Approche Systémique Et Communicationnelle Des Organisations

dispositifs stratégiques 77 1. Stratégie 1 : l’externalisation 2. Stratégie 2 : l’internalisation 3. Stratégie 3 : concentration des moyens sur les travailleurs à risque 77 79 80 SOMMAIRE V. La couverture des risques 81 VI. Les dispositifs communicationnels 82 Conclusion 84 Chapitre 5 Vers une gouvernance des risques I. De nouveaux espaces envahis par le risque 88 1. Les institutions publiques 2. Les espaces ouver ts au public 89 91 II. L’ère de la gouvernance des risques 1. La structure

dispositifs stratégiques 77 1. Stratégie 1 : l’externalisation 2. Stratégie 2 : l’internalisation 3. Stratégie 3 : concentration des moyens sur les travailleurs à risque 77 79 80 SOMMAIRE V. La couverture des risques 81 VI. Les dispositifs communicationnels 82 Conclusion 84 Chapitre 5 Vers une gouvernance des risques I. De nouveaux espaces envahis par le risque 88 1. Les institutions publiques 2. Les espaces ouver ts au public 89 91 II. L’ère de la gouvernance des risques 1. La structure

77 1. Stratégie 1 : l’externalisation 2. Stratégie 2 : l’internalisation 3. Stratégie 3 : concentration des moyens sur les travailleurs à risque 77 79 80 SOMMAIRE V. La couverture des risques 81 VI. Les dispositifs communicationnels 82 Conclusion 84 Chapitre 5 Vers une gouvernance des risques I. De nouveaux espaces envahis par le risque 88 1. Les institutions publiques 2. Les espaces ouver ts au public 89 91 II. L’ère de la gouvernance des

stratégiques 1. Stratégie 1 : l’externalisation 2. Stratégie 2 : l’internalisation 3. Stratégie 3 : concentration des moyens sur les travailleurs à risque SOMMAIRE V V. La couverture des risques 81 82 84 VI. Les dispositifs communicationnels Conclusion Chapitre 5 Vers une gouvernance des risques I. De nouveaux espaces envahis par le risque 1. Les institutions publiques 2. Les espaces ouver ts au public 88 89 91 93 94 97 100 II. L’ère de la gouvernance des risques 1. La structure

stéréotypes ................................................................................................. 12 2.3.2. L’ethnocentrisme.............................................................................................. 13 2.4. 3. Pour une approche interculturelle ........................................................................... 13 Les compétences attendues............................................................................................ 14 3.1. 3.2. 3.3. 3.3. Savoirs

Quels en st les acteurs ?). Objectifs : apporter une sensibilisation aux gds enjeux des médias, voir la rencontre entre les 3 sphères.  Comment ce champ médiatique est un champ social et économique (étude de leurs gdes caractéristiques et leur organisation, ss l’angle de la régulation de ce champ qui est auji dominante)  voir quelles st les interférences, les inférences ac la dim° po (nvlles formes de com° réticulaires, certains usages des médias pr acteurs politiques). -------------------------------------------------

UNIVERSITÉ PARIS DAUPHINE UFR SCIENCES DES ORGANISATIONS DRM – UMR CNRS N° 7088 – DAUPHINE RECHERCHES EN MANAGEMENT CREPA – Centre de Recherche en Management & Organisation N° attribué par la bibliothèque ________________ THÈSE pour l’obtention du titre de DOCTEUR ès SCIENCES DE GESTION (Arrêté du 07 août 2006) Présentée et soutenue publiquement par Loïc PLÉ LA COORDINATION D'UN RÉSEAU DE DISTRIBUTION MULTICANAL : LE CAS DE LA BANQUE DE DÉTAIL Tome 1 : Document principal JURY Directeur

frontières, les entreprises se livrent une concurrence très agressive pour l'écoulement de leurs produits dans un marchés, où seules les entreprises bien organisées peuvent se permettre une bonne part de marché. A l'inverse, les entreprises de faible organisation sont appelées à se marginaliser, voire même à disparaître. La survie de telle entreprise passe nécessairement par l'amélioration de leur performance. Donc le contrôle de gestion peut être perçu comme une amélioration des performances économiques

V.3.3 Analyse de l’ensemble des résultats 44 VI CONCLUSION 46 BIBLIOGRAPHIE 47 I. L’OBSERVATION : NOTRE QUESTION DE DEPART Au delà des risques traditionnels (chimiques, biologiques, physiques) et avec l’apparition de nouvelles organisations du travail et l’évolution des nouvelles technologies, le travailleur est soumis à des risques professionnels d’un genre nouveau pouvant porter atteinte à son intégrité physique mais également à son intégrité psychique. Ces risques, regroupés sous

La preuve en est dans la crise financière de septembre 2008. A. Contexte général Patrick Lagadec définit la crise comme étant « l’urgence plus la déstabilisation. Elle combine déferlement de difficultés, dérèglement dans le fonctionnement des organisations, divergences dans les choix fondamentaux.2 » Communiquer en des temps difficiles ne s’improvise pas. Selon Baudouin Velge3, Administrateur délégué d’Interel, la communication de crise est « la communication la plus difficile qu’il y ait ». Il est