Argumentation Cachée Apologue

la notion de type de texte est assez claire (le texte se définit en fonction de son intention et de son type d'organisation ; voyez notre tableau), la notion de genre littéraire est plus floue : dans chaque grand genre (roman, poésie, théâtre, argumentation), certains textes obéissent néanmoins à un système d'énonciation comparable, sont traversés d'un même registre (l'impression particulière ressentie par le lecteur) ou traitent des thèmes convergents. On se tiendra à cette définition sommaire pour

Rouge et le Noir Hugo, Les Misérables Flaubert, Madame Bovary Maupassant, Bel-Ami Zola, L’Assommoir Camus, L’Etranger Céline, Voyage au bout de la nuit Proust, « un amour de Swann » extrait de Du côté de chez Swann Robbe-Grillet, Djinns Argumentation : Montaigne, Sans commencement et sans fin (extraits des Essais) La Fontaine, Fables, extraits (Livre I et VIII, notamment) Voltaire, Candide Diderot, Supplément au Voyage de Bougainville Montesquieu, Les Lettres Persanes Hugo, Les Châtiments

SÉANCE 2 LA STRUCTURE DU CONTE PHILOSOPHIQUE → Ensemble du conte, et plus particulièrement chapitre I (p. 37-40), chapitres XVII-XVIII (p. 85-94) et chapitre XXX (p. 136-140). Objectif : La structure du conte philosophique, entre narration et argumentation. Les modèles du récit picaresque, de l’utopie et du conte. Le travail de cette séance se fondera sur un parcours de lecture comparatif des trois principaux moments du conte. • Travail préparatoire En se reportant à l’itinéraire de Candide (voir

plus absconce, laquelle vous revelera de très haultz sacremens et mysteres horrificques, tant en ce qui concerne nostre religion que aussi l’estat politicq et vie oeconomique ». Aussi bien, Rabelais nous invite lui-même à voir dans son œuvre un sens caché qu’il nous appartient de décrypter. On ne peut donc que souscrire à l’analyse de Michel Jeanneret qui invite à lire Gargantua comme une construction rabelaisienne offrant « des représentations symboliques » qui expriment dans « un langage figuré »

Nous pouvons trouver les notions de l’argumentation dans plusieurs parties de ce nouveau programme. Ainsi nous lisons que l’apprenant trouve les arguments et les preuves soutenant ses thèses, qu’il argumente objectivement, qu’il développe une argumentation dans une langue étrangère en utilisant le vocabulaire général riche (à l’oral ainsi qu’à l’écrit), etc. Voici pourquoi j’ai décidé d’aborder ce thème un peu écarté dans l’enseignement scolaire tchèque qui peut apprendre aux apprenants à regarder

Aristote, Rhétorique, chapitre II. De nombreux auteurs et philosophes se sont penchés depuis l’Antiquité sur la rhétorique et ses procédés, dans le but d’acquérir cette puissance du verbe – une arme parfois redoutable, n’oubliez pas qu’une argumentation bien menée et convaincante peut avoir une influence décisive ! Parmi ces auteurs, on retrouve les noms d’auteurs grecs comme Démosthène (384-322 avant J.-C.), Isocrate (436-322 avant J.-C.) et Aristote (384-322 avant J.-C.), ou romains comme

deux exercices concomitants : la comédie et le laboratoire utopique. De ce fait, la comédie conduit les spectateurs à la vision d'une société nouvelle, s’avère être un apologue moral qui exige une simplification démonstrative qui nuit au comique, bien que les dialogues n'aient pas la lourdeur démonstrative d'une argumentation : leur alerte brièveté favorise l'expression des conflits et suffit à la clarté de la leçon. Ainsi, la pièce est proche de la comédie classique qui épura les effets de la

conte philosophique », dont les visées sont à la fois légères, divertissantes et sérieuses, appelant à la réflexion. Le Dossier retrace l’arrière-plan philosophique du terme « optimisme » (p. 153 sq.). – Le recours à la fiction auctoriale. Voltaire se cache ici sous les traits d’un auteur allemand, au nom pourtant bien britannique, un certain « Docteur Ralph » (cf. note 2, p. 35). La fausse attribution est une façon d’éviter les censures et les polémiques d’un texte dont le genre est, de plus, perçu comme

Aristote, Rhétorique, chapitre II. De nombreux auteurs et philosophes se sont penchés depuis l’Antiquité sur la rhétorique et ses procédés, dans le but d’acquérir cette puissance du verbe – une arme parfois redoutable, n’oubliez pas qu’une argumentation bien menée et convaincante peut avoir une influence décisive  ! Parmi ces auteurs, on retrouve les noms d’auteurs grecs comme Démosthène (384-322 avant J.-C.), Isocrate (436-322 avant J.-C.) et Aristote (384-322 avant J.-C.), ou romains comme

Aristote, Rhétorique, chapitre II. De nombreux auteurs et philosophes se sont penchés depuis l’Antiquité sur la rhétorique et ses procédés, dans le but d’acquérir cette puissance du verbe – une arme parfois redoutable, n’oubliez pas qu’une argumentation bien menée et convaincante peut avoir une influence décisive ! Parmi ces auteurs, on retrouve les noms d’auteurs grecs comme Démosthène (384-322 avant J.-C.), Isocrate (436-322 avant J.-C.) et Aristote (384-322 avant J.-C.), ou romains comme Cicéron