Arret Cour De Cassation 26 Mai 1965

règles du Code civil relatives à la propriété (par exemple, le Conseil d’Etat a toujours fait application au domaine public de la théorie de l’accession inscrite à l’article 552 du Code civil, comme on peut le voir dans l’arrêt du Conseil d’Etat du 7 mai 1931 Compagnie nouvelle des chalets de commodité) ; •  il va dire que la doctrine n’envisage que le droit de propriété présent dans le Code civil et applicable aux personnes privées ; il va dire que ce n’est pas parce que le Code civil prévoit un

demeure et une fois que le bénéficiaire à reçu la mise en demeure, il faut de nouveau lui laissé un délai raisonnable et c’est à l’expiration de ce deuxième délai raisonnable que le promettant est libéré. ARRET 3 EME CHAMBRE CIVIL 25 MARS 2009, il reste un arrêt isolé, dans lequel la cour de cassation laisse entendre que désormais le promettant n’aurait plus besoin de mettre en demeure le bénéficiaire avant de se rétracter, il suffirait de laisser un délai raisonnable au bénéficiaire et à l’expiration

PENALE Formation sur la sécurité dans les carrières 16 juin 2006 Organisé par l’UNICEM et la DRIRE LIMOUSIN Maître Rémi-Pierre DRAI et Maître Daniel ROMBI Avocats à la Cour Cabinet HUGLO LEPAGE & Associés Conseil 40, rue de Monceau – 75008 PARIS Tél. : 01.56.59.29.59 – Fax : 01.56.59.29.39/69 Portable Me DRAI: 06 03 26 14 11 e-mail : remipierre.drai@huglo-lepage.com; daniel.rombi@huglo-lepage.com - Page 2/32 - INTRODUCTION Il n’est pas un mystère que la responsabilité pénale du chef

privé. Si ce critère fait défaut, peu importe que le contrat contienne des clauses exorbitant, peu importante qu'il fasse participer l'un des deux contractants, à un service public. L'absence de ce critère est rédhibitoire. Tribunal des conflits, 26 Mars 1990, Société AFPA. Pour un contrat conclu entre deux personnes privées, mais faisant participer l'un des deux à un service public. CE, 13 Décembre 1963, Syndicat des praticiens de l'art dentaire du département du Nord. On peut constater que

L'INTIME CONVICTION DU JUGE: NORME DÉMOCRATIQUE DE LA PREUVE PAR Henri LECLERC Avocat à la Cour de Paris "Les infractions peuvent être établies par tout mode de preuve, et le juge décide d'après son intime conviction". C'est sur ce principe affirmé par l'article 427 du Code de procédure pénale, que repose tout l'édifice juridique de la preuve en matière pénale. C'est au cours du XVIIIe siècle, dans les débats enfiévrés des Lumières, qu'est née l'idée même de la preuve morale, à laquelle

quasiment pas changé en dehors de la loi Naquet de 1884 , reintroduisant , de manière restrictive , le divorce . On assiste a un premier courant de reforme , a partir des années soixantes . * 14 decembre 1964 : Reforme de la Tutelle. * 13 juillet 1965 : Reforme des regimes matrimoniaux * 11 juillet 1966 : Reforme de l’adoption * 14 juin 1970 : Reforme de l’autorité parentale. * 3 janvier 1972 : Reforme de la filiation * 11 juillet 1975 : Loi sur le divorce. Ces differentes lois

FORMATION DU CDI………………………………...25 SECTION 1 : LES CONDITIONS DE FONDS……………………………………………...25 Paragraphe 1 : Le consentement………………………………………………………25 Paragraphe 2 : la capacité……………………………………………………………..26 Paragraphe 3 : l’objet et la cause……………………………………………………...26 SECTION 2 : LES CONDITIONS DE FORME……………………………………………..26 SECTION 3 : LES CLAUSES SPECIFIQUES………………………………………………27 CHAPITRE 2 : LA MODIFICATION DU CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE…………………………………………………..28 SECTION 1: MODIFICATION POUR DEMENAGEMENT

principes généraux du droit qui ne sont pas tous et toujours ainsi désignés dans la jurisprudence administrative. Ils sont souvent désignés par les expressions abrégées de principe général ou de principe. Le même principe est parfois désigné par des arrêts successifs de ces différentes façons. Cette diversité terminologique est sans conséquence. L’importance de la théorie des principes généraux du droit se trouve résumée dans cette formule du commissaire du gouvernement Letourneur : « A côté des

cas échéant et qui, le cas échéant encore, assurera la défense en justice des intérêts de l'incapable. Les incapables dotés d'un domicile légal sont les mineurs non émancipés et les majeurs sous tutelle. - 1er point : Les mineurs non émancipés[26]. Ils sont, en vertu de l'art. 108-2 C. civ., en principe, domiciliés chez leurs parents, et ceci quel que soit le lieu de leur habitation réelle (même si, par exemple, ils vivent chez leurs grand-parents ou dans un pensionnat)[27]. Trois précisions

R É F É R E N C E S T E R R I T O R I A L E S avril 2004 La procédure contentieuse devant les juridictions administratives Cahier détaché n°2 - 17/1739 - 26 avril 2004 Rémy Schwartz, conseiller d’Etat Myriam Kaczmarek, juriste PROCÉDURES ADMINISTRATIVES CONTENTIEUSES Sommaire INTRODUCTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .207 LA PROCÉDURE CONTENTIEUSE DEVANT LES JURIDICTIONS ADMINISTRATIVES . . . . .209 I/ L’ORGANISATION