Apostrophe

indices personnels de la première personne («j'en conviens») ou par les changements de situation d'énonciation, parfois surprenants : Rousseau s'adresse directement aux « mère(s) judicieuse(s) », comme responsables de l'éducation des «filles», par une apostrophe et des impératifs («croyez-moi»). Néanmoins, pour mener ce débat brûlant et délicat, tous les auteurs ont recours au registre polémique : mise en cause des hommes pour les textes A, B, C (« Messieurs, daignez répondre à notre question », « « hommes

PLAN I: un poeme engage II.le register lyrique III.un poete prophete I.un poeme engage a)le contexte politiqure le context e politique est connu des contemporains : tout est implicite et allusive. “bannis!”, “bannis !”,“bannis!”V1 apostrophe qui expose une triple repetition exclamative. Insistence, commence par 3 fois 2 syllabes. Pluriel: hugo parle des tous les bannis de leur pays natal, exiles de leur volonte ou non,c’est impersonnel. V 31 “exil”; v 7 on parle du pays dans lequel

du poète a) Enonciation lyrique –          Le poète apostrophe la ville, notamment dans le refrain qui n’est pas sans rappeler les topos de la lyrique amoureuse : ô exclamatif (qu’on retrouve également au vers 19), reprise anaphorique (au vers 5 et 31 exclusivement). –          Texte saturé par le déterminant possessif (cf. première partie) ce qui peut faire écho à la possessivité amoureuse –          Personnification de la ville : apostrophe + champ lexical de l’anatomie « éventré », « tes tripes »

provoquer l’indignation chez les femmes pour les provoquer et pour finir comment elle donne confiance eux femmes pour les pousser a agir.Mouvement 1 Adresse désignant les femmes ou sonner l’alarme L.1 extrait qui s’annonce sur une apostrophe « femme » comme dans l’adresse aux hommes, le singulier à une valeur collective. L’apostrophe est suivie d’un impératif « réveille-toi ». L’injonction est une invitation à la prise de conscience et à l’action.« Le tocsin de la raison » : métaphore

lecteur : « Il faut faire des exemples », « Voilà la phrase éternelle dont tous les réquisitoires des 500 parquets de France » (l. 19 à 22) Le lecteur devient un auditeur car Hugo donne à sa préface la forme d’un dialogue II. 1. L’abolitionniste apostrophe d’emblée ses adversaires en utilisant "vous" à la ligne 5 : « Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? » Au-delà des criminalistes, ses destinataires essentiels sont des lecteurs potentiels partisans de la peine de mort. Il a donc un interlocuteur

d’opposition (particularité romantique) A / Un violent réquisitoire : Le mépris - « cet homme » (v.6), « ce bandit » (v.2) l’article ce ou cet correspond à iste en latin qui a une connotation péjorative d’autant plus qu’il est répété. - Apostrophe directement : le tutoiement « et toi la guillotine.» (v.12) - Insultes : « bandit » (v.2), « scélérat » (v.22) L’ironie satirique - « César » (v.9) : référence à l’antiquité, Napoléon premier aimait se comparer à se dernier et à se placer

troublé, et j’ignore, où je suis, qui je suis et ce que je fais. »Ses derniers interlocuteurs sont les spectateurs apostrophés tantôt en masse (l. 11-12), tantôt individuellement (l. 16, 17, 18, 19) et le « vous » (l. 20) qui termine la tirade semble prendre à témoin un personnage fictif, quelqu’un qui serait de son côté et non plus dans la salle. La multiplicité de ces apostrophes se retrouve dans de nombreux monologues : le monologue théâtral est un dialogue adressé à des interlocuteurs absents

Ronsard, prince des poètes et poète des princes est un poète humaniste du 16ème siècle de la Renaissance notamment connu pour avoir formé en 1550 la Pléiade. Dans ses recueils de poèmes, Ronsard a cherché à sublimer les femmes qu’il a aimé dont les plus connues sont Marie Dupin, Hélène de Surgères et Cassandre Salvialti, rencontrée à une fête de la cour d’Henri II.L’Ode à Cassandre est le 17ème poème du livre des Odes, un ouvrage de cinq tomes ayant pour but de rivaliser avec les formes les plus

l’obscur Ennemi qui nous ronge le cœur Du sang que nous perdons croît et se fortifie ! Cet espoir s’envole cependant à mesure que le poète rend compte de son constat : double apostrophe lyrique, adressée à la « douleur », personnifiée, précédée de son tiret comme une coupure de souffle pour reprendre le sien. Apostrophes donc, mais également point d’exclamation, sentiment de désespoir pourrait-on lire dans cette répétition. Car si la terre est nourricière, la nature l’est moins, « [mangeant] la

lent propice à la description des sentiments du poète. La notion de lyrisme est très présente dans ce texte, le poète expose les angoisses de l’homme par rapport au temps, à la mort et à l’au-delà. On ressent l’agitation intérieure du poète qui apostrophe le temps, en particulier dans les strophes qui suivent la prosopopée «Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? ». Le temps est une notion subjective, les moments d'attente semblent interminables et ceux de bonheur trop courts. Dans la prosopopée