Arret Ce 6 Mai 1985 Association Eurolat

ou matériels. Il est aussi formé de droits incorporels : droits régaliens, seigneuriaux et fiscaux. Le premier principe est celui de l’inaliénabilité du domaine de la couronne : loi fondamentale du royaume depuis le 14e siècle : édit du moulin de mai 1566. Il faut ajouter l’imprescriptibilité traduite dans un édit d’avril 1667. La deuxième période est la Révolution. On transforme le domaine de la couronne en domaine de la nation. Publication du premier code domanial en décembre 1790. Il comporte

appartenait au domaine public, qu’il soit utilisé par le public ou par le service public (Dans le cadre du service public) Ici, on se servait de l’expression utilité publique, dans ce cas il y a domaine public. 3° La conception modératrice. (CA Paris, 13 mai 1933, Dalloz 1933, Com. Marcel WALINE.) La commission de réforme du conseil constitutionnel proposa un critère réducteur de définition du domaine public. Ce critère allé dans le sens de la conception modératrice du domaine public. Cette proposition

pas propriétaire, mais qu’il en avait seulement la garde, sans pouvoir en disposer librement. C’était une des lois fondamentales du royaume, confirmée en particulier par un texte très célèbre, l’Edit de Moulins, enregistré par le Parlement, le 13 Mai 1566. [pic]  Ce principe d’inaliénabilité était destiné à éviter la dilapidation d’un domaine dont les revenus devaient être affectés aux dépenses publiques. Avec l’édit de Colbert de 1667, l’imprescriptibilité du domaine est confirmée. [pic]  Dès

intervenir dans 3 domaines : En termes de responsabilité de l’Etat du fait de l’activité des assemblées parlementaires (responsabilité sans faute) ; En ce qui concerne les agents des assemblées parlementaires ; Par un revirement de jurisprudence dans son arrêt CE Assemblée 5 mars 1999 Président de l’A.N., dans les contrats conclus par les assemblées parlementaires. En l’espèce, l’A.N. avait signé un marché public pour faire des travaux. Suite à un litige, le juge administratif s’est reconnu compétent pour

TITRE 4 – LE PRINCIPE DE RESPONSABILITE DE L’ADMINISTRATION Quel est le contexte ? Née avec le fameux arrêt BLANCO => arrêt en matière de responsabilité, dommage que l’administration doit réparer. Avant cet arrêt, principe d’irresponsabilité de l’Etat (lorsqu’il causait un dommage, Ø réparation). Deux exceptions : - 28 pluviose An VIII, droit des TP donc question de la responsabilité. Elle a donné aux Conseils de Préfecture (ex TA) une compétence pour juger les litiges entre administrés

il faut une personne publique. L'origine du principe est ancienne, depuis le 20ème siècle c'est une règle qui a été affirmé avec une réelle constance par la jurisprudence et qui désormais figure directement dans la loi (art L2111-1 du CG3P). Arrêt 19 mai 1964 Eberstrack : on a un cimetière de confession israëlique qui se trouve dans un lieu où l'on applique pas la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l'Etat. On a un système qui autorise les religions avoir des lieux de cultes différents

ont porté au pouvoir le populiste Getúlio Vargas. Après la chute de ce dernier, le pays a connu une éphémère démocratisation, car en 1964 un nouveau coup d'état militaire a eu lieu. Un régime autoritaire, voire dictatorial, a pris le pouvoir jusqu'à 1985. Toutefois, durant les dernières années de la dictature, les militaires ont favorisé une transition démocratique, en acceptant la tenue d´élections libres qui donnèrent la victoire à l´opposition (Mouvement démocratique brésilien-MDB). Ils ont par

est l'édit de St germain en Laye. Cet Edit à été écrit en 1641. ( Tout ce qui relève de la loi c’est du droit constitutionnel et tout ce qui relève des règlements c’est du droit administratif. Ex de règlement : une circulaire sur les romains, un arrêté ministériel, un décret Le décret est une décision prise par un ministre en conseil des ministres. Origine du Droit Administratif A) Avant 1790: Les Edits de St Germain en Laye (1641 et de mars 1677) Ces deux textes sont écrits

(CE, 1981, Epp) ; cette solution a ensuite été étendue aux établissements publics non territoriaux, y compris aux EPIC, dans un arrêt Mansuy du 21 mars 1984, le CE a ainsi admis que l’esplanade de la Défense dont l’EPAD est propriétaire fait partie du domaine public de cet établissement sans que la qualité d’EPIC de cet organisme y fasse obstacle. Confirmé dans un arrêt d’assemblée du 23 octobre 1998, EDF, le CE a solennellement réaffirmé cette solution : « en principe les biens appartenant à un

d’Etat n’était pas libre du fait qu’il devait présenter au chef de l’exécutif tous ses projets de décision qui validait (ou pas). C’est ce qu’on appelait la technique du ministre-juge. On parle également de justice déléguée instaurée avec la loi du 24 mai 1872 (article 9 qui précise que le conseil d’Etat est indépendant en rendant des décisions de façon souveraines), et qui fait que le Conseil d’Etat devient une juridique à part entière. Cette loi a également permit la création du Tribunal des Conflits