Argument ontologique

l’expérience I) Comment reconnaître la vérité ? 1) Définition C’est une notion centrale, elle représente l’amour et la recherche de la vérité. Elle est liée avec la notion de bonheur qui représente le but idéal de la philo. a) Une perspective ontologique Toute propriété qui est constitutive de l’être ou de l’essence d’une chose. La vérité est la réalité ce qui est vrai, elle s’oppose à l’illusion, l’apparence. C’est une propriété du réel des choses, elle se montre à nous tel quel est et non sous

évêque de Canterbury au 12ème siècle) Croire donne l’obligation morale de comprendre et de savoir. Si la croyance est première, elle demande les Lumières de la raison pour expliquer ce en quoi elle croit. Saint Anselme est l’inventeur de l’argument ontologique, c’est à dire d’une démonstration rationnelle de l’existence de Dieu. Les textes religieux ne doivent pas s’opposer aux découvertes de la science ou de la philosophie. Averroès, philosophe arabe du 12ème siècle, essaie de réconcilier la religion

subordonner et ainsi chaque élément participe à la perfection du tout. Rejette les différents arguments qui concluent à l'infériorité de la terre : sa taille plus petit, son caractère influençable, l'imperfection de ses habitants, son caractère corruptible : ce sont des données relatives, l'humain cherche à être parfait en son genre, mais surtout, tout l'univers est corruptible selon de Cues → la structure ontologique du monde est fondamentalement partout pareille et exprime de la même manière temporelle

au fondement du dualisme caractéristique de la pensée occidentale qu’elle soit philosophique ou théologique. En effet, La Genèse précise que l’homme est crée à l’image de dieu. Il n’est pas un être vivant parmi les autres, il possède une dignité ontologique singulière. Comme le dira Saint Paul, dans ses Epîtres, l’homme n’est pas du monde même s’il est dans le monde. Bref, il n’a pas sa place dans la nature comme un élément parmi d’autres, mais il est face à la nature. Son origine surnaturelle lui

mauvaises lois, l’influence de la société, et même la connaissance de ce qu’on est, permet de définir ses choix parmi les possibles et c’est ce qui constitue la véritable liberté. Le premier type de preuve de l’existence de Dieu est « ontologique » : s’il existe, il est nécessairement parfait et infini, sinon, ce ne serait pas Dieu. Mais le définir ne démontre pas son existence. D’où le « renfort » de la preuve « cosmologique » : si le monde existe, il y a nécessairement une cause à sa création

les vérités du cœur, mais collaborer avec elles. 1er argument : La raison ne doit pas combattre le cœur. Pascal rappelle que le cœur connaît les premiers principes avec 4 exemples qui se réfèrent au raisonnement. Si la raison ne doit pas combattre le cœur, c’est parce que les vérités saisies par le cœur sont aussi certains que celles qu’on obtient par le biais du raisonnement. Aucune vérité n’est plus importante que l’autre. 2ème argument : le raisonnement doit se baser sur les vérités du cœur

fausse : personne n’ose en effet soutenir que la supposée preuve de Dieu offerte par Descartes s’avère évidente. Tout au plus, si l’affaire a encore pu sembler discutable à certains contemporains de Descartes, la critique kantienne de l’argument ontologique paraît avoir tranché la question qui, à vrai dire, fait plutôt rire aujourd’hui. Dans la mesure où la « preuve » de Dieu constitue de toute évidence une étape cruciale de son argumentation, nous ne saurions nous étonner du fait que l’épistémologie

qu’il faille maltraiter un poulet par plaisir, mais c’est une autre affaire). Tous les courants panthéistes ou apparentés, qui venant d’Asie s’installent dans les contrées occidentales, n’établissent évidemment pas de différence intrinsèque (ontologique) entre l’homme et l’animal. C’est pourquoi l’écologie profonde, les théories défendant les droits des animaux, les courants évoquant les « impersonnes » humaines, sont radicalement en contradiction avec toute philosophie des droits, et à court ou

temps est obscure, c’est précisément parce que son mode d’être vient bousculer la conception traditionnellement admise de l’être. La question augustinienne du temps rejoindrait-elle ici la question de l’être, ouvrirait-elle au questionnement ontologique : quel est le mode d’être de ce qui n’est pas ? Ne sourions pas devant l’apparente absurdité de cette question par laquelle Platon inaugura l’ontologie dans Le sophiste7 et que, dans Etre et temps, Heidegger posa à nouveaux frais en rapport avec

irréfutable est la liaison « je pense, je suis trompé, je pense j'existe ». Il y a affirmation du sujet pensant et doutant. C'est l'indubitable doute. L'esprit triomphe du doute. Moi qui doute, je suis, j'existe, c'est sa première affirmation ontologique, son principe anhypothétique.Ainsi, le moi est une substance pensante et “une chose qui pense c'est une chose qui veut, qui entend, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent », paragraphe 9.Dans