Argumentation Par Le Comique

Acte II, scène 5 Axe 1 : Un dialogue à deux quiproquos : procédé comique par excellence. Le questionnement du ruban : Jugée impudique par la critique (voir la critique de l’école des femmes.) Exploitation par Molière du motif / Ar de la farce : dialogue avec confrontation entre naïveté et sévérité.( 571-581) Hésitations d’Agnès portent à confusion : grivoiserie implicite qui vient de l’obsession d’Arnolphe ( cocuage) vers 573. Quiproquo 1 : sur le plan de la théâtralité, le public

Une séquence en seconde : L'Ecole des femmes de Molière. (oeuvre intégrale) Dominique SISSMANN, lycée Flaubert, Rouen, octobre 2005. Problématique : Comment la comédie et le comique nourrissent-ils le débat sur l'éducation des femmes ? Objectifs : réfléchir sur le registre comique, ses caractéristiques, sa fonction au théâtre. montrer que la comédie a une visée argumentative et morale. contextualiser l'oeuvre de Molière. prendre en compte la dimension scénique. Objets d'étude : le théâtre

de bienséance. II- Met en évidence incompatibilité amoureuse entre les deux a- incompatibilité entre démesure d’Alceste et calme de Célimène Hyperboles. Pronoms, interjections, ponctuations, exclamations pour Alceste + voc guerrier argumentation construite, calme, phrases affirmatives et posées pour Célimène. b- incompatibilité amour dévorant d’Alceste et amour distant de Célimène Célimène respecte bienséance alors qu’Alceste souffre de cet amour tellement il aime Célimène mais

prologue du Tiers Livre de Rabelais, débute par une concaténation de questions-réponses sur Diogènes. L'argumentation dialoguale de Panurge et de Pantagruel, au cours du chapitre 9, constitue la totalité de notre extrait. Le cynisme a fait place à un comique qui affecte le personnage de Panurge, à travers le discours contradictoire qu'il défend à propos du mariage. L'étude présente s'appliquera à montrer que la fine description psychologique proposée par l'auteur-médecin, pour loufoque qu'elle paraisse

A. L’illusion comique : intro : Durant le XVIIème siècle, deux mouvements cohabitaient : le baroque (début 17) et le classicisme (2eme moitie). Le Baroque est moins strict du point vue de l’écriture par rapport au classicisme comme le non-respect des trois unités, de la bienséance et bien d’autres. La scène finale de l’acte cinq de l’Illusion comique apporte un effet de rupture avec le comique des premiers actes. En effet, durant les deux derniers actes

dans une lettre supplique (=demande de grâce) adressée à l'un de ses grands commis, le même respect de la liberté d'expression. Centres d'intérêts : 1) Un certain type de texte, la lettre qui permet d'exposer à son destinataire … 2) … une argumentation subtile et solide à la fois nous révélant, outre la revendication pour le respect de la liberté d'expression … 3) … un véritable art de lire [ Rappel : Pamphlet = écrit assez court qui attaque qqn ou qqch.] I - UNE LETTRE SUPPLIQUE

perçoit est réel ou non. LE REGISTRE PATHETIQUE Il naît de l’évocation de souffrances poignantes : des personnages généralement faibles sont confrontés à la violence, à la maladie, à la mort d’êtres chers. LE REGISTRE COMIQUE Il peut faire appel à l’humour, au comique verbal, à la parodie, au burlesque, à la caricature. On parle de registre SATIRIQUE lorsqu’un personnage (ou une chose) est tourné en ridicule de manière à formuler une critique (sociale, morale, etc..) LE REGISTRE LYRIQUE

Ø  Quels moyens de persuasion Vallès utilise-t-il pour dénoncer les mauvais traitements infligés aux enfants de son époque (lire le chapitre 19 « Louisette) ?I La caricature de la figure du bourreau (registres satirique, comique, et même polémique)                A travers le personnage de Bergougnard, ce sont les adultes qui utilisent la violence sur leurs enfants qui sont incriminés. Vallès dresse un réquisitoire implacable contre celui que la justice n’a jamais inquiété et se fait ainsi redresseur

satire de la cour Jean de La Fontaine, « La mort et le bucheron » I. L’arrivée surprenante de la mort II. La misère préférable à la mort ? La Bruyère, « Giton » et « Phédon » I. Similitude des textes ? II. Les éléments du portrait III. Une argumentation implicite Victor Hugo, « discours sur la misère » I. Prise à témoin des députés II. Le rôle des exemples Charles Baudelaire,  « Le joujou du pauvre » I. Une fable II. Les leçons implicites Voltaire, « Il semble (…) le bannir. » I. Utilisation

exagère voir obsession. Acte I Scène 4 et 5. portrait indirect d'Orgon. Obsession ? : oui : répétition "et Tartuffe" ainsi que "Le pauvre homme" Orgon préfère Tartuffe à sa famille. Les procédés de répétition et d'inéquation produisent le comique de la scène. Rôle de Dorine : démontrer la folie de son maître. Hypocrisie de Tartuffe : Il est impossible d'avoir une conversation avec lui. Il mange, dors (d'où sa sensualité) et boit. Cette description nous montre à quel point il est un