Aristote Vivre Ensemble

"On" parle de "création" artistique. Cela signifie ici qu'un ensemble d'invidus autorisés ou non, que ce soit le public ou les "connaisseurs" d'art - voire les artistes eux-mêmes- associent l'art à la création. Ils considèrent qu'il y a une forme qui se crée lorsque l'art s'opère en acte. De tels propos sont, en effet, fréquents. Souvent, en effet, tel critique, tel artiste évoque la "création" de Manet, la force créatrice de Picasso, le talent créateur de Mozart ou d'Hugo. L'artiste est fréquemment

part, il se doit de respecter les lois promulguées puisqu’elles sont celles qu’il a choisies et qu’il a réclamées. Aussi, l’auteur souligne que c’est le citoyen qui constitue le peuple qui est législateur. Mais qui est citoyen? Il le définit comme Aristote à bien voulu le définir, c’est-à-dire celui qui participe à la communauté politique, à l’exclusion des enfants, des femmes, des esclaves et des étrangers qui ne peuvent participer pas à l’action délibérative qu’est la participation politique. L’ensemble

reviendrons… Interrogeons d’abord l’iconographie. La voici, Dame Sagesse, siégeant au tympan d’un portail de la cathédrale de Chartres, au milieu des personnifications féminines des sept arts libéraux et de leurs représentants:Donat, Cicéron, Aristote, Boèce, Euclide, Pythagore et Ptolémée, assimilés aux sept piliers de sa demeure, car dit un Proverbe (9,1-6) : « Sagesse a bâti sa maison, taillé sept colonnes, tué ses bêtes et mêlé son vin pour accueillir l’homme simple à sa table » .Demeure

humaine. Elle le fait de deux points de vue différents : celui du savoir et celui de la sagesse. En effet, pour rendre en compte de l’expérience humaine, il faut s’appuyer sur un ensemble de connaissances mais en même temps ce savoir nous intéresse parce qu’il doit nous servir à quelque chose. Ce savoir doit nous apprendre à vivre, il doit nous permettre de nous réaliser, de nous accomplir nous-même. Lorsque ce savoir nous autorise à nous éduquer nous-même, il devient sagesse La philosophie et donc amour

citoyens lorsqu’une sensation d’injustice se fait sentir, rare sont ceux qui s'affirmeraient prêts à vivre en dehors de toute organisation étatique : c'est que l'État présente aussi des avantages, que ce soit pour la stabilité de chacun ou de la vie collective en société, l’Etat est garant de la sécurité, des libertés individuelles… Il faut distinguer l’Etat de la société, qui est quant à elle un ensemble organisé d’individus entretenant des rapports d’interdépendance réglés, exprimables sous la forme

Discours sur lʼorigine et les fondements de lʼinégalité parmi les hommes» (1755) puis le célèbre «Du Contrat Social» (1762) . Jean-Jacques Rousseau imagine le premier homme dans la nature, seul et pas encore social. Une sorte dʼours qui aurait pu vivre autonome si la nature avait été un Paradis comme celui que les chrétiens évoquent à travers la Bible. Mais la Terre est hostile et lʼhomme doit sʼassocier à dʼautres congénères pour résister aux maux de la Nature toute puissante. Les humains se regroupent

La société et les échangesUn État, c'est un ensemble d'institutions politiques régissant la vie des citoyens. Mais qu'est-ce que la société ? Si la société n'est pas l'État, il serait tentant de la réduire à une simple communauté d'individus échangeant des services et des biens. La société aurait par conséquent une fonction avant tout utilitaire : regrouper les forces des individus, diviser et spécialiser le travail, régir les échanges et organiser le commerce. On peut douter cependant que la société

conscience que l’on est libre. Référence à Sartres, « l’existentialisme est un humanisme ». Dans cette conférence, il dit que « l’existence précède l’essence ». Il n’y a pas une naissance de l’être humain qui lui donne un rôle à jouer avant même de vivre. C’est seulement à la fin d’une vie que l’on peut prendre conscience de ce qu’était notre essence. Les hommes sont absolument libres et leur liberté n’est qu’en eux-mêmes. 2ème dimension : l’universalité. Cette capacité à s’autodéterminer

L’utopie platonicienne. Il y a un ordre du monde et on doit le découvrir et s’y confirmer. • La réaction sophiste : pour eux, il n’y a pas d’ordre du monde, il y a une intelligence humaine, il faut donc inventer des solutions. • Aristote : qui va ramener l’utopisme platonicien. Il pense que cet ordre du monde existe mais il est incarné. Il a des conséquences sur la réalité, on doit alors l’observer et c’est cette dernière qui donne des informations sur l’ordre du monde. On est là

Les principes de la laïcité Comment la laïcité permet-elle de faire vivre les valeurs de la République? “Je veux...l’État chez lui et l’Église chez elle” (Victor Hugo 1850) La laïcité, c’est la neutralité de l’État à l’égard des religions qui sont exercées dans le cadre privé. I) La laïcité s’est imposée en France après de nombreux combats - La résistance à l’oppression religieuse date des philosophes grecs (Socrate, Aristote) qui influencent l’humanisme de la Renaissance puis les philosophes