Argumentation Et Ironie

Lecture analytique du fragment 56 I – La raison ne permet pas d’accéder au bonheur, au souverain bien • Pascal met à dos tous les philosophes. Il énumère avec ironie différentes solutions philosophiques et jette sur chacune le discrédit dans l’absence de vérité universelle. « L’un dit que le souverain bien en est la vertu, l’autre le met en la volupté… » • Pascal se demande donc sur quoi l’homme construira-t-il le monde ? Sur la Justice ? « Serait-ce sur le caprice de chaque particulier

anarchistes). Hors, ces actes sans paroles étaients dépourvus de sens, alors que Zola avec sa parole qui agit, qui s'inscrit dans la réalité, qui propose des solutions, il donne un sens "Et l'acte que j'accomplis ainsi n'est qu'un moyen" (l.31). Argumentation forte et variée : - Avec un portée politique : Dénonce l'aveuglement idéologique d'un nationalisme exagéré placé dans la confiance absolue en l'armée dont le pouvoir est terrible "dans un but politique et pour sauver l'état-major compromis" (l

l’argumentation qui défend la thèse esclavagiste est défectueuse, illogique et ne s’appuie que sur des préjugés.-En plus d’être défectueuse, cette argumentation renverse la situation en révélant que les véritables barbares ne sont pas les Africains mais bien les esclavagistes européens.-En laissant la parole à l'esclavagiste, Montesquieu s’attaque avec ironie à ces arguments et permet au lecteur de mettre à distance l’opinion d’autrui et de se construire sa propre réflexion. Mouvement 2 :Le 3ème argument

Pour elle, ce mot « divin, est vraiment hors d’usage », tandis que pour lui, l’adjectif était sensé la mettre sur la voie, pour qu’elle comprenne qu’il était un Dieu. Le mot « divin » devient donc le pivot de cette scène, et laisse place à des argumentations et à des contestations. Entre ces deux personnages, le dialogue prend alors un registre polémique. Ce registre s’appuie dans ce texte sur la figure d’insistance d’énumération comme, « le mot parfait, le mot charmant, le mot agréable », ainsi

que le parricide est impossible. Argument d’ordre physique : impossibilité physique du père, trop âgé Impossibilité morale : mère tendre …et religieuse : servante elle-même catholique, Lavaisse pas au courant Argumentation méthodique : énumération de tous les coupables possibles qu’il envisage séparément. Et si c’est envisageable : impossibilité matérielle et sonore. Absence de preuves, il devrait y avoir des indices Ton oratoire, questions rhétoriques qui

faire une générale en faveur de la miséricorde et de la pitié?" MONTESQUIEU, L'Esprit des Lois, XV, 5 (1748). * Rapport = ressemblance **Conséquence = importance III. Axes Il y a 9 §, 10 avec le préambule. Ce texte nous propose une argumentation serrée. Au 1er regard, on a l' impression que c' est un plaidoyer pour l'esclavage mais c' est en réalité un violent réquisitoire contre cela (tout est implicite). - Préambule qui appâte le lecteur - 1er argument : économique et historique

« des imbéciles »). • Parle de façon crue : réalités de la vie des femmes, la grossesse (« une maladie de neuf mois »), l’accouchement et ses « grandes douleurs », les règles (« des incommodités très désagréables », « ces douze maladies par an »). • ironie : signe de supériorité et d’impertinence. b. vie débridée mais cultivée • amants : (« je n’ai pas trop gardé ma parole » est un euphémisme pour : j’ai trompé mon mari) et elle accepte les infidélités de son mari. • cultivée : en témoignent ses lectures

Origine : S’ inscrit dans longue tradition du conte (Mille et une Nuits (contes arabes), Contes de Perrault (XVII e). Connaît son épanouissement philosophique au XVIII e avec Voltaire). Caractéristiques : * S’ apparente à la fable = même argumentation indirecte, même visée didactique (instruire et plaire en illustrant une leçon exprimée ou implicite par le biais d’ un récit) * emprunte au genre du conte l’ essentiel de ses procédés (récit fictif avec diverses péripéties, recours au merveilleux

argumentative ? - Convaincre le lecteur: En fesant appel à la RAISON du lecteur . -Persuader le lecteur : En éveillant les émotions du lecteur . -L"auteur s"implique -t-il dans son propos ? : Marques de la 1ère pers. (je , vous ) , marques de jugement , ironie . -implique -t-il le lecteur? Les apostrophes , 'tu' ; deuxième pers. du s . 3. Quels moyens met-il en oeuvre pour argumenter ? ===> "" ARGUMENATION DIRECTE "" : Thèse explicite .L'éssai : C'ets un écrit argumentatif en forme libre , mais

tient donc ici une argumentation ad hominem. C'est à dire qu'il s'attaque à l'homme pour dénoncer des actes politiques. II Le portrait d'un tyran (dénonciation du personnage politique) - dénonciation du personnage politique : comparaisons avec des tyrans historiques qui se sont illustrés par leur cruauté. Rapport ave"c Hugo : l'exil forcé des opposants au pouvoir. - Un combat politique : "ses aces nécessaires" : distanciation de l'auteur avec les citations de NIII = ironie. 3ème paragraphe