que jamais » « trop courts ». Bérénice tente d’interpeller le lecteur par des apostrophes « He bien ! », « Pour jamais ! » mais use également de modalités exclamatives « que de soins perdus ! », interrogatives « quand on aime ?», « compter les jours de mon absence ? » et impératives « Régnez, cruel », « songez vous ». Racine

cour plutôt banal mais il reste original par sa vivacité et l'image de l'amour qu'il donne. I Une ballade amoureuse dans un jardin : le discours amoureux 1) un poème vivant : • une interpellation : " Mignonne "v.1, Le vers s’ouvre sur une apostrophe avec « mignonne » qui est un terme affectueux. Le poème tout entier est adressé à une seule personne. • une exclamation : " Las ", • des ordres : " Voyez, Cueillez ". Verbes à l’indicatif et à l’impératif : discours direct, le poète s’adresse

maudits » ; « tu m’as ensorcelé » ; « Mon cœur me fait si mal ». On remarque un parallèle avec Narcisse qui s’est noyé en admirant son reflet « pour me mirer une fois encore dans le fleuve ». La Loreley est un être parfait « Ô belle Loreley » apostrophe qui rappelle la tradition grecque. Références sérieuses à la légende rhénane et aux tragédies grecques : l’élégie, la fatalité, et le rappel du destin de Narcisse (Loreley est elle aussi condamnée par sa beauté). Il s’agit donc d’un récit

engagé II. Le registre lyrique III. Un poète prophète I. Un poème engagé a) Le contexte politique Le contexte politique est connu des contemporains: tout est implicite et allusif. «Bannis ! Bannis ! Bannis !» (v.1) : apostrophe qui expose une triple répétition exclamative. Insistance, commence par 3 fois 2 syllabes. Pluriel: Hugo parle des tous les bannis de leur pays natal, exilés de leur volonté ou non, c'est impersonnel. V. 31: «exil»; v.7, on parle du pays dans lequel