Arret Cour De Cassation 30 Octobre 2008

elle a été portée à la connaissance de l’autre partie. Un arrêt de la Cour de cassation a considéré que la date de la rupture d'un contrat de travail devait être située à la date à laquelle l'employeur avait manifesté sa volonté de rompre le contrat, c'est à dire au jour de l'envoi de la lettre recommandée. Il importe peu que cette lettre ait été reçue après l’expiration de la période d’essai (arrêt de la Chambre sociale de la cour de cassation du 11 mai 2005, n° 03-40650 Attention ! Si le CDD n’a

appliquée au salarié. Il peut relever qu’il appartient à l’employeur d’apprécier l’existence ou non d’une faute disciplinaire. Mais, dès lors qu’il reconnaît son existence, cette proportionnalité est à respecter, sous le contrôle strict de la Cour de cassation. Il est nettement reconnu une gradation des fautes dans l’échelle des sanctions. Il faut sur ce point préciser que la définition de faute disciplinaire en tant que telle n’est pas prévue au Code du travail. Seule la sanction est prévue à l’article

comme les déments, les incapables, et les mineurs de moins de treize ans car leur capacité de discernement n’est pas entière, et qu’ainsi, ils ne sont pas forcément capables de se rendre compte des conséquences que leurs actes peuvent avoir (arrêt Cour de cassation, assemblée plénière, 9 mai 1984 « Lemaire ») Les majeurs capables sont responsables de leurs actes car ils savent faire preuve de discernement. Ainsi, l’alinéa 2 de l’article 1352, en rendant fautive la violation d’une loi, rend également

propriété. Commentaire : Cass. 3e civ., 31 octobre 2012. Charles Demolombe décrit le droit réel en ces termes : « Place au droit réel ! Et que tous les rangs s'ouvrent pour lui faire passage, lorsqu'il s'avance tout-puissant et absolu, par sa propre et seule force, sans l'intermédiaire d'aucun débiteur, vers la chose même sur laquelle il porte directement ». La troisième chambre civile de la Cour de Cassation a rendu un arrêt le 31 octobre 2012 portant sur la reconnaissance d’un droit

notion de cause disparaîtrait ainsi du Code civil, mais ses fonctions principales qui sont le contrôle de l’équilibre de la convention et de sa licéité, seraient maintenues. La première version du projet de réforme présentée par la Chancellerie en 2008 s’avérait encore plus audacieuse. Celle-ci proposait de remplacer la notion de cause par celle d’intérêt du contrat. La cause de l’obligation est une des quatre notions centrales en droit français avec l’objet le consentement et la capacité à contracter

si un cas de force majeure est intervenu. C'est ce que l'on appelle plus couramment une cause éxonératoire. La force majeure est un principe général du droit français. En tant que notion de droit, son appréciation relève du contrôle de la Cour de cassation, sous réserve des constatations souveraines des juges du fond. Comment la condition d'imprévisibilité de la force majeure est-elle appréhendée en matière contractuelle? Il serait intéressant de voir dans une première partie les conditions

que « les syndicats peuvent se constituer librement ». A cet article, il convient d’ajouter : l’article L2141-5 du CT, qui interdit à l’employeur de prendre en considération l’appartenance à un syndicat, ou l’exercice d’une activité syndicale pour arrêter ces décisions en matière : de recrutement, de rémunération, de licenciement… Interdiction de la discrimination syndicale par cet article. II. le syndicat professionnel : Défini par la loi du 21 mars 1884 : qui dispose qu’un syndicat professionnel

Fourment, Procédure pénale, Paradigme, 9° éd. 2008 S. Guinchard et J. Buisson, Procédure pénale, Manuel, 5° éd. Litec, 2009 J. Pradel, Procédure pénale, Cujas, 13 éd. 2008 F. Desportes et L. Lazerges-Cousquer, Traité de procédure pénale, Economica, 2009 E. Vergès, Procédure pénale, Litec, coll. Objectif droit, 2° éd. 2007 E. Verny, Procédure pénale, Dalloz, coll. « Cours », 2° éd. 2008 - Les Grands arrêts J. Pradel et A. Varinard, Les grands arrêts de la procédure pénale, Dalloz, 5° éd. 2006

------------------------------------------------- Droit Civil- TD n°7 – Le fait des choses Arrêt de la 2ème chambre civile de la cour de cassation du 16 Octobre 2008 concernant les caractères essentiels de la mise en œuvre de la responsabilité du fait des choses inertes. En l’espèce, le 30 Avril 2001 alors que Mme X faisait tranquillement ses courses, elle tomba et se blessa après que son caddie se soit coincé une roue dans un rail coulissant à la sortie du parking. Mme X assigne alors le

Arrêt n° 764 du 16 septembre 2010 (09-67.456) - Cour de cassation - Première chambre civile La loi du 13 décembre 2009 énonce que « si le droit subjectif au respect s’éteint avec la mort, le devoir de respect est donc, quant à lui, un devoir perpétuel ». Selon la loi, alors, nous devons le respect à tous, même après leur mort. C’est le thème de l’arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation, du 16 septembre 2010. Une société, à vocation culturelle, avait organisé une exposition