Aristophane L Assemblée Des Femmes

de biens immobiliers (qui ne peuvent pas bouger) mais peuvent avoir des meubles (qui peuvent bouger, autant une armoire qu’un esclave !) ( Les femmes et les mineurs : └> Transmettent la citoyenneté └> vont devenir citoyens Les femmes n’ont pas ou très difficilement droit à l’héritage. A athénes, il y a peu de droits pour les femmes (contrairement à d’autres cités comme Sparte). Elles sont mentionnées comme athéniennes mais ne participent pas à la vie politique de la cité (mais

vivante, obsédante, est une caractéristique bien connue du théâtred'Eschyle. Quant au héros eschyléen, il agit en parfaite symbiose avec la communauté civique, car, pour le poète, le chef de guerre idéal est celui qui est à l'écoute du peuple et des assemblées : c'est un héros « citoyen » en quelque sorte. Le respect des institutions garantes de l'ordre et de la liberté est essentiel aux yeux d'Eschyle. Ennemi de la tyrannie, à l'instar de la génération athénienne de la fin du VIe siècle, Eschyle symbolise

n'est pas un espace désert. C'est l'ensemble des terres cultivées et des villages qui entourent la cité. Elle est donc cet espace de l'agriculture par excellence auquel les paysans (paysan-propriétaire-citoyen) sont très attachés comme écrivait Aristophane:" j'ai la ville en horreur et pleure mon village" En plus de la ville et de la campagne, la polis compte également des terres nommées eschatai. Ce sont les confins de la cité, les extrémités au-delà des terres cultivées. Ce sont des terres laissées

les acteurs (proskénion). Au premier rang on trouvait les prêtres et les magistrats, ainsi que des Athéniens et des étrangers ayant préséance (proédrie). Dans un secteur réservé dans les travées, il y avait les bouleutes, éphèbes et métèques. Les femmes se trouvaient sur les gradins les plus élevés. | * Une indemnité journalière a été instituée pour inciter les citoyens à être juges au tribunal. Philocléon, un paysan, est ainsi devenu juge populaire à plein temps afin de percevoir une indemnité

origines du théâtre, Aristote n'ayant codifié le genre que d'après les tragédies anciennes. Trois noms s'imposent dans la tragédie grecque : ESCHYLE ( 525-456 avt J.C), EURIPIDE ( 480-406 avt J.C), SOPHOCLE ( 496-406 avt J.C), la comédie a retenu ARISTOPHANE ( 445-380 avt J.C). La première tragédie connue est d'Eschyle en 472 : Les Perses ; la dernière est celle d'Euripide en 406, Les Bacchantes. Le terme "tragédie" vient du grec " trogos" qui signifie "bouc" et de "ôdê" qui signifie

que les choses ont évolué mais les auteurs avaient déjà écrit à ce sujet. Cependant, durant l'Antiquité, des dramaturges comme Aristophane ou encore Plaute écrivaient pour dénoncer les vices des organisations politiques de l'époque. Nous retiendrons la pièce grecque datant de 392 avant JC, L'assemblé des femmes où Aristophane critique le sexisme dans l'Agora grecque, assemblée réservé au hommes. Au 17ème siècle, c'est au tour du célèbre fabuliste Jean de la Fontaine de critiquer la société grâce à ses

organisation politico-constitutionnelles bâtiments, monnaies, inscriptions. -sources littéraires : les constitutions (tel celle d’Athènes du pseudo-Aristote, de Sparte du pseudo-Xénophon) = descriptions des institutions ; des traités ; Aristophane (Les Guêpes, La cité des femmes, Lysistrata). I. Le cadre de vie de l’homme grec Notion protéiforme de la cité : entité géographique, humaine, politique a- Une entité géographique La cité associe plusieurs types de territoires : un bourg (astu) avec l’Agora

institutions • Pour les citoyens athéniens, la démocratie est la liberté d'intervenir dans la vie et la politique de leur cité. • Athènes est une démocratie directe : tous les citoyens se réunissent dans une assemblée, l'Ecclésia, où ils décident de la politique de la cité par vote à main levée. Cette assemblée est toute-puissante et possède la souveraineté. • Les valeurs des Grecs de l'Antiquité sont assez différentes des nôtres. À Athènes, les citoyens ont des devoirs avant d'avoir des droits (idée qui

athénienne :L'ensemble des citoyens forme le démos (peuple) et participe à l'écclésia (assemblée des citoyens qui se réunit sur la Pnyx, ils débattent, votent les lois et désignent les magistrats.La participation des citoyens aux institutions est au cœur du principe de la démocratie. Chaque citoyen peut en théorie proposer une loi, être tiré au sort s'il le souhaite pour participer aux institutions.Une autre assemblée, la Boulé prépare les projets de loi soumis au vote à l'écclésia. Ce conseil de la

pour remettre leur régime en place. Ils réussissent dans les moments de faiblesse de la cité, comme par exemple pendant la guerre. L'égalité des droits ne concerne que les citoyens (hommes libres de père et mère athéniens et ne sont pas citoyens les femmes, les enfants et les méthèques). C. Le pouvoir du peuple Dans la démocratie Athénienne, tous les citoyens peuvent participer à la gestion de la cité. Périclès institut le mysthos (indemnités versées aux citoyens tirés au sort pour les magistratures