Arret Du 19 Mars 1963

avec 61 % des voix. 17 BOUTEFLIKA : UNE IMPOSTURE ALGÉRIENNE Mme Boudiaf, alarmée, alerte le général Mohamed « Toufik » Médiène, patron du Département recherche et sécurité (DRS), un des architectes de ces élections, un de ceux qui avaient arrêté ce taux « presque vrai » de 53 %, magique pourcentage censé être assez raisonnable pour s’assurer aux yeux de l’opinion d’une crédibilité largement entamée par le retrait brusque des six autres postulants à la présidentielle. Abdelaziz Bouteflika

démocratie aussi longtemps que la liberté véritable lui sera refusée». En août 1942 résolution « Quit India ! » (doc 2) = moyen de pression. Pendant la guerre les dirigeants du parti du Congrès préconisent la désobéissance civile  les Britanniques font arrêter dirigeants du parti du Congrès et finalement Churchill se résout à promettre l’émancipation de l’Inde pour obtenir son soutien contre le Japon qui occupe la Birmanie voisine.  Pendant la guerre pour obtenir la victoire les Alliés ont eu recours

justifier son interdiction par le maire selon l’arrêt du C.E. du 8 décembre 1997, Commune d’Arcueil. Le CE a néanmoins prononcé l’annulation de cette mesure d’interdiction générale en raison de l’absence de circonstances locales particulières. • A ces arrêts isolés, s’ajoute la célèbre jurisprudence relative aux interdictions municipales de films cinématographiques. Ainsi, alors même qu’un film a obtenu le visa ministériel nécessaire à son exploitation, les maires, responsables du maintien de l’ordre

en son nom (C.E., 30 janvier 1931, Société Brossette), ou encore parce qu’une personne privée a agi pour le compte de la personne publique, en l’absence de mandat explicite ou implicite, dans le cadre de l’action pour le compte de…( T.C., 8 juillet 1963, Entreprise Peyrot contre Société de l’autouroute Esterel-Côté-d’Azur). La présence de clauses exorbitantes permet ensuite de qualifier d’administratif tout contrat auquel est déjà partie une personne publique (C.E., 31 juillet 1912, Société des granits

3 grands principes : -Principe de séparation des autorités administratives et judicaires -Principe de séparation entre justice administrative et administration active -Principe de décentralisation qui découle de la révision constitutionnelle du 28 mars 2003 Section 1 : La séparation des autorités administratives et judiciaires L’Ancien Régime connaissait un système de confusion des pouvoirs : le Roi, ses agents (officiers de justice, intendant, sénéchaux…) mêlaient compétences administrative

territoire sans menace particulière. Il s’agit de protéger les citoyens contre les risques de toutes sortes. Mais cette condition est évolutive. 2°) La tranquillité publique. Il s’agit d’éviter les troubles dans l’exercice de l’activité des usagers. Arrêt 1997 BRICQ du Conseil d’Etat usage de tondeuse à gazon. 3°) La salubrité publique. Il s’agit d’une forme particulière de la sécurité pour assurer l’hygiène et la santé publique. B) L’évolution de la conception classique. L’évolution de la conception

tutelle, par décret. Un arrêté du secrétaire d'Etat à la santé publique et aux affaires sociales déterminera la procédure d'agrément des contrôleurs de la Caisse Nationale (1) . Art. 17 .- Le contrôle médical des assurés sociaux est effectué par des médecins, contrôleurs, placés sous l'autorité d'un médecin contrôleur chef (2) . CHAPITRE III ORGANISATION FINANCIERE Section I Budget Art. 18 .- (Abrogé et remplacé par le décret n°2000-1902 du 24 août 2000) Art. 19 .- (Abrogé et remplacé par le

(31 juillet 1948, Chambre syndicale du livre du département de Constantine ; 19 décembre 1980, Revillod) ; il s'impose en raison de l nécessité d'assurer la sécurité des relations juridiques. Il n'a toutefois pas un caractère constitutionnel, même si la jurisprudence constitutionnelle est allée dans le sens d'une application croissante et plus sévère de la non-rétroactivité, d'abord aux lois pénales (CC, n° 80-127 DC des 19- 20 janvier 1981 ; CC, n° 87-237 DC du 30 décembre 1987), puis aux autres lois

TC ont reconnu ce droit aux seules collectivités territoriales (CE, 19 mars 1965, Société Lyonnaise des Eaux). Les années 80 marquent un revirement de la jurisprudence administrative : tout d’abord le CE a admis que les établissements publics territoriaux puissent être propriétaires (CE, 1981, Epp) ; cette solution a ensuite été étendue aux établissements publics non territoriaux, y compris aux EPIC, dans un arrêt Mansuy du 21 mars 1984, le CE a ainsi admis que l’esplanade de la Défense dont l’EPAD

Chambon Licence 2 Fiche n° 6 : Le service public (notion) 2 Documents : 1. Identification Document 1 : CE Sect., 28 juin 1963, Narcy, R., p. 401 ; RDP 1963, p. 1186, note M. WALINE Document 2 : TC, 6 novembre 1978, Bernardi c/ Association hospitalière Sainte-Marie, R., p. 652 Document 3 : CE, 10 juin 1994, Lacan, R., p. 298 Document 4 : CE, 12 mars 1999, Ville de Paris, AJDA 1999, p. 439 Document 5 : CE Sect., 27 octobre 1999, Rolin, R., 327, concl., A. DAUSSUN Document 6 : CE Sect